Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 181

On dirait qu’il caresse un chiot avec cette expression et ce ton.  

Sara penche la tête pour échapper à son contact, mais elle est alors tirée en arrière. Jules couvre tout son corps d’un manteau, sans même dévoiler son cou, puis il dit :

— Monte dans la voiture.

Sara jette un coup d’œil à la voiture à côté, puis à l’homme qui se tient devant la villa. Soudain, elle se souvient de quelque chose et se sent touchée. Elle enlace Jules, les mains sur ses épaules, se met sur la pointe des pieds et embrasse l’homme sur ses lèvres fines.

Ce n’est qu’un baiser fugace, aussi doux que le toucher d’une plume qui balaie le cœur. David, qui se tient à plusieurs pas, détourne poliment le regard. Mais il est très choqué.

La femme lève la tête pour embrasser l’homme, et l’homme baisse la tête avec obéissance et douceur. Un regard aussi rapide laisse une profonde impression sur David.

Une scène aussi heureuse lui rappelle Angéline, la femme vulnérable qui gît dans une chambre stérilisée. Pas étonnant qu’elle soit si radicale. Si elle voit cela, elle sera douloureuse.

Alors que David est perdu dans ses pensées, une ombre noire s’approche soudainement. Il revient à lui et constate qu’il s’agit de Jules. Il s’incline alors immédiatement en saluant de manière respectueuse :

— M. Courbis.

Jules le regarde avec ses yeux aiguisés et lui demande :

— À quoi penses-tu ? Tu es si captivé.

— Je suis désolé. J’étais distrait à l’instant.

Une couche de sueur apparaît immédiatement sur le front de David. Heureusement, sa tête est baissée, donc Jules ne la trouve pas.

Jules ne demande plus rien. Il tourne la tête, regarde la voiture qui disparaît à la porte de la villa, puis il se dirige vers la villa.

...

Lorsque David revient dans la chambre stérilisée, Angéline s’est réveillée. Puis l’équipe de Quentin arrive également. Tous les hommes de l’équipe ont déjà signé un accord de confidentialité.

Angéline est entourée de personnel médical en blanc. Ils lui font subir divers examens. Et Marian, qui est comme un morceau de viande sur la planche à découper, fixe le plafond d’un regard vide, sans se soucier de ce qu’ils font sur elle. Il semble que ce ne soit pas son corps.

Lorsqu’elle se réveille, elle sent immédiatement que son corps est pénétré par divers appareils et instruments médicaux. Cette sensation lui est très familière, et elle devient même apathique à son égard. Elle se sent même désespérée par son corps.

Une demi-heure plus tard, l’agent médical de l’équipe tient une réunion, et Jules est également assis au dernier rang, faisant office d’auditrice. George assiste également à la réunion grâce à un système de vidéo à distance.

Carl parle un anglais professionnel et courant et raconte en détail tout ce qui s’est passé aujourd’hui au docteur George, dont le visage devient de plus en plus sérieux à mesure qu’il écoute la narration de Carl.

La situation est bien plus grave que ce qu’il avait imaginé.

— Comment est son état mental ?

— Pas bon. Elle est pessimiste. Bien qu’elle coopère de manière proactive avec notre traitement, elle n’est pas optimiste.

George est un peu inquiet et dit :

— Elle se fait du mal, et vous êtes tous responsables de son état mental pessimiste !

Tous les médecins exceptionnels veulent de l’argent, mais ce qu’ils veulent le plus, c’est que chaque patient puisse être guéri sous leur traitement. Il est retourné dans son pays, et ils ont laissé Angéline se blesser dans un si court temps, ce qui rend George agacé.

Bien qu’il soit clair que personne ne veut que cela arrive, mais quelqu’un doit répondre de cela.

Carl fronce les sourcils et dit :

— Il y a peut-être une autre raison.

— Quel genre de raison ? Se ferait-elle du mal sans aucune raison ?

George estime que cette hypothèse est tout à fait ridicule lorsqu’il la dit tout haut. Et David se moque de lui-même en entendant cela.

L’atmosphère de la réunion devient morose. Jules, qui n’a pas dit un mot pendant la réunion, demande soudain :

— Elle m’a dit une fois qu’elle voulait vivre avec moi, cela affectera-t-il le traitement ?

— Si c’est sa volonté, alors cela n’affectera pas son traitement.

George répond, le ton devenant sérieux, puis il ajoute :

— L’humeur du patient est cruciale pour le traitement. Vous feriez mieux d’accepter sa demande, si...

George regarde autour de lui les visages de toutes les personnes présentes avec ses yeux marron foncé, puis il ajoute :

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