Roman Miss et amoureuse malgré elle chapitre Chapitre 6

Assis dans la voiture qui le ramenait à son hôtel , Theodoros se rappelait son parcours jusqu'à ce grand milliardaire qu'il était aujourd'hui. Certes cela n'avait pas été du tout facile mais s'il s'en est sorti , c'était après des années de dures labeur et des milliers de nuits blanches sans sommeil afin d'hisser son entreprise à la tête des dix plus grande compagnies du monde entier . Durant beaucoup d'années, la rumeur avait courut qu'il aurait réussi grâce à un héritage familiale ou bien même grâce à la loterie ce qui le faisait rire à chaque fois qu'il tombait sur une de ces rubriques qui se vantait de le connaître et d'avoir su percé à jour le secret de sa réussite ; et lui n'essayait rien pour démentir tous ces ragots car il aimait bien entretenir ce mystère que lui et seulement quelques-uns de ses amis proches connaissaient . En outre il en était plutôt fier car il était parti de rien.

En effet , Theodoros Harimendez a monté son affaire lorsqu'il était encore un jeune étudiant dans l'appartement d'université qu'il occupait avec quatre de ses meilleurs amis dont son Cher Dimitri . Il avait alors tout juste seize ans et avait obtenu une bourse d'étude grâce à ses bonnes notes à l'université dans une grande école privée de finance et avait déjà un nez affûté pour Fleurer les bonnes affaires . Tout débuta lorsque n'ayant pas assez de moyens pour acheter ses manuels scolaires car ceux-ci étaient bien trop onéreux pour lui , et pourvoir contribuer aux charges de l'appartement qu'il partageait à l'époque il dû rechercher un boulot étudiant , mais ses recherches se sont avérées infructueuses, certains de ses amis qui étaient des enfants de riches hommes affaires lui avaient même proposé de venir travailler avec eux dans l'entreprise de leur parents , mais le jeune homme à l'époque n'avait jamais été partisans de la pitié , et encore moi celui du piston car il préfèrerait être embauché grâce à ses capacités et non par pitié. Ainsi un jour , il décida avec l'aide de son ami Dimitri de se lancer dans la rénovation des vieux broutilles , objets et meubles pendant leurs heures libres , qu'ils revendaient en suite au double voir le triple du prix d'achat afin de se faire assez d'argent de poche pour subvenir à ses dépenses.

Et surtout payer les études de sa petite sœur, car il payait lui-même ces études depuis le jour où il a découvert la vérité sur ses origines , et d'où venait l'argent avec lequel sa mère payait leur charges . cela c'était produit juste à sa dernière année de lycée avant qu'il ne passe son bac et n'entre à l'université,ou plutôt la prestigieuse école de finance il avait surpris un homme en rentrant de l'école chez eux un peu plus tôt qui disait...non menaçait plutôt sa mère de ne plus l'appeler et demander de l'argent pour élever des enfants qu'il n'avait jamais voulu avoir avec elle.le monsieur l'ayant aperçu était sorti précipitamment de la maison et était monté dans une belle limousine noire garé juste devant leur porte , laissant sa mère en pleurs dans la maison.

C'est ce jour qu'il avait su que ce dernier était son père et qu'il n'avait jamais voulu d'eux mais payait quand même chaque mois les charges de leur maison . Et depuis ce jour-là , il s'était faite la promesse de réussir par lui-même . Ainsi à ces vingt-un an , lorsqu'il soutint enfin son master en finance et management , il avait déjà assez d'argent qu'il gagnait de leur ventes Communes,il mis assez d'argent de côté jusqu'à obtenir une petite fortune puis décida de se lancer dans l'immobilier en repérant des maisons susceptible de lui rapporter gros qu'il renovait et revendait en suite . son diplôme en main , il se lança dans plus gros comme l'achat des entreprises étant au bord de la faillite ou près de déposer le bilan qu'il remontait et revendait pour la plupart avec la collaboration de ses amis ou même conservait . À aucun moment il n'a baisé les bras pas quand bien même il rencontrait des difficultés ou des obstacles et encore moins lorsqu'il faisait de mauvais investissements qui lui faisaient perdre beaucoup d'argent ; au contraire,il a tenu bon et voilà qu'aujourd'hui à tout juste trente-trois ans , il se retrouvait à la tête d'une multinationale valant une grosse fortune. beaucoup diraient qu'il a eu de la chance , peut-être auraient-ils raisons de leur point de vue , mais lui il dirait que c'est de la détermination et la rage de réussir , de montrer à Celui qui eût honte d'assumer sa parternité vis-à-vis de sa sœur et lui qu'il n'avait pas besoin de lui pour réussir... Theodoros fut réveiller de ses réflexions par son fidèle chauffeur Maximo qui lui signifiait être arrivé par l'ouverture de la portière et donc , il s'empressa de descendre et se dirigea vers l'entrée de son prestigieux hôtel où le portier , le reconnaissant , lui ouvrit avec galanterie en s'inclinant respectueusement tout en le saluant.

- Bonsoir Mr Harimendez et bienvenue. dit-il sourire au lèvres.

Lui adressant un bref signe de tête , Theodoros se dirigea vers la réception afin de prendre les escaliers menant à son ascenseur particulier pour se rendre à sa suite personnelle . ne voulant pas tomber sur ses réceptionniste , il choisit d'emprunter les escaliers privé et c'est d'un temps record sans être essoufflé qu'il se retrouva à l'entrée de sa suite située tout en haut au dernier étage de l'hôtel ; insérant sa carte magnétique qu'il gardait toujours sur lui, il s'engouffra dans sa suite et fût de suite accueillit par une musique douce . ayant retirer son pardessus , il remarqua l'ambiance tamisée de la pièce ainsi que le parfum féminin très fort qui embaumait la pièce caractéristiques de la belle Elena.il se dirigea vers son bar à vin afin de se servir un bon verre de scotch bien serré qu'il porta aussitôt à ses lèvres et avala une gorgée qui lui fit un bien fou . soudainement , il eût envie de prendre un coup d'air frais comme si ses poumons en manquaient. Alors il se dirigea vers son balcon et ouvrit les battants et fût assailli d'un doux vent frais qu'il s'empressa de respirer en contemplant la belle vue que l'offrait son hôtel sur presque toute la ville new-yorkaise . Il porta encore une fois son breuvage à ses lèvres lorsque de magnifiques ongles parfaitement vernis de rouges affilés se posèrent sur son torse, tandis que , des lèvres chaudes se promenaient frénétiquement dans son cou en déposant des baisers qui en disaient long sur les intentions de son investigateur .