Roman Le secret des nuits d'amour chapitre Chapitre 124

— Quand Madame Maret est entrée, elle s’est assise en face de Basile.

— Eh bien, oui, Mme Jones. C’est mon cadeau. J’espère que vous l’apprécierez.

Basile a remis à Mme Jones le cadeau coûteux, mais Mme Jones ne l’a pas pris.

Basile a souri maladroitement et a mis le cadeau de côté.

— Madame Maret sirota son café avec grâce et regarda sa tasse au lieu de regarder Basile.

Basile était furieux. Bien que le Groupe Ramirez ne soit pas l’une des principales entreprises de Cité R, c’est une entreprise qui a une longue histoire. A part le Groupe HD, personne n’a osé être aussi grossier avec lui.

Mais depuis qu’il a demandé l’aide du groupe Jones, il a dû réprimer ses sentiments.

— Oui, il y a quelque chose dont j’aimerais discuter avec vous.

Basile a réprimé sa colère et a pensé qu’elle n’était qu’une femme et qu’il pouvait la traiter facilement.

— Je vous donne dix minutes. Je suis très occupé.

Madame Maret a posé sa tasse de café et a dit à Basile avec impatience.

— Oh, eh bien, Mme Jones, le Groupe Maret et le Grupo Ramirez avaient un accord, n’est-ce pas ? Mais alors que la construction était sur le point de commencer, pourquoi s’est-elle soudainement arrêtée ?

a demandé Basile avec attention.

— Très bien. Laissez-moi vous dire. Quand j’ai vérifié les antécédents du groupe Ramirez, j’ai découvert que vous n’étiez pas qualifié.

Mme Jones a regardé ses doigts avec du vernis à ongles rouge. Ses doigts étaient jolis, clairs et tendres.

— Bien sûr que nous sommes qualifiés. Vous n’avez pas enquêté sur nous avant la négociation ? Pourquoi l’avez-vous refait ?

Basile sentait que Madame Maret leur mettait des bâtons dans les roues.

— Il n’était pas minutieux. Il n’a pas de conscience. J’ai entendu de nombreux traders se plaindre que le groupe Ramirez triche souvent. Au final, les partenaires du groupe Ramirez subissent toujours des pertes et certaines entreprises ont même fait faillite, n’est-ce pas ?

dit Madame Maret à Basile.

Basile était nerveux. Il avait raison. Cependant, c’est Pierre qui l’a fait. Mais, il savait que c’était la vérité.

Mais le Groupe Maret venait de développer ses activités dans la Cité R. Comment pouvaient-ils en être aussi sûrs ?

— M. Ramirez, avez-vous oublié ? Mme Jones a soudainement levé ses grands et beaux yeux vers lui.

— Eh bien, ça pourrait être de la désinformation. Même si c’est vrai, notre groupe a aussi subi des pertes. Mais notre entreprise est grande et peut survivre aux pertes. Ces petites entreprises ne pouvaient pas le faire, alors elles ont fait faillite.

Basile a trouvé une excuse.

Ils étaient très prudents - comment Mme Jones pouvait-elle savoir ?

— Vraiment ? C’est pourquoi nous ne voulons pas coopérer avec vous. Nous ne voulons pas prendre de risques ni nous attirer des ennuis. Nos employés dépendent de M. Jones. Nous ne pouvons pas nous permettre de subir des pertes.

Mme Jones a changé de sujet.

— Alors nous cessons de coopérer avec vous. Je paierai des dommages-intérêts liquidés conformément au contrat.

Après avoir dit cela, Madame Maret s’est levée.

— Vos dix minutes sont écoulées. M. Ramirez, veuillez partir.

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