Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 610

Dès que Jeanne aperçoit les policiers, le capitaine et les autres policiers armés les repèrent également.

Il faut dire que, même si Simon a volontairement laissé un passage, il n'est pas une personne dotée d'une forte capacité de contre-espionnage, car l'endroit où il choisit de se reposer est légèrement plus bas que les alentours. En se tenant dans une position un peu plus élevée, couverte de branches et de feuilles, on pourra voir clairement tout ce qui entoure le rocher.

Un sniper professionnel monte ensemble la montagne. Il se trouve sur une hauteur derrière Simon. À l'aide des branches et des feuilles denses qui se trouvent devant lui, il ajuste discrètement la position de son arme dans sa main. Il étire sa tête vers l'avant et se baisse un peu. Il ferme alors un de ses yeux et vise Simon avec l'autre œil.

Auparavant, il avait reçu l'ordre de tirer sur Simon si celui-ci était soupçonné de s'échapper.

Le sniper ne tuera pas Simon. Il vise la jambe de Simon.

Le sniper doit seulement garantir que Simon ne pourra pas s'échapper et qu'il ne fera pas de mal aux otages.

Jeanne ne trouve pas l'emplacement du sniper, mais elle peut voir les policiers armés qui sont relativement proches. Puis elle détourne délibérément le regard, de peur que Simon ne les remarque.

Tout est en place et le sniper est sur le point de tirer. Cependant, Simon, qui est resté immobile pendant tout ce temps, remarque peut-être quelque chose ou se dirige par hasard vers Jeanne. Il tire Jeanne vers le haut pour la couvrir.

Lorsque le sniper le voit à travers la caméra, il fronce les sourcils et fait un geste vers le capitaine, indiquant qu'il est temporairement incapable de lancer une attaque de sniper.

C'est une balle. Si le sniper n'a pas de chance particulière, il ne peut pas agir de manière irréfléchie. Sinon, les deux parties seront blessées.

Le capitaine fixe Simon, qui n'est pas pressé de partir. Au lieu de cela, Simon porte Jeanne au bord d'une falaise.

Bien que la montagne ne soit pas haute, si quelqu'un tombe, il ne pourra définitivement pas la supporter.

Le capitaine a le cœur sur la main. Simon n'agit pas de manière trop agressive. Simon sent seulement que personne ne peut se cacher derrière la falaise, ce qui le fait se sentir encore plus en sécurité.

L'opération de sauvetage est dans l'impasse. La police est en embuscade tout autour. Ils reprennent même leur respiration. Ce n'est que lorsque le vent souffle qu'ils osent reprendre leur souffle.

Il ne sert à rien d'attendre. Si Simon se repose suffisamment et continue à marcher, la position du sniper peut être exposée pendant l'opération, et il ne peut pas viser précisément Simon alors que ce dernier se déplace.

Au fur et à mesure que le temps passe, le capitaine estime qu'une seconde est longue.

Il sait l'importance que ses aînés attachent à l'affaire du kidnapping. Ainsi, cette affaire doit être résolue de manière satisfaisante.

En pensant à cela, le capitaine resserre sa prise sur le pistolet. Il fait ensuite un clin d'oeil aux autres et sort du tronc d'arbre.

Simon est choqué par l'apparition soudaine de l'homme en uniforme noir devant lui. Il se lève immédiatement et tire Jeanne vers le bord de la falaise. Il appuie ensuite le poignard qu'il tient dans sa main contre le cou de Jeanne.

Derrière Simon se trouve le soleil levant. Mais quand la lumière chaude brille sur le couteau, il se transforme en effrayant.

Jeanne ne peut pas faire de bruit. Elle ne peut que fixer le policier en face d'elle, les yeux grands ouverts. Elle est très inquiète pour lui, bien qu'il tienne une arme. A la pensée de la scène de l'effondrement de Bruno tout à l'heure, Jeanne a extrêmement peur de Simon le fou.

Elle ne veut pas que quelqu'un soit blessé à cause d'elle.

— Simon, je t'ordonne de libérer les otages maintenant !

La voix du capitaine a une résonance palpitante comme le tonnerre.

Le regard de Simon est fixé sur le capitaine et il sourit.

— Arrête tes conneries. Laisse venir Fabien !

— Il n'est pas là. Vous pouvez faire d'autres demandes.

Le capitaine fait de son mieux pour parler à Simon afin de le distraire et de gagner du temps.

— Pas ici?

Les yeux de Simon sont remplis de haine. Il n'utilise qu'un peu de force, et le cou délicat de Jeanne est immédiatement tranché. Du sang s'écoule.

— Sa petite amie est dans ma main. Si tu ne veux pas qu'elle meure, laisse Fabien venir me voir !

— Si vous la laissez partir maintenant, vous pourrez peut-être .....

— Ne dis pas de conneries !

Avant que le capitaine ne finisse de parler, Simon l'interrompt avec colère.

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