Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 71

Sylvain a retiré sa jambe des bras de Charlène. Son visage était sombre et il a réprimandé :

— Le bon fils que vous avez éduqué a fait le genre de chose qui a fait honte à la famille Passereau. En tant que parents, il est difficile de se décharger de votre responsabilité !

— Chef de famille, je n’ai pas bien discipliné Guillaume. Tu m’as frappée. Guillaume est faible depuis l’enfance et ne peut pas supporter une telle punition.

Charlène a pleuré et cri.

Bang !

Sylvain l’a ignorée. Un autre fouet a été battu sur Guillaume. il a dit sans expression :

— Il doit se charger des erreurs qu’il a fait. Personne ne peut le supporter pour lui.

Guillaume a reniflé et ses traits du visage étaient presque tordus ensemble. Les yeux étaient sur le point de se gonfler. Soudain, il y avait un sentiment que l’âme était retirée. Puis il a fermé les yeux et a perdu connaissance.

Joseph et Charlène se sont avancés précipitamment et l’ont pris dans leurs bras,

— Guillaume !

— Papa, Guillaume s’est évanoui.

Les yeux de Joseph étaient rouges et il a plaidé.

Sylvain a rangé le fouet et a poussé un soupir.

Il avait dû se sentir désolé pour Guillaume aussi. Il avait toujours accompagné Guillaume depuis le plus jeune âge de Guillaume. On pourrait dire que Guillaume était le mieux élevé et le plus sensé parmi ses petits-enfants. Bien que Sylvain en tant que chef de famille doive être aussi juste que possible, et il n’a jamais révélé qui était de futur chef de famille, il a déjà traité Gullaume comme le futur chef de famille dans son cœur.

De manière inattendue, un tel embarras s’est produit à ce moment-là, et il lui était impossible de ne pas être déçu et affligé.

Sylvain a agité la main,

— Envoyez-le dans la maison.

— Vite, emportez rapidement M. Guillaume !

La vieille gouvernante Phil Allard a ordonné immédiatement aux serviteurs sur le côté.

Plusieurs serviteurs se sont avancés précipitamment, ont porté Guillaume à la hâte et l’ont envoyé dans la pièce. Charlène a également suivi de près.

Après que tout le monde soit parti, Sylvain a regardé Joseph avec des vieux yeux perçants,

— L’affaire est-elle clairement enquêtée ?

— Tout est clair.

Joseph a hoché la tête.

Puis il a raconté toutes les histoires à Sylvain, y compris l’amour de Guillaume pour Mariette, l’incident de la vente aux enchères, et le complot entre Guillaume et José.

— Guillaume est obsédé par l’amour et est bon à rien.

Sylvain a reniflé froidement.

— La famille Bourcier était également négligente, ma famille Passereau n’est-elle pas comparable à un bon à rien ?

Quelqu’un à côté de lui a dit.

— Tais-toi. Si tu penses toujours qu’il n’est qu’un bon à rien, tu es un idiot ! a grondé Sylvain.

L’homme n’osait soudainement plus parler. Jordan était une personne qui osait affronter effrontément les gens des deux grandes familles. Sans parler des moyens qu’il a utilisés, un bon à rien n’avait pas un tel courage.

— Papa, tu ne peux pas laisser cette affaire être traitée comme si elle ne s’était pas produite ! a dit Joseph.

— Puisque Jordan n’est pas un bon à rien, ses détails ont-ils été compris ? a demandé Sylvain.

— Il a été ramené chez les Bourcier par Hervé de l’extérieur. Une telle personne vivante, mais il y a seulement ses informations depuis trois ans. En raison du peu de temps, son origine ne peut pas être découverte pour le moment, a répondu Joseph.

— Continue à enquêter. Enquête-le clairement et puis parle-en, a dit prudemment Sylvain.

— Oui, je vais immédiatement aller ordonner à quelqu’un d’enquêter. Je ferai de mon mieux pour découvrir qui il est vraiment.

Joseph a serré les dents et a dit.

À ce moment-là, Phil est venu rapporter :

— Monsieur, le chef de la famille Duchamp, Thomas, est en visite.

Sylvain connaissait probablement déjà le but de cette visite et a dit d’une voix grave :

— Emmène-le d’abord dans le hall principal et serve-le bien. J’arriverai plus tard.

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