Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 109

Onze heures du midi, à l’Entreprise Dinomonde, dans le bureau du président.

Maxence Barbeau vient de sortir de la salle de conférence après la réunion. Ces derniers temps, à cause du scandale de Geoffroy, il y a des tas de problèmes dans le fonctionnement de la société. Beaucoup d’anciens clients, qui ont coopéré pendant de nombreuses années, demandent une compensation ou la fin de la coopération. Afin de stabiliser leur émotion, Maxence ouvre délibérément cette réunion.

Après avoir rassemblé les anciens partenaires des groupes, heureusement, lorsque la réunion est en cours, les responsables sont stables, ce qui soulage Maxence.

Toutes les personnes qui franchissent la porte sont habillées en costume. Maxence les fait sortir en se tenant sur la porte avec un sourire.

Tout en leur serrant la main, il promet :

— Messieurs, soyez rassurés. Quoi qu’il arrive, l’Entreprise Dinomonde a plus de vingt ans de fondation. Il ne peut pas être détruit par une seule chose. Il pourrait y avoir un impact récemment, mais je peux vous garantir que vos intérêts ne seront pas affectés.

— M. Barbeau, nous coopérons depuis tant d’années, ce n’est pas que nous n’avions pas confiance en toi, mais cette fois, celui que vous provoquez n’est autre que Jules Courbis. Je pense que nous savons tous qui il est, n’est-ce pas ?

Bien qu’il affiche un sourire sur son visage, au fond de lui, Maxence maudit cette personne discrètement.

— Oui, je sais. Nous essayons aussi de le résoudre. Le Cabinet J&M n’a rien fait contre nous. Ça peut être résolu...

Dès qu’il a fini de parler, l’ascenseur à l’extérieur de la porte principale de l’Entreprise Dinomonde s’ouvre avec un son « ding ». Une longue silhouette en sort et se dirige directement vers la porte principale.

Tout le monde regarde cette direction en silence, et se fige sur place.

Même si Maxence n’a pas repris ses esprits, il observe l’homme qui vient s’arrêter devant lui.

Après avoir gardé le silence pendant cinq secondes, l’un d’eux se reprend et s’avance rapidement pour lui tendre la main :

— M. Courbis, j’ai beaucoup entendu parler de vous, ravi de vous rencontrer. Je suis Thibaut Corne du Groupe de Corne. Qu’est-ce que vous faites ici ?

Jules jette un coup d’œil à l’homme, son regard glisse sur la main tendue et ne la retient même pas, il hoche simplement la tête en guise de réponse.

L’homme ne peut que retirer sa main en signe de gêne, et continuer à saluer unilatéralement.

Jules regarde Maxence, qui a environ 50 ans. Sa posture est laide, avec une apparence méchante et rusée. Son visage indique qu’il n’est pas une personne loyale.

Par conséquent, il n’est pas difficile de comprendre pourquoi Sara est si malheureuse dans leur famille. Tel père, tel fils.

Maxence croise le regard de Jules et il veut inconsciemment reculer. Les yeux de Jules semblent regarder à travers lui, ce qui rend les gens terrifiés.

Ce n’est pas une bonne chose de regarder en arrière, c’est la crise...

Maxence tourne les yeux et polit hypocritement :

— M. Courbis, pourquoi vous ne m’avez pas dit que vous viendriez, je devais vous accueillir...

Après avoir parlé, il titre sa tête et jette un coup d’œil au couloir derrière lui, il est vide.

Jules rentre ses deux mains dans les poches, sa posture est très polie.

— Arrêtez de regarder, je suis seul ici.

Se faisant rattraper, Maxence tortille son cou maladroitement,

— Non, non, vous pensez trop.

Jules ne se préoccupe même pas de ce qu’il a dit et scrute la porte d’entrée et le hall, finalement ses yeux tombent sur la jeune et belle employée de la réception.

— Pas mal, êtes-vous intéressée pour travailler au Cabinet J&M ?

La réceptionniste est stupéfaite. Elle n’arrive pas à croire que le PDG du Cabinet J&M s’est adressé à elle et lui propose également de travailler là-bas. Elle rougit immédiatement mais elle n’ose rien faire puisque Maxence est sur place.

Après tout, il y a encore un mois de salaire en attente.

Jules ne semble pas non plus s’intéresser à sa réponse et se satisfait de voir les changements dramatiques sur le visage de Maxence et des autres cadres de l’entreprise.

Maxence ne peut presque plus retenir son faux sourire,

— M. Courbis, quel genre de blague est-ce...

— Je ne plaisante pas avec vous.

Après avoir parlé, sa gorge est soudainement devenue chaude et irritée et il veut tousser, alors il s’arrête et se retient.

— Dois-je le dire ici ou à l’intérieur ?

Il montre une posture pour régler un compte, tant qu’ils ne sont pas aveugles, tous ceux qui sont sur le site pourraient le voir. Il veut juste frapper de front à la première rencontre avec lui, laissant l’Entreprise Dinomonde perdre les partenaires qui coopèrent avec eux.

A ce moment, ces patrons qui avaient initialement l’intention de rompre leur plan de coopération ne sont pas non plus stupides et s’effacent.

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