Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 114

La pupille de Sara se rétrécit et quand elle le voit clairement, elle a inconsciemment voulu s’enfuir.

Cependant, c’est dommage qu’il y ait une différence entre l’homme et la femme. Même si elle essaie de s’enfuir, elle ne peut pas échapper à sa poursuite.

Son poignet est tiré, et elle est envoyée contre le mur de la cour, son corps est jeté contre le mur innocemment. Son dos est choqué par le coup, ce qui fait que Sara se débat mais peut encore tenir et regarde l’homme en face d’elle avec vigilance,

— Ce monsieur, s’il vous plaît, laissez-moi partir !

Fabien sourit toujours. Bien que le coin de sa bouche ait formé un faux sourire, après avoir entendu le mot « ce gentleman », il a disparu.

— Ta mémoire n’est pas si bonne, tu m’as oublié si vite.

La respiration de Sara est instable,

— Désolé, certaines choses ne doivent pas être mémorisées, alors je les oublie.

En entendant ces mots, Fabien s’ébroue. Un grand homme de près d’un mètre neuf se tient devant elle comme un mur, surtout avec la lumière de son dos, il donne l’impression de tremper dans une pénombre.

— Tu ne devrais pas te souvenir ?

Il s’approche, ses yeux étroits se fixent sur elle,

— Ça ne me dérange pas que tu te souviennes un peu.

Le visage de Sara change complètement,

— Fabien, qu’est-ce que tu veux exactement ?

En entendant son nom s’échapper de sa bouche, son visage s’adoucit,

— Je ne veux rien !

— Alors laisse-moi partir !

Fabien regarde la femme rougir à cause de sa colère et commence immédiatement à jouer,

— Et si je ne te laissais pas partir...

— Toi ! Sara est tellement en colère qu’elle balaie les alentours, et admet sans le vouloir que c’est un excellent endroit caché. Il n’y a que peu de gens qui passent, le jardin est si grand qu’il n’attire pas l’attention.

Elle le regarde d’un air alarmé, pour se rendre compte à quel point il est affreux.

La colère passe progressivement et Sara se calme un peu :

— Pourquoi êtes-vous ici ?

La rencontre précédente est si désagréable que le simple fait d’apparaître au même endroit l’a rendue curieuse.

— Détendez-vous, je ne vous harcèle pas, je passe par là par hasard.

Fabien ne ment pas, mais il ne fait pas que passer, il vient délibérément ici, mais ne s’attend pas à la rencontrer.

Sara croit à moitié et doute à moitié de ce qu’il dit. Le téléphone dans sa poche sonne, Fabien la regarde et lâche une de ses mains tout en serrant l’autre,

— Décroche.

Sara roule des yeux et décroche en tremblant :

— Allô ?

— Tu es allée à l’orphelinat ?

sort la voix calme de l’homme, qui met à l’aise.

— Oui, je suis là.

Bien que Sara parle à Jules, son regard est fixé sur Fabien,

— Tu as fini ?

De toute évidence, Fabien est trop près pour entendre ce qu’ils disent.

— Pas encore, il y a encore une réunion plus tard.

Dès qu’il l’a dit, vient la voix de la secrétaire qui l’informe de la réunion, Jules ne tarde pas,

— Tout va bien ?

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