Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 208

Sara regarde jusqu'à ce que la voiture disparaisse de sa vue et se tourne pour monter à l'étage. Elle porte beaucoup de choses à la main, ce qui lui donne des sueurs froides une fois qu'elle a grimpé au quatrième étage.

Alors qu'elle est juste devant la porte et qu'elle veut frapper à la porte, Claudie se précipite :

— J'ai entendu ta voix tout à l'heure, pourquoi tu viens si tard. Tu... tu, tu emménages?

Claudie voit un tas d'objets dans sa main, ce qui laisse penser que le petit corps est sur le point de tomber. Elle s'avance alors précipitamment pour l'aider à porter quelques affaires.

Lorsqu'ils entrent dans la maison, Francis voit que sa femme et sa fille portent un tas de choses, il se sent un peu surpris,

— Qu'est-ce que c'est ?

Sara se penche pour poser les objets, sans vraiment savoir comment l'expliquer. Elle trouve alors une excuse au hasard :

— C'est le prix de l'année de l'entreprise et aussi quelque chose que j'ai acheté. Je ne peux pas l'utiliser toute seule alors j'en apporte pour vous les gars.

— Hmm. Francis s'approche et jette un coup d'oeil au sac, visiblement incrédule,

— Tu crois que ta mère et moi sommes idiots, tu peux te permettre ces choses ?

Sara se touche le nez maladroitement et marmonne :

— Papa, tu ne me rabaisses pas trop.

Quand Francis travaillait au gouvernement avant, beaucoup de gens lui envoyaient des cadeaux. Il y avait toutes sortes de choses. Même s'il ne les a pas acceptées, il les comprend imperceptiblement. Ces choses sont définitivement inabordables pour le salaire de Sara pour quelques mois.

Claudie ouvre un sac au hasard. A l'intérieur, il y a un téléphone portable dernier cri. Elle fronce immédiatement les sourcils et recouvre les objets,

— Sara, d'où viennent ces choses?

Sara ne pouvait pas le cacher mais seulement dire la vérité,

— C'est de Jules pour vous les gars...

— Jules?

— Ouais... Sara baisse inconsciemment la tête,

— Il a dit que c'était son cadeau pour vous les gars.

En fait, les mots originaux de Jules sont, ces choses sont considérées comme un petit cadeau. La prochaine fois qu'il en aura l'occasion, il leur rendra officiellement visite. Sara n'ose pas dire le reste. Elle a peur qu'une fois que Francis sera agité, il l'expulse directement par la porte.

Le vieux couple regarde le cadeau sur le sol, puis tourne la tête pour se regarder l'un l'autre. Leurs yeux sont pleins de contradiction et de confusion.

Claudie prend la main de Sara pour la tirer vers le canapé,

— Sara, ces choses ne sont pas que des petits cadeaux. Nous ne pouvons pas l'accepter, tu devrais le rendre...

— Maman, puisqu'il a été apporté à notre maison, prends-le. Il l'a envoyé et ne le reprendra pas. En pensant qu'elle doit le reprendre, elle est inquiète. D'après ce qu'elle sait de Jules, ils vont inévitablement se disputer à nouveau. De plus, il va certainement la renvoyer à nouveau.

En entendant ses mots, Francis perd soudainement son sang-froid,

— Quelle est ta relation avec lui maintenant. C'est impossible pour moi et ta mère d'accepter ses cadeaux indistinctement!

Le vieux couple est honnête depuis qu'il est jeune. Même s'ils ont passé la majeure partie de leur vie dans l'administration, Francis n'est pas ce genre de bureaucrate cupide ; c'est une personne très honnête.

— Papa! Sara est un peu en colère en l'entendant,

— Pour qui me prends-tu?

— Alors dis-le honnêtement, qu'est-ce qui se passe? Claudie joue le rôle de pacificateur entre eux, de peur que le père et la fille se disputent et que le réveillon soit malaisé.

Sara soupire profondément, elle est forcée jusqu'à ce qu'il n'y ait plus rien à faire que de faire une déclaration solide entre eux deux,

— J'ai une relation normale avec Jules, nous sortons ensemble.

— Même si tu sors avec quelqu'un, tu ne peux pas accepter des choses aussi précieuses. Francis n'abandonne pas et pointe son doigt vers le paquet cadeau posé sur le sol :

— Rapporte-le lui!.

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