Roman Le Retour du Roi chapitre Chapitre 158

— Florent ! Qu’est-ce qui se passe !

Fernande s’est précipitée dans son pyjama.

Quand elle a vu la façon dont Florent était, elle a été tellement choquée qu’elle n’a rien pu dire.

Florent avait l’air horrible. Son visage avait été déformé et sa puanteur ne cessait d’agresser ses narines.

Dieu seul savait combien de fois il s’était pissé dessus en conduisant furieusement depuis la frontière jusqu’au retour.

Depuis que sa carte SIM avait été arrachée et détruite par Travis, il ne pouvait plus contacter Fernande.

Il ne pouvait que se dépêcher de rentrer sans s’arrêter.

— Mademoiselle... Mademoiselle, quelque chose de terrible est arrivé ! De l’eau, donnez-moi de l’eau maintenant !

Fernande a demandé en toute hâte au garde du corps à côté d’elle d’apporter une bouteille d’eau minérale, et ce n’était qu’après que Florent avait bu toute l’eau qu’il avait l’air un peu mieux.

— Mademoiselle, regardez ça. Tout est là.

Il a tendu le téléphone à Fernande.

— Qu’est-ce que c’est ?

Fernande a vu plusieurs ombres noires sur l’écran, et elle a su qu’il s’agissait de l’Équipe Cobra qu’elle attendait.

Puis, soudain, un mendiant en béquilles est entré dans l’image.

Il a demandé à Émile quelques centaines d’euros et s’est retourné pour partir.

Cependant, Émile a soudainement sauté par-dessus.

Le mendiant semblait avoir été préparé. De ses béquilles, il a sorti une épée longue cassée pour contre-attaquer et entailler la poitrine d’Émile.

Fernande était stupéfaite.

L’horrible bataille qui a suivi n’était pas si surprenante pour elle.

Jusqu’à présent, elle pensait toujours qu’Émile avait accidentellement révélé leur emplacement à leurs ennemis.

Finalement, l’écran a vacillé et un visage délicat est apparu.

— Fernande, merci. Si tu n’avais pas été là, je n’aurais pas pu anéantir l’Équipe Cobra aussi facilement.

Travis !

Fernande a instantanément ouvert les yeux !

— C’est ce maudit Travis ! Florent, dis-moi maintenant. Comment Travis est-il apparu soudainement ici ? Dis-moi !

Florent continuait de pleurer, et bien sûr, il n’osait pas dire qu’il avait divulgué leur secret.

Il pouvait seulement dire qu’au moment où il attendait Émile, Travis était soudainement apparu et l’avait assommé.

Après son réveil, Travis lui a demandé de rapporter cette vidéo.

— Putain de merde ! Il est allé trop loin ! Il essaie délibérément de me faire chier !

Fernande a crié, et elle allait vraiment s’effondrer.

— Entrez ! Trouvez-moi tous les combattants. Je vais aller à la Ville Vibolsa moi-même ! Je vais le tuer !

Elle était devenue folle et s’apprêtait à diriger personnellement ses hommes pour s’occuper de Travis.

À ce moment-là, un cri est venu de l’extérieur de la porte :

— Qui es-tu ? Arrête !

— Ah !

— Quelqu’un a été tué !

C’était le chaos à l’intérieur de la maison. Une douzaine de gardes du corps criaient et hurlaient.

— Qu’est-ce qui se passe ? Travis est-il ici ? Protégez-moi !

Fernande était morte de peur.

Un instant plus tard, ils n’entendaient plus aucun bruit à l’extérieur.

La bataille était terminée.

Tous ses gardes du corps étaient tombés dans une mare de sang.

Puis, une femme démoniaque à l’allure exotique, puissamment bâtie, est entrée par la porte.

— Qui es-tu ?

Lorsqu’elle a vu que ce n’était pas Travis, Fernande a été légèrement soulagée.

La femme, cependant, n’était autre qu’Anaïs.

Elle n’a pas répondu à la question de Fernande, mais l’a regardée et dit :

— Dis-moi, es-tu Fernande ?

Fernande a répondu avec enthousiasme :

— Tu as raison ! Je suis la fille de la famille Batteux ! Que veux-tu ?

Chapitre 158 Désolé 1

Chapitre 158 Désolé 2

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