Roman Mon mari, un accro caché à la sexualité chapitre Chapitre 60

Quelques jours plus tard.

___Jack___

Dans trois jours, König et sa femme vont se retourner aux États-Unis. Je désire qu’ils restent chez nous encore, mais hélas ! Seul le travail qui libère l’homme, donc je suis obligé de laisser mes enfants se rendre à Chicago afin qu’ils puissent continuer leur boulot. Ces derniers jours, j’ai fait une petite remarque entre König et mon chauffeur. Il me semble que ces deux garçons ont un petit problème. En tout cas, c’est leur problème. J’allais mettre ma bouche dans leur histoire si cela concerne ma fille. Heureusement pour moi, Joys est en sécurité et cela me va bien.

Je suis avec ma femme un matin et quelques minutes après, König et sa femme sont venus chez nous. Une fois qu’ils se sont assis à côté de nous, König se met à nous raconter une très belle histoire. On a tous bien aimé l’histoire qu’il nous raconte. Ce matin, je suis encore dans une bonne humeur à cause de lui. Encore une fois, je me suis dit que Joys est très chanceuse d’être avec König. Elle ne manquera jamais des sourires, puisque son mari est un grand comédien.

“König, je ne veux pas que tu partes encore. Tu nous fais trop rire et cela me plaît bien.”, dit ma femme.

“Ah oui, Jessica a parfaitement raison. König est un garçon très drôle et génial. Si j’étais une fille, j’allais faire tout ce qu’il faut pour conquérir ton cœur. Notre famille t’aime bien.”

“Merci papa ! Moi aussi je vous aime fort.”

“Arrêtez-moi ça ! Vous complimentez beaucoup mon mari. Vos “je t’aime” là me rendent très jalouse.”, dit Joys.

Oh mon Dieu ! Ma fille est très jalouse à cause de ce qu’on raconte. On se met à rigoler encore sur les mots de Joys. Vraiment, ça fait trop rire. Cela prouve qu’elle aussi aime bien son mari. D’ailleurs, c’est ça qui est mon plaisir. Je veux les voir en joie chaque jour. L’affaire de dispute et autres ne me plaisent même pas. Quand il y a la paix dans un foyer, tout va bien là. C’est rarement de voir ce couple dans la tristesse. La joie y demeure toujours.

“Vous allez beaucoup nous manquer.”

“Papa, moi je préfère que vous continuiez votre aventure aux États-Unis que de rester ici.”

“Oh non, Joys, tu ne peux pas le comprendre. Je ne peux pas laisser ce pays et aller faire ma vie ailleurs. Je suis très important pour la population anglaise.”

“Donc, c’est toujours mon mari et moi qui allons venir vous rendre visite de temps en temps ? Non papa, il faut revoir ce côté. N’est-ce pas toi-même qui m’avais dit que tu as déjà pris ta retraite ?”

“Bien-sûr, mais je demeure toujours un ministre au peuple anglais. À cause de mon humiliation, ce peuple continue toujours de m’aimer. Je leur ai fait beaucoup de choses dans ce pays, donc ils ne vont jamais me permettre d’aller faire ma vie aux États-Unis.”

“Ma chérie, il ne faut même pas t’inquiéter, on va venir vous voir chaque temps.”, dit Jessica.

“C’est maintenant que maman a bien parlé.”

On discute toujours à propos du départ de König et sa femme, et quelques minutes après, James a klaxonné. Je lui ai demandé de faire son entrée et c’est ce qu’il a fait sans doute. Nous sommes tous calmes pour voir ce qu’il va nous dire, pourtant ce dernier ne fait que nous regarder. Dans un instant, il a tourné son regard vers König et au même moment, il se met à sourire. Ce garçon a quel genre de problème ? Il ne s’est jamais comporté de cette façon, mais qu’est-ce qu’il lui arrive ce jour-là ? À notre plus grand étonnement, James s’est assis au milieu de König et sa femme. Tout doucement, j’ai dit :

“James, lève-toi là-bas et viens t’asseoir ici !”, lui dis-je.

“Monsieur Jack, sachez que la vie de votre fille est en danger !”

Qu’est-ce que James voulait dire par là ? La vie de Joys est en danger ? Comment ? Et pour quelle raison il raconte ces bêtises ? Est-ce qu’il est véridique ? Franchement, il me semble que ce garçon a un sérieux problème hein.

“S’il te plaît James, laisse-nous tranquille !”

“Ok monsieur, j’ai compris. Moi, je vous ai déjà prévenus.”

“James, qu’est-ce qu’il prouve que ma vie est en danger ?”

“Ton mari, König est un démon. Il n’est pas ce que tu crois. Si vraiment, König t’a parlé de son enfance, je ne suis pas sûr que tu allais décider de te marier avec lui. Tu t’es mariée avec un grand bandit sans te rendre compte.”

Je croyais que König même allait dire quelque chose, mais ce n’est pas le cas. Il ne fait que regarder James en croisant les doigts. Finalement, je me suis dit que James a sincèrement un problème. Le salon est très calme et personne ne parle plus. Ce qui me traumatise aussi, König est toujours silencieux. Normalement, il devrait dire quelque chose, pourtant c’est plutôt le contraire.

“Tu ne vas plus parler ?”

“James, si vraiment tu me connais, je ne suis pas sûr que tu allais raconter ces bêtises. Tu veux que je dises quoi alors ? Sache que moi König, je ne mets jamais ma bouche dans ce qu’il ne me concerne pas ! D’ailleurs, il me semble que tu as un problème psychologique.”

“S’il te plaît James, laisse-nous tranquille !”

Il voulait parler encore, mais je l’ai vite stoppé. Il est enfin sorti et il ne reste que nous quatre. Malgré tout, Joys et sa mère ne savent pas quoi dire et elles restent toujours calmes. Ce bandit n’est plus avec nous et on cherche celui qui va parler alors. Je suis le chef de la famille, donc je suis obligé de dire quelque chose. Avant de parler, je me suis mis à rigoler et du coup, Jessica et Joys aussi se mettent à sourire. König est la seule personne qui n’a ni souri, ni fait un mouvement. Il est toujours calme en serrant sa mine.

“Mon fiston, peux-tu nous éclaircir quelque chose ?”

“Papa, je vous jure que je ne sais rien sur les propos de James.”

“Maintenant, je veux que tu me dises la raison pour laquelle vous ne restez plus ensemble ces derniers temps.”

“Il y a un sérieux problème entre nous deux.”

La tête de Joys était baissée, mais, dès que son mari a dit cela, elle l’a vite soulevée et regarde König droit dans les yeux. Nous sommes tous impatients de découvrir la vérité ce matin.

“Mon fiston, vas-y ! Nous sommes à l’écoute.”

“Ça fait quelques jours, je suis allé chez James afin qu’on puisse discuter un peu concernant ce pays, mais malheureusement les choses ont été mal passées. Ce dernier avait l’audace de me dire qu’il a des sentiments pour ma femme. Je vous jure que James avait dit qu’il fera tout ce qu’il faut pour conquérir le cœur de Joys. Depuis ce jour, je le considère comme mon pire ennemi.”

Le licenciement de James 1

Le licenciement de James 2

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