Roman Chérie Remariée de Maître Yves chapitre Chapitre 24

Lisa, qui se tenait silencieusement à côté d’Yves, leva soudainement la tête et protesta bruyamment.

Le bruit soudain choqua tout le monde.

On ne s’attendait pas à ce que la pauvre Lisa, qui ne répliqua pas même si elle était tellement humiliée, change soudainement pour protéger Yves !

— Quel droit as-tu de lui dire comme ça ?

Après que le grand-père d’Yves l’avait appelée au bureau la dernière fois, Lisa découvrit que dans cette famille, il n’y avait personne pour se montrer sincère envers Yves. De plus, Yves ne la fit pas avorter. Alors Lisa changea son attitude envers lui.

Elle connaissait le sentiment d’infériorité.

C’était déjà un traumatisme dans son cœur qu’il était assis en fauteuil roulant toute l’année. Mais on évoqua cela comme parler d’un homme propre à rien.

À quel point Yves se sentit triste ?

— Lisa, pourquoi ne peux-je pas dire ? Je l’exhorte avec bonne intention. Sais-tu quel est le prix de la robe abîmée par toi ? Puisque tu ne peux pas la payer, tu veux compter sur cet homme handicapé ? soupira Maéva, ayant l’air amer, en fait, étant donné que tu as pris soin de Colin pendant tant d’années, je pourrais lui demander de t’aider à condition que tu me supplies à genoux.

Lisa tremblait de colère.

— Ne sois pas en colère. C’est seulement de 300 000 yuans. Tant que je lui dis, Colin veut bien me le donner. Après tout, pas comme la manière de te traiter, il me gâte toujours ces dernières années.

Maéva avait été seulement une maîtresse. Bien qu’elle devienne la femme de Colin maintenant, cependant, voyant qu’elle faisait de l’esbroufe devant elle, Lisa était encore fâchée. Donc elle leva la main pour la gifler.

— Ah !

Avant que Lisa ne la toucha, Maéva tomba en arrière en s’exclamant :

— Je suis si gentille de t’aider, mais tu me bats. Comment as-tu pu faire ça ? Chéri !

Colin se précipita pour la soutenir. Maéva saisit ses bras et dit à bout de souffle :

— Chéri, elle me bat. Elle ne sait pas apprécier les faveurs que je lui accorde. Tu lui donnes un avertissement pour moi.

Colin était un peu gêné. Après tout, les gens sensés pouvaient constater que la main de Lisa n’avait pas touché Maéva. S’il s’avançait pour lui faire la morale, ce ne serait pas...

— Chéri, j’ai mal au ventre. Dépêche-toi de lui donner une leçon pour moi.

Colin était un peu impuissant et chuchota:

— Ma chérie, elle ne t’a pas giflée tout à l’heure. Allons-y. Ne provoque pas de trouble.

En entendant cela, les yeux de Maéva rougirent d’un seul coup.

— Colin, as-tu retombé amoureux d’elle une fois que tu la vois ? Tu ne m’aimes plus ? Elle m’a malmenée ainsi que notre bébé.

N’ayant pas le choix, Colin avait dû pincer les lèvres, puis se dirigea vers Lisa.

Debout sur place, Lisa regarda fixement que Colin marcha devant elle et lui dit avec des efforts de se contenir dans les yeux :

— Lisa, je suis désolé.

Lisa sourit amèrement, disant :

— Alors tu vas me donner une leçon pour elle ?

— Je suis vraiment désolé, mais je... j’ai dû décharger la colère de Maéva.

Cela dit, Colin leva lentement la main. Lisa se mordit la lèvre inférieure, les larmes coulaient déjà dans ses yeux.

— Pourquoi ? J’ai commis des fautes ? Après que nous avons vécu ensemble pour deux années, tu me traites comme ça ? dit Lisa.

En voyant ses larmes, Colin avait un peu de pitié d’elle. Mais la femme derrière lui l’exhorta avec coquetterie. Colin leva la main et donna une gifle à Lisa.

Avec les yeux remplis de larmes, Lisa regarda sa main avec incrédulité et ferma les yeux de désespoir.

Des larmes scintillantes glissèrent du coin de ses yeux.