Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 143

Jordan Choffard voulait maintenant améliorer sa culture, soit il avait besoin de beaucoup de matériaux spirituels et d’herbes, et de raffiner des pilules pour l’aider.

Et ces choses sont souvent monopolisées par les grands consortiums et les familles puissantes, comme le ginseng sauvage de montagne millénaire collecté par la famille Qing Hu Wang, et elles sont rares à trouver.

Soit cela, soit se cacher dans les forêts profondes et cultiver, en comptant sur l’énergie spirituelle émanant de milliers d’années d’arbres anciens pour les nourrir.

Même dans ce cas, j’ai peur qu’il faille dix ans ou plus pour entrer dans le royaume des observateurs du ciel.

Ce n’était pas le moment, après tout, il y avait encore des gens qu’il ne pouvait pas laisser partir dans cette ville, et il ne pouvait pas partir tout de suite.

En parlant d’arbres millénaires, il y en a vraiment un à Jianghai, et personne ne peut dire s’il est vraiment millénaire ou non.

Mais les anciens de la ville disent que le vieil orme existe depuis la période Qianlong de la dynastie Qing.

Il y en avait deux à l’origine, et à cette époque, Jianghai était encore un petit village et une petite ville, avec seulement une centaine de familles, donc on peut dire que ces deux ormes ont abrité la région pendant des générations, voire des dizaines de générations.

Dans les premières années, la technologie agricole n’était pas développée, et c’était presque toujours une question de météo. Chaque fois qu’il y avait une grave sécheresse, les deux ormes produisaient toujours des pièces d’orme extraordinairement luxuriantes, qui étaient toujours mûres au moment de la sécheresse.

Des rumeurs disaient qu’elles produisaient plusieurs récoltes et que si vous les cueilliez aujourd’hui, elles repoussaient en quelques jours.

À ce moment-là, les hommes, les femmes et les enfants du village portent des paniers en bambou, grimpent aux arbres pour les cueillir ou les manger crus, ou les ramènent à la maison, mélangés aux nouilles de sorgho restantes ou à d’autres pâtes pour les manger.

Les gens d’ici ne semblent donc jamais fuir le phénomène, et encore moins mourir de faim.

Dans les premiers jours de la République, la sécheresse de cette année, est encore le temps vert et jaune, l’un des vieux ormes soudainement comme une maladie, n’a pas produit de l’argent orme pour ne pas dire, les feuilles aussi dans quelques jours de jaunissement sont tombés.

Les gens d’ici ne s’en occupaient pas, ils l’abattaient et le ramenaient chez eux pour l’utiliser comme bois de chauffage ou pour en faire des meubles.

Selon les souvenirs du vieil homme, le lendemain de l’abattage de l’orme, les gens ont soudainement découvert que du sang avait été versé dans les fissures d’un autre orme, et plus tard ils ont découvert que le sang n’avait pas été versé dessus, mais que le sang rouge et collant provenait des fissures du vieil orme.

À ce moment-là, les villageois étaient tellement stupéfaits qu’ils se sont agenouillés et ont demandé le pardon.

Mais dans les deux ou trois années qui ont suivi, ceux qui étaient allés couper le vieil orme sont morts les uns après les autres, presque un tiers d’entre eux, et tous sont morts violemment.

Cela a également provoqué la panique dans le village et un grand nombre d’entre eux ont déménagé.

Il restait moins de vingt familles, toutes du même clan et du même nom de famille, Passereau.

Oui, ce sont les anciens membres de la famille Passereau actuelle, et le vieil orme qui subsiste se trouve maintenant dans l’arrière-cour de la maison ancestrale de la famille Passereau, recevant chaque année des offrandes d’encens de la part de la famille Passereau.

Chaque nouveau chef de famille Passereau doit recevoir une bénédiction d’un mois sous le vieil orme lorsqu’il prend la tête de la famille.

Il s’agit d’une tradition de la famille Passereau qui se perpétue jusqu’à ce jour.

Certains disent que la prospérité de la famille Passereau n’est pas sans rapport avec cette catégorie de vieux ormes.

......

Cette nuit-là

Minuit à minuit.

Un disque argenté est suspendu au milieu du ciel et le clair de lune se répand froidement sur l’arrière-cour de la famille Passereau, entourée de silence.

Squeak ......

Une porte dans l’arrière-cour s’est ouverte sans bruit, et un vieil homme aux cheveux gris et au regard flétri s’est appuyé contre le cadre de la porte, a regardé la pleine lune dans le ciel avec un visage séché, et après quelques instants, il a franchi le seuil élevé avec difficulté et s’est penché sur la porte.

Les vêtements du vieil homme étaient trop fins pour résister au vent mordant et il ne cessait de frissonner alors qu’il se hâtait sur un chemin de briques.

Il traversa une rocaille et monta un long couloir en bois.

Au bout du couloir, on aperçoit le vieil orme qui a abrité la famille Passereau pendant près de cent ans.

C’est le milieu de l’hiver et tout est en train de mourir.

De loin, on dirait une grande main ouverte qui soutient le monde.

Le vieil homme n’était autre que Sylvain Passereau, le chef de la famille Passereau.

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