Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 120

Sara recule d’un demi-pas et tire la Marie pompette derrière elle, puis les regarde :

— Désolée, je ne reconnais pas Fabien.

De façon inattendue, ils ne semblent pas vouloir l’entendre et ajoute :

— Désolé, Mme Sara. Veuillez coopérer.

Sara inspire profondément, essayant de se calmer,

— J’ai dit que je ne connais pas le Fabien dont vous parlez. Vous n’avez pas le droit de me bloquer comme ça, écartez-vous s’il vous plaît.

— Mlle Sara, si vous ne coopérez pas, nous ne pourrons vous emmener que par la force.

Sur ce, ils s’avancent.

Le visage de Sara s’assombrit, son regard se promène parmi leur posture forte, ils cèdent à la force mais rejettent une approche douce, n’est-ce pas ?

Derrière elle, Marie semble ressentir une atmosphère étrange, elle demande doucement à l’oreille de Sara :

— Sara, qu’est-ce qui ne va pas ?

— Rien.

Sara la regarde :

— Comment vas-tu ? Tu peux marcher toute seule ?

— Bien sûr !

Sara acquiesce et dit à voix basse que seules les deux peuvent entendre, mais elle continue à regarder les gens sur le côté,

— Quand je crierai plus tard, tu courras avec moi.

Marie n’a pas pu garder son esprit et n’a fait qu’écouter ce qu’elle disait,

— Ok.

Sara regarde à nouveau l’homme en face d’elle. Après quelques secondes de silence, elle saisit la main de Marie et crie à voix basse :

— Cours !

Elle se retourne, marche à grands pas et halète violemment. Le vent est doux tout à l’heure, mais maintenant, c’est comme une lame qui souffle sur leur visage.

Tous deux courent désespérément vers la route principale. Leurs poumons sont brûlés par leur respiration rapide. Leurs mouvements ralentissent de façon incontrôlable, mais les bruits de pas derrière elles se rapprochent...

Sara a épuisé toute son énergie, mais ne peut toujours pas s’enfuir. Elle est saisie par les bras dans un rayon de 100 mètres !

— Mlle Sara.

La voix de l’homme est toujours aussi stable, comme s’il ne s’était pas enfui à l’instant.

Sara sait qu’elle ne peut plus se cacher et se retourne pour regarder le visage de l’homme. Avant qu’elle n’ait pu ouvrir la bouche pour parler, quelque chose a soudainement jailli et l’a frappé droit dans ses bras.

— Laisse-la partir.

Une voix claire vient de derrière, très familière.

En entendant ces mots, l’homme recule immédiatement de quelques pas, incline légèrement son corps avec respect,

— Fabien.

Fabien vient d’un endroit sombre, chaque pas semble marcher sur le sommet de la personne. Il marche régulièrement et s’arrête finalement devant Sara, puis regarde son poignet rougeâtre. Ses yeux calmes laissent les gens frissonner,

— Qui t’a dit de la toucher.

— Désolé, Fabien !

Fabien ne veut pas faire d’histoires et fait signe à son homme de battre en retraite.

Marie cligne des yeux et encore des yeux, se sentant abasourdie par la scène qui se déroule devant elle. Qu’est-ce que cela signifie ? Un super beau mec invincible, les a arrêtées dans cet endroit ?

C’est de la folie !

Marie fait quelques pas en avant et saute directement en face de Fabien. Elle tend la main pour le pousser, mais même si elle y arrive, elle est arrêtée par le garde du corps à côté de lui.

La force n’est pas contrôlée, et on entend les jurons douloureux de Marie,

— Putain de merde, c’est douloureux, laisse-moi partir ! T’es sourd ?

Quand Sara l’entend crier de douleur, elle est aussi anxieuse, et regarde Fabien avec inquiétude,

— Je leur ai dit de la laisser partir...

Fabien jette un coup d’œil sur le côté. Ça n’a rien à voir avec lui.

— Pourquoi ?

— Tu ne l’as pas entendue pleurer de douleur ?

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Femme divorcée : une irrésistible envie