Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 347

Boom !

Dans un bruit sourd, les deux voitures entrent en collision frontale. Sara freine à fond et fait tourner le volant brusquement, mais cela ne sert à rien. Prise de vertige, Sara est sévèrement étranglée par la ceinture de sécurité. Bien qu'elle ne puisse pas voir ce qui se passe, elle peut sentir que la voiture est sur le point de se retourner.

Le pare-brise avant est entièrement brisé, et l'airbag se déploie mais ne parvient pas à empêcher les débris de verre. Sa tête frappe la boucle de la ceinture de sécurité de manière incontrôlée.

À ce moment-là, tout son cuir chevelu est engourdi, et elle ne peut même pas sentir la douleur. Il lui faut quelques secondes avant de se rendre compte qu'un liquide chaud coule dans ses yeux, lui bloquant la vue...

Toutes les voitures qui suivent Sara s'arrêtent sur place à cause de cet accident soudain. Un homme britannique regarde sa voiture faire une marche arrière de 360 degrés et s'arrêter finalement après que la moitié de la voiture se soit enfoncée dans la ceinture verte. De la fumée blanche s'échappant du capot avant, il court immédiatement vers l'avant et ouvre la portière principale déformée, entraînant Sara à l'extérieur.

Un autre homme l'aide également. Les deux déplacent Sara hors de la zone d'explosion.

Le visage et le corps de la jeune fille sont couverts de sang. La blessure la plus évidente est celle du front gauche, qui n'est pas très profonde, mais il y a beaucoup de sang qui coule.

Maintenant Sara est toujours sobre,

— Am...ambulance, aidez-moi...

...

De l'autre côté, Fabien est très heureux que Sara prenne l'initiative de le contacter, mais il ne s'attend pas à entendre les freins sévères et s'écrase avant de dire quoi que ce soit.

Le visage de l'homme devient soudainement pâle. Il se lève brusquement de sa chaise de bureau,

— Sara ? Sara, tu m'écoutes?

La réponse qu'il obtient est un simple sifflement, puis un silence effrayant.

Fabien a peur :

— Où es-tu, Sara ? Réponds-moi... Allô?

L'appel est interrompu.

Fabien fixe son téléphone, tandis que la température de tout son corps se refroidit. Il vérifie l'emplacement de son dernier appel et constate qu'il se trouve sur une route principale avec beaucoup de trafic.

— Rat-a-tat-tat

L'assistant qui tient le dossier attend à l'extérieur et s'apprête à entrer, pour rappeler la réunion au patron. Il ne s'attend pas à ce que la porte du bureau de réunion s'ouvre à la seconde suivante. Il est stupéfait :

— Monsieur....Monsieur Fabien...

Fabien n'a même pas un regard pour lui, et sort directement. L'assistant s'empresse de le suivre mais constate que son patron a atteint la porte de l'ascenseur.

Il regarde tranquillement le visage froid de Fabien, en pensant à ses responsabilités, et rappelle encore en tremblant :

— Monsieur Fabien, il y aura bientôt une réunion...

— Annulez-la. Le visage de Fabien est pâle et effrayant. Il se voit clairement plein de peur dans le reflet de la porte de l'ascenseur. En ce moment, une réunion ne vaut pas la peine d'être mentionnée. Même s'il doit transférer ses biens, il doit trouver Sara immédiatement.

Avec embarras, l'assistant voit Fabien entrer dans l'ascenseur. En pensant aux directeurs qui attendent encore dans la salle, ses jambes ne peuvent s'empêcher de trembler. Il, il ne peut vraiment pas arrêter M. Fabien !

...

Fabien sait que Sara a été emmenée à l'hôpital après son arrivée à cet endroit. Heureusement, il ne lui faut que dix minutes de plus pour arriver à l'hôpital.

Il est si anxieux que Sara n'a même pas subi un examen complet lorsqu'il arrive à l'hôpital.

Fabien se rend directement dans la salle d'examen médical. La blessure sur son front a été traitée avec un pansement blanc. Elle a quelques croûtes sur le visage, qui ne sont pas très graves. A ce moment, elle semble un peu étourdie de le voir apparaître.

Fabien pousse un soupir de soulagement. Il vient de voir que la voiture était terriblement endommagée, et il s'est dit que ce n'était certainement pas une blessure mineure. Heureusement, son traumatisme n'est pas évident.

Avant qu'ils ne parlent, Sara a été poussée dans un appareil d'examen complet du corps, qui dure près de vingt minutes.

La technologie de l'hôpital est très avancée, et le rapport d'inspection peut être émis immédiatement. Le médecin s'approche de lui et avoue à voix basse :

— Il y a une légère commotion, quatre points de suture sur la blessure du front, qui n'est pas très grave, et la cuisse de la jambe gauche est touchée et tendue. En conséquence, elle peut marcher lentement. D'autres problèmes n'ont pas été découverts pour l'instant, et elle doit être hospitalisée pendant trois jours.

Fabien accepte le rapport et hoche la tête,

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