Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 148

Paniquée, Sara rapporte l’adresse avec désinvolture. L’homme continue de la tirer, et elle raccroche accidentellement le téléphone.

Marie, qui attend Sara depuis un certain Time, se rend par hasard dans le couloir et est témoin de cet accident.

Elle se précipite et retire la main de l’homme,

— qu’est-ce que vous faites !

La bonne chose est interrompue, l’homme est sur le point de se mettre en colère, mais une fois qu’il se tourne pour voir le beau visage de Marie, le juron dans sa bouche devient une blague,

— Yo, vous êtes bons amis tous les deux ? Bonne Geoffroi, allons-y ensemble.

L’homme tend la main et Marie la repousse :

— Va-t’en !

— Hein, partir ? Tu vas me supplier dans un instant !

Voyant que les deux veulent s’en aller, l’homme se tourne de côté pour faire un clin d’œil à l’autre compagnon à l’arrière. Ce dernier arrive et coopère avec lui pour les entraîner.

Ce genre de choses est très fréquent dans les bars. Quand les gens sont ivres, tout le monde s’en fiche.

Sara est déjà ivre ; son corps est si mou qu’elle n’a plus d’énergie. Elle est traînée dans la chambre après quelques tirages. Alors qu’elle est sur le point d’ouvrir la bouche et de mordre l’homme, un vent froid et tranchant passe soudainement à côté d’elle, et elle ne peut voir qu’une ombre noire. L’homme qui lui attrape le poignet trébuche immédiatement et tombe.

L’homme n’est pas préparé, il ressent seulement une grande douleur dans l’estomac. Il reçoit un coup de pied d’une force énorme, et sa vertèbre caudale heurte le sol. Il semble qu’elle soit divisée, et cela doit être vraiment douloureux.

L’homme était arrogant il y a quelques minutes, mais maintenant il ne peut que se recroqueviller sur le sol pour se protéger. Il se prépare à voir qui vient de le frapper. Mais à la vue de l’homme, il a tellement peur qu’il fait presque pipi dans son pantalon.

— Re, Jules ?

Pas mal, il sait qui il est.

— Tu l’as touchée ?

Jules a légèrement ouvert ses lèvres minces. Ses mots ont figé l’homme sur place.

Il change de posture, passant d’une position semi-allongée à une position semi-agenouillée.

— Non, non, je n’ai pas fait ça... ... ah !

Sans attendre qu’il s’explique, Jules a déjà frappé l’homme au visage. La force est telle qu’ils peuvent même entendre le bruit du nez de l’homme qui se casse.

La musique dans le bar ne s’arrête pas. Cependant, il y a déjà beaucoup de gens qui les regardent tranquillement. Le gérant et la sécurité du bar n’osent pas agir. Ce n’est pas qu’ils s’en fichent, mais ils n’osent pas.

Qui est Jules ? Presque tous les habitants de la ville de J le connaissent, surtout dans un endroit comme ce bar. Il y a parfois des zones d’ombre dans le monde des affaires. Le patron du bar leur a dit pendant de nombreuses Times, qu’ils ne doivent pas offenser Jules à aucun Time et dans aucun endroit.

Même s’il veut détruire le bar, le patron n’ose rien dire.

Jules lui donne un coup de poing après l’autre. Il veut le clouer dans la boue. Le sang coule du nez et de la bouche de l’homme, mais Jules n’arrête pas jusqu’à ce que l’homme devienne inconscient.

Dans le monde des adultes, les gens font attention à l’esprit et à l’action. La chose la plus méprisable est d’utiliser un poing. Cependant, aujourd’hui, Jules ne peut s’empêcher de frapper l’homme.

Il n’arrive pas à se contrôler quand il voit que Sara est dans les bras de l’homme.

Il utilise un mouchoir blanc cassé pour se frotter doucement la main. Son geste est très élégant, ce qui est si différent du geste brutal.

Sara est complètement abasourdie. Elle est tellement ivre qu’elle ne peut pas se tenir debout.

Tout le monde s’inquiète pour Sara après avoir vu cette scène. Mais l’homme se penche et ramasse la femme sans dire un mot. Malgré les énormes mouvements, elle est soigneusement maintenue autour du cou. Ces mouvements font pâlir d’envie les femmes des alentours.

Marie est encore capable de marcher droit. Suivant à l’arrière, elle sort du bar en titubant. Une fois dehors, elle voit Jules coincer Sara dans la voiture et se précipite. Mais malheureusement, ses jambes ne la soutiennent pas. Elle tombe sur le sol en trébuchant...

Marie s’exclame et ferme les yeux pour se préparer à la douleur, mais la douleur imaginaire ne frappe pas. Au contraire, elle est remplacée par une étreinte chaude et ferme.

Hey ?

Pourquoi ça ne fait pas mal ?

Une seconde, deux secondes, cinq secondes... Marie ouvre les yeux et voit un visage beau mais peu accueillant, ancré dans sa mémoire.

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