Roman Des années chapitre Chapitre 9

La nuit se passe, Cholé se lève tôt et prépare le petit déjeuner. Après le départ de Clément, elle dit à Yune : « Yune, demain, c'est l'anniversaire de la mort de ma mère, et je veux me recueillir. Je sais que tu n'aimes pas ma mère, mais, s'il te plaît comprends le cœur d'une fille. »

Les yeux bougeant, Yune admire son manucure et regarde Cholé : « Ma sœur, je ne suis pas si impitoyable, mais cette affaire, je dois d'abord la dire à Clément. S'il ne te permet pas de sortir, c'est pas moi de te contrôler. »

« D'accord. » Cholé ne peut qu'attendre que Yune demande à Clément et lui donne la réponse.

Heureusement, quelques minutes plus tard, Yune revient.

« Clément t'a permis, mais tu ne peux pas sortir trop longtemps et dois revenir le plus tôt. »

« D'accord, merci beaucoup. » Cholé hoche la tête, mais quand elle se retourne, elle se souvient que tous ses vêtements sont jetés la nuit dernière, « Yune, peux-tu me prêter des vêtements? »

« Hum, mes vêtements ne te sont pas prêtés, sinon, je me sens malade d'y penser. J'ai laissé un de tes vêtements hier soir dans la buanderie, tu pourras porter. »

« Merci. » Cholé est contente, tant qu'il y a des vêtements à porter, cela suffit, d'autres, elle ne choisit vraiment pas.

En entrant dans la buanderie, Cholé constate que Yune lui a laissé un uniforme de la famille Bourgogne. Elle ne s'empêche de soupirer que, maintenant, elle n'est pas la maîtresse de maison.

Mais elle ne peut pas sortir sans rien porter.

Cholé quitte la villa.

Elle n'est pas sortis depuis longtemps. Bien que chaque jour dans la villa elle peut voir le soleil, mais c'est un sentiment complètement différent de marcher au soleil.

Après avoir quitté le cimetière, elle entre tranquillement dans une pharmacie, et choisit un « pregnancy test kit » puis part.

Cholé entre avec anxiété dans la toilette publique.

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Des années