Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 573

Lorsque Fabien revient au café de l'hôtel, Jeanne et Néo s'amusent. Tous deux tiennent les entonnoirs de café glacé sur la table. En le voyant entrer, Néo prend même la tasse de café qui se trouve devant lui et la tend à Fabien en disant:

— Tonton Fabien, c'est le café que j'ai fait pour toi.

Fabien se détend légèrement et prend une gorgée.

— Pas mal.

Néo est un grand garçon maintenant, et il sait qu'il doit s'occuper de moi. Je suis si ému ! Fabien se parle à lui-même.

— Mlle Marie est partie?

Jeanne a demandé.

— Oui.

— Tonton, où est-ce qu'on va s'amuser tout à l'heure?

Néo n'a pas vu Fabien depuis longtemps, mais il le trouve toujours familier et aimable. Il est heureux à l'idée de passer du temps avec son oncle.

— Où voulez-vous aller ?

Néo roule les yeux et dit avec enthousiasme:

— Je veux aller à la salle d'arcade ! Je veux jouer au basket et faire des courses de voitures !

Avant, Sara n'avait jamais voulu l'emmener dans ces endroits, alors naturellement, Fabien refusait aussi la demande de l'enfant. Cependant, en voyant Néo rire si joyeusement, Fabien ne peut supporter de le décevoir. Il acquiesce et accepte:

— D'accord, je t'y emmène, mais tu dois être obéissant. Ne t'enfuis pas.

— Je le ferai ! Je vais le faire ! Je le ferai !

Néo répète plusieurs fois "Je vais.

Il arrête même de manger son petit gâteau et tire immédiatement Fabien pour partir en disant:

— Allons-y~.

Quand ils arrivent à la porte, Néo n'oublie pas d'emmener Jeanne. Il dit:

— Ma belle tante, tu devrais venir avec nous !

Personne ne détestera un enfant aussi mignon, et Jeanne ne fait pas exception. Elle dit:

— D'accord, je viens avec vous.

...

Ils quittent l'hôtel et se rendent directement dans une salle de jeux voisine. Dès qu'ils atteignent la porte, ils entendent des bruits chaotiques provenant de l'intérieur. Jeanne ne s'est pas rendue dans un tel endroit depuis longtemps et n'est pas habituée à ces bruits, elle se bouche les oreilles.

Fabien, en chemise blanche et pantalon noir, se tient parmi un groupe d'enfants de quinze ou seize ans. Il se détache du reste de la foule et n'est surtout pas à sa place.

Le "vieil" homme se dirige vers le comptoir. Les deux caissières endormies se lèvent rapidement de leur chaise et demandent avec impatience:

— Combien voulez-vous ?

Fabien sort 500 yuans de son portefeuille et les pose sur le comptoir.

— Cette somme.

Sa voix claire a traversé les bruits. La caissière est choquée. Elle lève la tête et rencontre une paire d'yeux profonds. Après avoir vu le beau visage clairement, elle rougit encore plus embarrassée. Sa voix s'adoucit et elle dit:

— Ok, attendez un moment s'il vous plaît.

Peu de temps après, elle sort cinq sacs transparents, contenant chacun cent pièces de jeu.

— C'est votre monnaie de jeu, monsieur.

Fabien prend les sacs et ne pose pas une seule fois son regard sur la caissière. Avec un "merci" froid, il se dirige directement vers Jeanne et Néo, qui ne sont pas loin.

La caissière soupire avec regret:

— Il se trouve qu'il a déjà une femme et un enfant.

Jeanne regarde Fabien remettre à Néo un sac de pièces. Pour une raison inconnue, la scène l'amuse. Elle retrousse discrètement les coins de ses lèvres, mais elle ne s'attend pas à ce que Fabien voie son sourire.

— Pourquoi tu ris?

La voix de l'homme semble un peu malheureuse.

Jeanne pince rapidement les lèvres et dit:

— Je ne ris pas.

Elle a envie de rire mais n'a pas le courage de le faire. Les coins de sa bouche tremblent à plusieurs reprises. Fabien a une expression un peu moche. Il lui fourre rageusement les sacs de pièces de jeu restants dans la main.

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