Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 193

À ce moment-là, la famille de Lorraine Philippon est arrivée.

Lorraine Philippon salue,

— Deuxième frère, belle-sœur.

Mariette Bourcier a fait de même et a appelé :

— Deuxième oncle, tante !

— Yo, Yunxiang est de retour, et Mariette Bourcier est là aussi.

Liu Yunsheng a répondu, hébété :

— Je regardais seulement la voiture de Miaozhen, je ne vous ai même pas vu arriver.

La Liu Miaozhen des Liu Yunsheng était la plus jeune fille de leur famille.

— Mariette Bourcier conduit cette voiture depuis quelques années, non ? Je pensais qu’il avait été remplacé il y a longtemps, toujours celui-là, hein ?

Qin Shant a dit sinistrement.

— Je connais bien cette voiture et j’ai des sentiments pour elle, donc je ne veux pas la changer. Mariette Bourcier a ri et a dit.

— Qui ne veut pas conduire une belle voiture quand il a de l’argent ? J’ai entendu dire que vous avez repris une entreprise brisée qui a fait faillite. Qin Shuang a plaisanté avec un sourire.

— Ma fille n’a pas pris un seul centime de la famille.

Lorraine Philippon a dit de mauvaise humeur.

Le tempérament de Lorraine Philippon était tel qu’elle ne s’entendait pas avec ses belles-sœurs, et elle avait été ridiculisée par elles lorsqu’elles étaient revenues du réveillon du Nouvel An, il y a donc eu un peu de feu d’artifice lors de leur rencontre.

— Ne parlons pas trop.

Liu Yunsheng a dit d’une manière détournée.

— Mariette Bourcier, emmène ta mère à l’intérieur, ton grand-père t’attend à la maison.

Les quatre membres de la famille Bourcier venaient juste de parcourir une courte distance après avoir franchi la porte lorsque la voix de Qin Shant leur parvint aux oreilles,

— La famille de Lorraine Philippon n’a pas peur de perdre la face, et faire venir cette ordure pour perdre la face avec eux ......

Lorraine Philippon était sur le point de revenir à la théorie, mais il a été tiré en arrière par Mariette Bourcier et Jordan Choffard.

— Maman, oublie ça, il y a tellement de monde dans la famille aujourd’hui, ce n’est pas la peine de se disputer avec elle.

Mariette Bourcier est persuadé.

— Qui est-ce qu’elle appelle un loser ? Où sont les déchets de notre gendre ?

Lorraine Philippon semblait avoir oublié qu’elle avait dit la même chose à propos de Jordan Choffard auparavant, et se battait maintenant furieusement pour lui.

Mariette Bourcier et Jordan Choffard se sont regardés en souriant, tous deux avec des visages impuissants.

L’ancien manoir de la famille Asselinu n’est pas grand, mais il est assez élégant et il est midi, le soleil brille.

La maison n’étant pas assez grande pour accueillir autant de personnes, ils ont installé quelques chaises dans la cour. À ce moment-là, il y a déjà quelques invités assis dans la maison, tous des parents des enfants et petits-enfants de la famille Asselinu, et quelques jeunes enfants font exploser des pétards devant le hall.

Maître Liu n’étant pas dans la cour, les quatre membres de la famille Bourcier sont entrés et ont échangé des civilités avec les proches pendant quelques instants avant de se rendre directement dans le hall pour saluer Maître Liu.

Liu Mingda était accompagné de la famille de Liu Yunxia, la sœur aînée de Lorraine Philippon, et s’est assis dans le hall, regardant la cour pleine d’enfants et de petits-enfants, et les plis de son visage ne pouvaient s’empêcher de s’étirer un peu.

Sur le mur derrière lui est accrochée une image assez ancienne de la jeune fille céleste, et sur la caisse en bois sous le mur se trouve un brûleur d’encens dans lequel brûle de l’encens, de la fumée blanche s’élevant en boucles, donc il doit avoir terminé son culte il n’y a pas longtemps.

Jordan Choffard voyait presque chaque année quand il venait ici que la famille Asselinu ne croyait guère à d’autres dieux, mais ne vénérait que celui-ci.

On disait qu’il s’appelait le Culte du Sage Céleste, et la femme volant dans le ciel sur la photo était la jeune fille sainte du Culte du Sage Céleste.

— Yunxiang est de retour.

Après que les quatre membres de la famille Bourcier soient entrés dans la maison, Liu Mingda a dit avec un sourire.

— Papa, comment va ta santé ces jours-ci ?

Lorraine Philippon a demandé.

— Bien.

Liu Mingda a dorloté Mariette Bourcier après avoir terminé,

— Cen’er est là aussi.

— Grand-père, tes 90 ans, comment oserais-je ne pas venir, tu m’aimes le plus depuis que je suis petite.

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