Roman Le Pouvoir Suprême chapitre Chapitre 57

Dès que Léo et Marie sont sortis de la communauté, ils ont vu une Rolls-Royce noire.

Marie a jeté quelques regards supplémentaires et s'est exclamée automatiquement quand elle a vu le numéro de la plaque d'immatriculation, A1.

"Je ne m'attendais pas à ce qu'Emerdale ait un homme riche aussi discret". Marie soupire.

Leo sourit et demande : "Cette voiture est-elle chère ?"

"Bien sûr." En parlant de voitures, Marie s'excite : "Chaque personne a une voiture différente. En général, les nouveaux riches préfèrent les voitures de sport comme les Lamborghini et les Porsche."

"Rolls-Royce est une marque pour les personnes de haut statut. En raison de son modèle moins populaire, peu de gens choisissent ce type de voiture. Mais les personnes qui la conduisent sont toutes des gros bonnets connus. Cette voiture, en particulier, est une édition limitée, et la meilleure de cette marque."

"C'est vrai ?" Léo hocha la tête mais n'en dit pas plus car il ne connaissait pas grand-chose aux voitures.

Marie soupira de nouveau et dit : "Je possède aussi plusieurs voitures de sport, mais elles ne sont rien comparées à cette voiture-là."

"Si c'est le cas, tu pourras l'expérimenter davantage un peu plus tard", a dit Léo avec un sourire.

"Huh ?" Marie était confuse.

Alors que Marie était en état de choc, Nadine est descendue de la voiture et a marché vers Léo.

Elle ne portait pas son costume moulant en cuir noir aujourd'hui. Au lieu de cela, elle avait changé de tenue professionnelle.

Sa taille et ses courbes dépassent celles de Marie, qui est encore une jeune adolescente.

"Mr. Cohen, s'il vous plait." Nadine a ouvert la porte à Léo.

Marie écoutait, la bouche ouverte. "Cette voiture est à vous ?"

Léo a souri et a dit, "En quelque sorte."

A vrai dire, il ne savait pas d'où venait cette voiture. Nadine l'avait conduite pour venir le chercher depuis le premier jour de son arrivée à Emerdale, et n'avait pas utilisé d'autre voiture depuis.

"Conduisez-nous à l'université d'Emerdale", a-t-il dit.

Nadine a immédiatement appuyé sur l'accélérateur et la voiture a avancé régulièrement sur la route.

Le trafic ralentit pour lui laisser la place, ce qui excite Marie, car elle n'est pas traitée de la sorte lorsqu'elle conduit une de ses voitures de sport sur la route.

Elle reprend peu à peu ses esprits et regarde Léo avec méfiance.

Hier, elle croyait que son beau-frère était un homme ordinaire, mais il semblait maintenant qu'il n'était pas aussi simple qu'il en avait l'air...

Bientôt, ils sont arrivés au campus.

Cependant, après que le groupe soit entré, il y avait une mer de personnes agitant toutes sortes de bannières à l'entrée du département médical.

La foule était en train de s'agiter et de confronter plusieurs membres du personnel du collège. Une bannière disait : "Un meurtrier rôde sur le campus".

"Où est cette étudiante ? Amenez-la ici !"

"Quelle ordonnance a-t-elle donnée ? Mon père est gravement malade maintenant et nous sommes infectés aussi !"

Plusieurs enseignants ont expliqué avec des expressions hideuses. "Elle a été expulsée. Cela n'a rien à voir avec nous."

"C'est vrai ?" Le jeune homme le plus en vue a crié le plus fort : "Ne pensez pas à fuir vos responsabilités. Si vous ne nous remettez pas cette étudiante aujourd'hui, nous allons protester ici aussi longtemps qu'il le faudra !"

"Click ! Click !"

Plusieurs reporters prenaient des photos à proximité, rendant la scène encore plus chaotique.

Marie tremblait de partout et était trop pétrifiée pour faire un pas de plus en avant.

Mais le regard de Léo est devenu froid lorsqu'il a compris ce qui se passait en un coup d'œil.

Il s'agissait d'une perturbation médicale.

La famille du patient est venue faire une scène, affirmant que le médecin avait mal diagnostiqué le patient, et ils ont exigé une compensation astronomique en retour.

À côté d'eux se tenaient des femmes d'âge moyen qui essuyaient leurs larmes de façon spectaculaire. Il n'était pas difficile de comprendre qu'elles avaient été engagées pour jouer ici.

Léo avait prévu d'aider Marie à retourner à l'école d'abord, puis de rendre visite à la famille du patient pour vérifier la situation. Mais vu la situation actuelle, il a dû changer de stratégie.

Une enseignante à l'œil vif a repéré Marie dans la foule et ses yeux se sont illuminés. "La voilà. C'est l'élève que vous cherchez !"

Puis elle s'est précipitée vers Marie, a attrapé son bras et l'a traînée à l'intérieur. "Elle est là. Parlez-lui si vous en avez besoin. Ce qu'elle a fait n'a rien à voir avec notre université."

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Le Pouvoir Suprême