Roman Chérie Remariée de Maître Yves chapitre Chapitre 63

Julenne voulait pousser la porter et entrer.

Lisa était tellement effrayée et fit immédiatement des grands pour l’empêcher.

Julenne, elle prit la tête et fit la moue :

— Laisse-moi jeter un coup d’œil, s’il te plaît.

Lisa ne lui pas laissa de chance et la ramena à sa place :

— Julenne, arrête, sinon il va être fâché.

— Bon, comme tu as l’air si embarrassée, on va l’attendre jusqu’à qu’il aura fini son travail. Au fait, Lisa, cet Yves, il s’est fâché souvent contre toi ou pas ?

Lisa réfléchit en inclinant légèrement la tête et dit :

— Pas vraiment, mais à la base, le fait d’être marié avec moi est déjà un problème pour lui. En plus, il a une blessure à la jambe, même s’il n’a pas de bonne humeur, je comprendrais.

— Ah bon ? Julenne réfléchit un peu, En fait, je pense qu’il t’accepte que tu entres chez les Chevotet, c’est déjà pas mal. D’ailleurs, vu son apparence, il n’est pas genre inutile ou incompétent. M. Chevotet… ce que j’ai entendu des choses qu’on avait dit sur lui, ça ne lui ressemble pas.

Enfin, Yves finit son travail. Après qu’il partit, Lisa emmena Julenne à entrer dans le bureau d’Yves.

— Juste un œil, il ne faut pas rester longtemps, surtout pas toucher ses trucs, sinon, on nous découvrira.

Julenne fut assez sage, elle quitta son bureau avec Lisa après avoir jeté quelques coups d’œil. Sur le chemin du retour, Julenne demanda à Lisa à l’improviste :

— Lisa, ce soir, je viens chez toi ?

En entendant cela, Lisa sursauta, sa main trembla d’un coup et regarda Julenne avec un air étrange :

— Pardon, Julenne ?

Julenne sourit avec un air gêné, et répondit :

— Je disais, je viens chez toi en tant qu’invitée. Depuis que tu t’es mariée avec Yves, personne ne te rend visite, si ? Je pense que je devrais venir chez toi pour faire comprendre aux Chevotet une chose, c’est que derrière toi, tu as quelqu’un qui te soutient. C’est comme ça que les Chevotet n’osent pas t’intimider.

Les propos de Julenne furent tellement raisonnables et convaincants. Lisa n’y pensa pas trop, elle baissa la tête sans dire un mot.

Julenne remarqua que Lisa ne parlait plus et avait un air triste. Julenne fut un peu stressée et sa main sur le volant trembla à plusieurs reprises, et continua à dire :

— Si ça te dérange, laisse tomber.

— Mais non, je pense que ce que tu as dit est vrai. Depuis tout ce temps-là, je n’ai eu aucune visite.

Julenne fit une pause pendant un moment, elle pensa aux parents de Lisa et la consola :

— Tiens, il y a encore moi qui suis avec toi, non ? Lisa, tu peux me prendre comme ta famille.

Lisa sourit, et tout d’un coup, elle serra le cou de Julenne en disant :

— Julenne, merci.

Un peu plus tard, elles arrivèrent chez les Chevotet. Comme Lisa n’avait aucun statut dans la famille des Chevotet, elle prévoit d’aller voir Olivier d’abord pour lui demander l’avis. Sur le chemin, elle rencontra Brunoi.

Après avoir su qu’elle voulait voir Olivier, il lui expliqua d’une voix douce :

— Grand-père est toujours très en colère à propos de ce qui s’est passé, donc je ne te suggère pas d’aller le voir. Si tu as quelque chose, tu peux me dire.

Lisa réfléchit un peu, et puis elle lui raconta que Julenne était venue en tant qu’invitée. Après avoir dit ça, elle baissa la tête et demanda avec timidité :

— Je ne sais pas si c’est bien ou non… Donc, je voulais demander l’avis de mon beau-grand-père.

— Ce n’est pas grave, Lisa, maintenant, tu es aussi un Chevotet. Sur certaines choses, tu peux prendre des décisions toi-même, tu as le doit d’amener des amis.

Brunoi était toujours aussi modeste et poli, Lisa se doutait si elle ne l’avait pas mal compris.

Lisa ne remarqua pas que Brunoi l’appela différemment que d’habitude, voire elle-même, elle oublia que son prénom était Clélie dans cette grande famille.

— Merci, Brunoi, je vais faire entrer mon amie alors.

— D’accord, vas-y, sourit Brunoi.

Soudainement, il sortit la main et la mit sur la tête de Lisa pour frotter la tête de la fille :

— J’ai entendu dire que tu étais hospitalisée hier, ça va mieux maintenant ?

Ce geste était trop gâté et chouchoutant. Lisa recula un pas inconsciemment et secoua la tête en disant :

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