Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 261

Jade sait aussi qu'il n'y a aucun moyen de battre en retraite à ce stade. Ainsi, il est inutile d'en dire plus. Elle a fait tout ce qu'elle pouvait faire. Quant au reste, ce sont les affaires d'Angéline. Elle ne veut que de l'argent et le reste n'a rien à voir avec elle.

— Alors fais attention. Quand vous aurez le truc, transférez deux tiers de l'argent sur mon compte.

— Détends-toi, je ne te dois pas ce que je t'ai promis. Angéline lui promet gaiement ; elle ne montre aucune apparence distrayante du tout. Ainsi, Jade est également convaincue d'elle.

L'argent précédent a été transféré à temps. Cette fois, il ne devrait pas être retardé aussi. Même si elle le retarde, n'aurait-elle pas peur qu'il la dénonce ? Elles sont maintenant dans le même bateau.

En y pensant, Jade est plus à l'aise. Angéline ne changera jamais d'avis.

Cependant, elle a sous-estimé la méchanceté de cette femme. Maintenant, elle ignore encore qu'elle est la victime depuis le début du plan.

.....

Il est plus de sept heures du soir, une fois l'inspection et le dîner terminés. Angeline trouve une excuse pour se glisser dans le jardin de l'hôpital. Il n'y a que quelques personnes ici pendant la journée, et encore moins la nuit, il n'y a personne du tout.

La caméra de surveillance de l'hôpital est très stricte, c'est la seule zone où la surveillance est moindre. Premièrement, ce n'est pas dans la zone médicale. Deuxièmement, l'autre caméra au coin de la rue est en réparation. Ainsi, c'est une zone aveugle du moniteur.

Peu importe la rigueur de la surveillance, il y a toujours un endroit avec beaucoup de secrets.

Angéline utilise ce genre de "vide" pour se glisser avec succès. Elle cherche dans le coin pendant un long moment mais ne trouve pas. Voyant que le temps s'est écoulé depuis presque dix minutes, elle brûle d'impatience, et alors qu'elle est sur le point de rentrer sans avoir rien accompli, soudain, elle marche sur une lourde pierre.

En regardant vers le bas, la terre brun foncé sous la pierre grise sur le sol a manifestement été ameublie. Elle s'accroupit et creuse à deux reprises. Bientôt, le bout de ses doigts touche le verre tubulaire froid.

Elle le sort à la hâte. Le tube de verre cylindrique de l'épaisseur d'un petit doigt fait à peine la taille d'un pouce. Un liquide jaune clair est hermétiquement fermé à l'intérieur.

D'après l'apparence extérieure, il s'agit d'un petit tube de médicament ordinaire utilisé dans les hôpitaux et les cliniques, qui sert à faire des gouttes. Cependant, Angeline sait à quel point cette chose est horrible.

Ces quantités sont suffisantes pour tuer un adulte.

Elle cache le petit tube de médicament dans sa manchette et le serre sur sa paume de sorte que lorsque la manchette tombe, il suffit de le bloquer. Après avoir enterré à nouveau le sol, elle part rapidement sans attendre.

Afin d'éviter la zone de surveillance et de ne pas éveiller les soupçons, elle se rend délibérément dans le salon, qui est relié à la zone aveugle. Ainsi, on dirait qu'elle sort du salon.

Afin d'observer cela, Angeline a ménagé beaucoup d'efforts. Elle marche seule dans l'hôpital un nombre incalculable de fois, en disant que c'est pour se rétablir. Mais en fait, c'est pour observer.

Quand elle retourne enfin dans le service, il est sept heures et demie. Elle prend le téléphone pour appeler Sara. Cependant, au lieu d'utiliser son petit téléphone, elle utilise son numéro de téléphone habituel.

Le téléphone sonne plusieurs fois avant d'être décroché ; la voix au bout du fil est un peu fatiguée,

— Allô ?

— C'est moi. dit Angeline tout de suite.

Sara, initialement assise sur le canapé, fronce immédiatement les sourcils et se redresse en entendant cette voix familière.

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Femme divorcée : une irrésistible envie