Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 118

En entendant cela, Mariette Bourcier a instantanément dressé les oreilles.

— Qu’est-ce qui t’occupe ?

— Jordan Zhang, de l’entreprise, m’a appris à jouer à un jeu vidéo assez amusant, et j’ai été occupé à réviser mes copies ces derniers temps.

— ...... Allez au diable.

Mariette Bourcier a alors dit avec un visage impassible,

— Second Grand-père est allé à la compagnie.

— Qu’est-ce qu’il fait ici ?

— Je ne sais pas.

— Ce vieil homme n’est jamais bon à rien de toute façon.

Jordan Choffard avait une opinion assez forte de Gabriel Bourcier.

— Après tout, c’est mon deuxième grand-père, ne soyez pas si impulsif quand vous parlez, ne faites pas ce que vous avez fait la dernière fois, au cas où vous vous fâcheriez, ce n’est pas bon pour nous, les juniors, d’en entendre parler.

— Je vais faire de mon mieux, tant qu’il ne va pas trop loin, je prendrai ce qu’il dit comme un pet.

Quand ils sont retournés au bureau, ils ont vu Gabriel Bourcier avec un vieux visage froid, Mariette Bourcier a dit en souriant :

— Deuxième grand-père, qu’est-ce qui vous amène ici ?

— Mariette Bourcier, comment oses-tu aller derrière le dos de grand-père et prendre un prêt bancaire ?

Avant que Gabriel Bourcier ne puisse parler, Stanislas Bourcier a été le premier à dire, il était maintenant furieux à la vue de Jordan Choffard.

— Un prêt ? Je n’ai pas de prêt.

dit Mariette Bourcier, confus.

— Pas encore de prêt ? Où avez-vous trouvé l’argent pour acheter cette société ? J’ai entendu dire que ta famille a aussi acheté une villa à Fairview International, plus de vingt millions de Papy, d’où vient tout cet argent ? Ou bien avez-vous détourné l’argent de Yule International ?

Stanislas Bourcier a levé les sourcils et a demandé.

Il le savait depuis longtemps et attendait que Mariette Bourcier revienne et lui en parle en face.

Dès que Gabriel Bourcier a entendu ça, ses sourcils se sont froncés en même temps que lui.

Mariette Bourcier a froidement renâclé et a dit :

— Combien de bénéfices Yulei International réalise-t-il en un an, les comptes sont tous ouverts, vous êtes maintenant le directeur général de Yulei International, ne savez-vous pas combien d’eau coule chaque mois ? Je détourne toujours ...... depuis trois ans, je détourne chaque année sept millions pour pouvoir m’offrir cette villa, est-ce qu’un âne t’a donné un coup de pied dans la tête ?

— Vous ......

Stanislas Bourcier est resté bouche bée et a balbutié :

— Alors où avez-vous trouvé tout votre argent ?

— Qu’est-ce que ça peut te faire ?

Mariette Bourcier a répondu.

— Comment oses-tu ? Mariette Bourcier, vous devenez de plus en plus indiscipliné maintenant, ne devriez-vous pas nous donner une explication sur l’augmentation soudaine de l’argent dans votre famille ?

Gabriel Bourcier a grondé.

— Deuxième grand-père, j’ai cédé Yule International à vous tous, et je n’ai pas repris l’entreprise familiale, qu’est-ce que ça peut vous faire d’où vient mon argent ? Pourquoi devrais-je vous donner une explication ?

Mariette Bourcier a posé une question rhétorique.

Jordan Choffard se tenait sur le côté, sentant toujours que quelque chose n’allait pas.

Ne vient-elle pas de me dire de ne pas parler si impulsivement ?

Pourquoi j’ai l’impression que cette salope est encore plus impulsive que moi ?

Cette chose pourrait-elle être contagieuse ?

— Juste parce que ton nom de famille est Yao !

Gabriel Bourcier a crié en frappant la table basse.

— Il y a des lois dans le pays et des règles dans la famille, quoi ? Je suis l’aîné qui ne peut pas te contrôler ?

Mariette Bourcier était sans voix, c’était encore cette routine.

— Mariette Bourcier, tu es de plus en plus capable maintenant, tu oses même contredire les paroles de ton deuxième grand-père, c’est comme ça ? a dit Rebecca Cailloux.

— Je pense que c’est parce que vous avez été rabaissé par ce gendre inutile.

Mariette Bourcier haussa les épaules et dit d’un ton impuissant :

— D’accord, deuxième grand-père, quelle est exactement la raison pour laquelle vous êtes venu à l’entreprise aujourd’hui, vous pourriez aussi bien le dire directement, je suis vraiment très occupé.

— Nous avons des règles dans la famille Bourcier, si un fils ou un petit-fils Yao part lancer une entreprise, la famille a le droit et l’obligation de superviser l’entreprise afin qu’il ne fasse rien qui puisse nuire à la réputation de la famille Bourcier et enfreindre la loi", a déclaré Jacques Bourcier.

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