Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 75

Claude n’a pas complètement compris, il a demandé avec hésitation :

— Tu veux dire... Tu me guéris maintenant, je peux...

— Oui, ce n’est qu’une fois ce soir. À l’avenir, il faut te modérer. L’excès en tout est un défaut.

Jordan a souri.

— D’accord, d’accord.

Claude a finalement compris et a dit avec extase :

— Alors, Jordan, pourrais-tu pratiquer des aiguilles pour moi maintenant, s’il te plaît !

Jordan a hoché la tête et lui a demandé de s’allonger sur le canapé comme Jules.

Il a sorti les aiguilles d’argent et a piqué plusieurs points d’acupuncture.

Quelques minutes plus tard, le visage de Claude était rouge et tout son corps était un peu chaud. Il a regardé Jules avec des yeux brillants :

— Jules, prépare-toi ! Allons-y !

Jules s’est figé un instant et a immédiatement compris ce que cela signifiait. Il a pris son téléphone portable et a composé un numéro :

— Hugues, arrange-le pour moi !

Une demi-heure plus tard, dans une loge luxueuse du club, un groupe de jeunes et belles filles se tenait en rang. Lorsque Claude a jeté un coup d’œil sur elles, ses yeux se sont enflammés.

À cette époque, Jordan avait déjà laissé une prescription et quitté le club.

Vers midi le lendemain, quand Jordan avait acheté des herbes médicinales et était retourné au Quartier Beauté, il a reçu un appel de Jules pour se rencontrer dans un restaurant voisin.

Après une brève cérémonie, les trois se sont assis.

Il était inévitable qu’il y ait beaucoup de remerciements. Claude était particulièrement excité. Aujourd’hui, il sentait comme une autre personne. La joie a éclairé son visage.

Ils ont pris ensemble un bon repas.

L’atmosphère qui était encore un peu gênante est devenue cordiale.

Claude a claqué des doigts avec un visage rouge. Une belle serveuse dans une robe jaune à côté de lui a apporté un paquet haut de gamme et exquis.

— Jordan, je ne dirai pas plus merci. Bien que je sois grossier, j’ai des goûts snobs. Ces jours-ci à la Ville J, j’ai obtenu une telle peinture d’un ami qui aime la collection. Si tu l’aimes, accepte-la ! C’est le témoignage de ma gratitude. Ne la décline pas !

Sur ce, il a sorti un rouleau de peinture et l’a soigneusement dépliée.

— C’est « Le Château dans le Ciel » !

Quand il a vu la peinture, Jules a involontairement crié. C’était juste « Le Château dans le Ciel » de Serge Crépin. Il savait bien la valeur. Le prix aux enchères était de cinq millions d’euros.

Il savait que Claude avait préparé un cadeau pour Jordan, mais il ne s’attendait pas à ce que le cadeau soit si précieux et il était soudainement un peu gêné.

Depuis la dernière fois qu’il avait préparé les cinq millions d’euros pour Jordan, il manquait également d’argent en main maintenant, donc il ne pouvait pas lui donner des cadeaux décents.

Jordan a jeté un coup d’œil sur la peinture. C’était un objet d’art merveilleux avec des châteaux magnifiques et un paysage féerique.

Sur la peinture, se trouvait un poème dont le style était hardi. La calligraphie était vigoureuse et éthérée. Évidemment, c’était un tableau authentique de Serge Crépin.

Sans se dérober, Jordan a souri et a dit :

— Merci.

— Jordan, tu as traité ma maladie cachée pendant de nombreuses années et m’a donné la chance pour une nouvelle vie. C’est un cadeau en guise de remerciement.

Claude a agité la main.

Après avoir entendu cela, Jordan a hoché la tête avec le sourire.

Claude a continué,

— À l’avenir, si tu as besoin de moi, n’hésite pas à me contacter, je ferai de mon mieux pour t’aider.

— Ne fais pas attention à cela ! Je suis à la Ville J, trouve-moi directement.

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