Roman Le secret des nuits d'amour chapitre Chapitre 20

— Pardon, je voudrais demander où sont les toilettes ?

A l’entrée des toilettes, Liliane a rencontré une très jolie fille, qui a sauté de joie lorsqu’elle a vu Liliane, elle s’est donc précipitée vers Liliane pour l’aborder.

— C’est juste derrière vous ! a répondu Liliane.

— Ah bon ? Oh... je l’ai vu, merci ! Eh bien, tu es une nouvelle employée, non ? Comment tu t’appelles ?

Cette fois-ci, Laurence a vu une vraie Liliane. Elle avait l’impression que Liliane était beaucoup plus jolie que sur la photo, alors, elle a tout de suite ressenti de la sympathie pour cette dernière.

— Exactement, je suis nouvelle ici, et je m’appelle Liliane Leblanc.

Liliane s’est dit que cette jolie fille ne voulait pas aller aux toilettes ? mais pourquoi elle lui a demandé son nom.

— Je suis Laurence, ta nouvelle collègue, enchantée, a dit Laurence en tendant la main.

Liliane avait l’impression que cette fille était plutôt sympathique, les deux se sont serré la main.

— Désolée, j’ai encore des choses à faire, je te laisse.

Comme Liliane était nouvelle au secrétariat, de nombreuses personnes lui avaient confié une partie de leur travail, elle avait alors beaucoup de choses à régler.

— Eh bien, d’accord, allez-y, a dit Laurence avec un sourire mystérieux.

Après, Laurence a sorti le téléphone pour passer un coup de fil.

— Maman, j’ai rencontré la femme de Fabien. Elle est très sympa et jolie, ne t’inquiète pas.

...

Encore une fois, tout le monde a fini leur travail, sauf Liliane.

Après avoir fini de trier tous les documents, Liliane s’étirait le dos lorsque Georges l’a appelée.

Liliane regardait son téléphone d’un air impuissant. Hélas ! Elle n’a pas pu se libérer ! Chaque jour, Georges l’emmenait au travail et la venait chercher après le travail.

Elle n’était pas allée voir son père depuis longtemps, ne sachant pas comment allait-il ces jours-ci.

Après avoir répondu au téléphone, Liliane a pris ses affaires et est descendue.

— Georges, pourrais-je aller voir mon père ? a demandé Liliane.

— Bien sûr que oui. On part maintenant ?

— Oui, merci beaucoup.

Liliane ne s’attendait pas à ce que Georges soit si gentil.