Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 407

Sara a sûrement de la fièvre et elle semble sévère car sa température corporelle atteint plus de 40℃.

Marie secoue les épaules de Sara, pour essayer de la réveiller :

— Sara, Sara?

Vaguement consciente que quelqu'un la secoue, Sara reprend conscience et ouvre faiblement les yeux. D'une manière ou d'une autre, elle trouve que la lumière du soleil qui entre par les fenêtres est si aveuglante qu'elle la met mal à l'aise.

Mais c'est la fièvre qui la rend malade, pas la lumière.

Bien que Sara soit réveillée maintenant, elle se sent fortement étourdie et faible. Marie lui met une compresse anti-fièvre sur le front, lui fait prendre des médicaments et finit par appeler une ambulance.

La période d'attente est si pénible et rend Marie extrêmement agitée alors que l'ambulance ne met que quelques minutes à arriver.

La température du corps de Sara est si élevée que le médicament qu'elle a pris ne fonctionne pas du tout.

La fièvre n'est pas une maladie grave, mais une température aussi élevée peut entraîner de nombreuses complications, comme une pneumonie, un œdème pulmonaire ou une méningite. C'est difficile à dire.

Marie ne pouvait rien faire pour aider en attendant l'équipe médicale, à part changer les coussins réfrigérants et être anxieuse.

Heureusement, l'ambulance arrive bientôt. Des infirmières montent à l'étage avec un fauteuil roulant, tirent Sara du sol et la placent dessus, puis vont directement dans l'ascenseur et la transfèrent dans l'ambulance.

Tout se passe si vite que Marie n'a pas le temps de se changer. Elle enfile alors à la hâte un manteau quelconque et accompagne Sara à l'hôpital.

Sur le chemin de l'hôpital le plus proche, l'Hôpital Universitaire de la Cité J, une infirmière lui pose une perfusion pour tenter de faire baisser sa température anormalement élevée.

Une fois arrivé à l'hôpital, le personnel médical lui fait passer une série de tests. Marie est littéralement abasourdie lorsqu'elle voit le thermomètre de Sara, qui indique que sa température corporelle est montée à -10°C.

42℃.

Dans le système de connaissances médicales limité de Marie, une fièvre avec une température corporelle supérieure à 39℃ est plutôt grave ; si elle dépasse 40℃, elle provoquera probablement un état d'esprit confus et une hallucination. 42℃ est quelque chose qu'elle n'a jamais vu auparavant.

Le médecin qui mesure la température corporelle de Sara est apparemment surpris lui aussi, car lorsqu'elle prépare le médicament de la perfusion, elle ne cesse de dire à Marie :

— Pourquoi n'avez-vous pas appelé l'ambulance plus tôt ? Personne ne pourrait l'aider si sa température monte à 43℃!

Les mots du médecin tourbillonnant dans sa tête, elle répond :

— Ce n'est pas aussi grave entre hier soir et ce matin.

— Elle peut à peine parler dans cet état. Quelqu'un doit s'occuper de votre amie pendant qu'elle est ici. On ne peut pas être trop prudent. La fièvre est un gros problème qui s'accompagne de complications délicates", soupire la femme médecin.

— Restez avec elle. Faites-nous savoir s'il y a quelque chose.

Marie acquiesce et s'assied au chevet de Sara. Le teint pâle de Sara est un signe évident de sa grave maladie ; Marie se sent si mal pour elle.

Fabien a appelé deux fois lorsqu'elle reste avec Sara. Elle n'a pas répondu aux appels, mais lorsqu'il appelle une troisième fois, elle sort de la salle et lui répond poliment dans le couloir :

— Allô, Fabien?

Fabien s'arrête un instant en entendant une voix inconnue provenant du téléphone. Il essaie de comprendre le propriétaire de cette voix dans son esprit,

— Qui c'est?

— L'amie de Sara, Marie.

— Où est-elle?

— Oh, Sara n'est pas avec moi. Marie utilise l'excuse qu'elle a préparée avant de prendre l'appel, en agissant naturellement :

— Elle a laissé son téléphone dans mon appartement hier. Elle le récupérera après le travail.

Il est silencieux pendant un moment.

Un nœud de tension se forme dans son estomac. Marie a peur qu'il ne l'achète pas.

— Fabien, tu m'écoutes?

— Oui. Il n'y a pas d'émotion dans sa voix, donc il est difficile de dire s'il la croit ou non.

— S'il vous plaît, dites à Sara que j'ai appelé quand vous la verrez.

Marie pousse un soupir de soulagement :

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