Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 422

Le lendemain matin, Sara est réveillée par le bruit à l'extérieur de la chambre.

Quand elle ouvre lentement les yeux, elle ne trouve personne à ses côtés. Il est presque huit heures. Comme la porte est entrouverte, elle peut entendre Jules et Néo parler -

— Oncle Jules, j'ai besoin de ma mère!

— Elle dort. Revenez plus tard.

— Non. Nous avions prévu d'escalader la montagne ce matin. Il est déjà huit heures. Je dois réveiller maman.

— Chut, tais-toi. Hier, maman était tellement épuisée qu'elle a besoin de plus de sommeil. Tu descends prendre ton petit-déjeuner d'abord.

— Non! Néo qui est rarement têtu élève la voix. Il dit honnêtement :

— Cette nuit, maman dormait à côté de moi. L'oncle Jules doit la voler à minuit!

Jules reste patient mais dit froidement :

— Je n'ai pas besoin de voler.

— ... Sans voix, elle se redresse pour prendre les vêtements, réalisant qu'elle ne porte pas de soutien-gorge.

De toute évidence, Jules l'a enlevé. Quand elle sort de la robe moulante, elle découvre de nouveaux suçons sur sa poitrine. Elle soupire mais ne peut s'empêcher de ressentir une sensation de brûlure à l'intérieur.

Il... essaie par tous les moyens de la séduire !

Elle met le soutien-gorge. Au moment où elle le boutonne, Jules entre soudainement dans la pièce.

Sara est un peu choquée, tout comme Jules. Nerveusement, elle n'arrive pas à le boutonner.

Jules verrouille la porte et s'approche d'elle en regardant son corps mince dans le miroir :

— Laisse-moi t'aider.

— Non, je n'ai pas besoin de votre aide...

Au mépris de son refus, Jules prend les bretelles, caressant son dos du bout de ses doigts rugueux et resserrant délibérément le soutien-gorge. Ce n'est pas compliqué de remonter les boutons mais il y passe une demi-minute.

Avec une rougeur brûlante sur le visage, Sara dit :

— Tu as fini ?

Sa pomme d'Adam bouge de haut en bas tandis qu'il regarde ses magnifiques seins. Il détourne le regard et boutonne son soutien-gorge :

— C'est fait.

Après avoir enfilé rapidement la chemise, Sara se sent moins gênée. Elle demande, en montrant les suçons sur ses clavicules,

— Tu l'as fait hier soir?

— Non.

Sara roule des yeux et va le contredire mais il continue :

— Je l'ai fait ce matin.

— ...

Jules essaie de lui faire comprendre :

— Tu sais, les hommes sont facilement excités le matin, alors...

Ses mots sont si vulgaires que Sara serre les dents :

— Va te faire voir!

Elle l'écarte et sort rapidement de la pièce.

En la voyant s'enfuir précipitamment de la pièce, Jules ne peut s'empêcher de rire.

Sara s'en va à grands pas, le visage rouge comme une pomme mûre. Quand Néo la voit, il demande confusément :

— Maman, tu as de la fièvre?

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