Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 371

Après le départ de Tatiana, Mélissa pose quelques questions à Jules. Voyant qu'il ne veut rien dire, elle rentre chez elle avec Renaud et Bernadette.

Le grand-père de Jules l'appelle dans le bureau. Le grand-père est assis à côté de la table, tandis que Jules se tient de l'autre côté de la table. L'atmosphère de confrontation est très évidente dans le bureau.

— Parlons-en. Qu'est-ce qui se passe avec le petit ? "demande d'abord grand-père.

Jules répond sans trop d'expression faciale :

— C'est l'enfant de Lily et le mien. Il a quatre ans et me ressemble. C'est tout.

— Je vous demande exactement ce qui se passe ! Quand et où l'enfant est né ? Dis-moi tout en détail! Le grand-père augmente son volume.

En entendant cela, Jules répond avec amertume :

— Sara était enceinte il y a cinq ans quand l'accident est arrivé. Elle m'a quitté pour cet enfant. Elle a accouché au Royaume-Uni et l'a élevé seule. Je n'en sais pas beaucoup plus. Tu dois lui demander toi-même si tu veux en savoir plus.

Ce ne sont pas seulement eux qui ne sont pas là pour elle toutes ces années, mais aussi lui-même.

Grand-père écoute attentivement, et finit par dire :

— Quel est le nom du gamin?

— Néo. Ça veut dire Fortune et Lance. Souhaitons que Néo ait du flair, la grâce d'un Fred Astaire.

— C'est un garçon?

— Oui.

Grand-père hoche la tête,

— C'est un bon nom, mais... pourquoi suit-il le nom de famille de Sara ?

— Elle ne voulait pas que je sache quand elle a accouché. C'est pourquoi il suit le nom de famille de Sara. Aussi, tu n'as pas à t'inquiéter de son intention de revenir. N'est-ce pas? Jules sait qu'ils vont se demander pourquoi elle revient, alors il le mentionne d'abord pour qu'ils ne disent rien.

— Peu importe ce qui s'est passé entre vous et elle, l'enfant doit suivre notre nom de famille. Sinon, nous serons la risée des autres! Le grand-père de Jules est très conservateur. Il pense que l'enfant doit suivre le nom de famille du père.

Cependant, son grand-père ne fait pas de différence entre les garçons et les filles, du moment qu'ils sont de sa famille.

Jules pense que c'est ridicule avec ce que son grand-père dit. Mais ce que dit son grand-père signifie aussi qu'il approuve cet enfant, mais...

— Sara a mis au monde et élevé l'enfant toute seule. Le nom de Néo est sur son livret de famille. Tu crois vraiment que tu peux changer le nom de famille de Néo facilement ? Même si je veux le changer, Sara n'est pas forcément disposée à le faire.

— Pourquoi dirait-elle non ? Si l'enfant rejoint notre famille, il n'y a que des avantages pour lui.

— Pensez-vous que tout le monde a envie de rejoindre notre famille ? Elle a une vie confortable au Royaume-Uni par elle-même. Sans moi, elle gagne assez de richesse pour le reste de sa vie.

— Toi! Grand-père reste sans voix. Il tapote la table avec colère :

— Tu es tout simplement fasciné par cette femme!

— Oui, elle me fascine. A présent, Jules ne le nie plus.

— Et j'étais fasciné par elle il y a cinq ans. Tu le savais.

— Ok, bien, tu es bien... Grand-père est complètement sans voix. Il ne peut que le regarder fixement. Au bout d'un moment, il dit en colère :

— Si tu en es capable, occupe-toi de toutes ces choses gentiment. Ne nous oblige pas, moi et ta grand-mère, à nous inquiéter pour toi. Tu as déjà 37 ans. Combien d'années de plus dois-tu attendre?

Ce qu'il dit est exactement ce que Jules attend. Ses yeux sombres se rétrécissent un peu et une lumière vive les traverse :

— Je veux être stable avec elle. Je serai avec Sara immédiatement si vous êtes d'accord.

Grand-père comprend enfin ce qui se passe. Jules essaie de l'énerver pour obtenir ce qu'il veut.

Grand-père se calme et demande de manière ambiguë :

— N'as-tu pas dit que même si tu le veux, Sara n'est pas nécessairement disposée à le faire ? Tout à coup, tout dépend de ta décision?

— Alors attendons de voir si je peux les ramener chez moi.

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