Roman Agenouillez-vous devant moi ! chapitre Chapitre 61

— Même si les autres se moquent de moi, ça ne vous regarde pas ! Mêlez-vous de vos affaires !

Guillaume était tellement en colère qu’il a perdu son sang-froid.

— Jordan est un ami de ma famille, si vous l’insulte, vous nous insulte.

Matthieu n’a pas montré la moindre crainte et a regardé froidement Guillaume.

— Bien ! Aujourd’hui, c’est ma chute, mais rappelez-vous les gars, ce n’est pas fini. Attends, tu le regretteras un jour.

Guillaume a pointé son index vers Jordan, puis vers Matthieu, et a dit rageusement.

Puis il a regardé Mariette et s’est mis à rire de façon hystérique :

— Mariette, après avoir appris que tu passais un mauvais moment, je suis immédiatement rentré de l’étranger. Mais maintenant tu t’es mariée avec ce voyou, et tu as l’air plutôt heureux ? C’est naturel, car il est devenu un laquais des Didier, non ?

— Tu es une salope, salope !

Paf !

Avant que Guillaume ait fini sa phrase, une forte gifle a frappé son visage. L’énorme inertie a fait trébucher son corps. Il s’est retourné et a failli tomber au sol.

— Vous ne pouvez pas m’injurier, et encore moins ma femme !

Le regard de Jordan était impitoyable, comme un couteau tranchant pointé vers Guillaume.

Un tel regard pouvait effrayer les autres !

Guillaume s’est figé pendant un moment et a oublié de se défendre.

Quelques gardes de sécurité sont rapidement arrivés, et ont emmené Guillaume en le persuadant de rester calme. On pouvait encore entendre de loin son rugissement frénétique.

Tout s’est passé soudainement. Le commissaire-priseur ne savait pas quoi faire et le marteau n’était pas encore tombé.

— Les Didier vont payer les dix millions en liquide, et mon subordonné viendra ensuite pour régler cette affaire.

Matthieu a dit à ce commissaire-priseur.

— D’accord, merci M. Matthieu.

Le commissaire-priseur a dit en hochant la tête.

— M. Jordan, les Passereau sont toujours rancuniers. Aujourd’hui vous avez offensé Guillaume, donc vous devriez être plus prudent à l’avenir. Je reviendrai demain, si vous avez besoin d’aide pour quoi que ce soit, vous pouvez aller directement demander à mon père.

À l’entrée du Manoir Mer, Matthieu a dit à Jordan avec inquiétude.

Jordan a hoché la tête,

— Je compris.

Danielle, sur le côté, n’a pas détaché son regard de Jordan. Ces derniers jours, elle a soudainement trouvé que son maître était en fait assez beau.

Lorsque Matthieu lui a rappelé qu’il était temps de partir, Danielle s’est reprise. Elle a dit au revoir à Jordan en souriant.

Après que les quatre se sont séparés, Jordan et Mariette sont retournés à la voiture.

Mariette conduisait la voiture, mais ses yeux regardaient son mari de temps en temps. Jordan était détendu et a reposé ses yeux.

— Tu sais ce que les femmes veulent le plus ?

— Quoi ?

Jordan a ouvert les yeux et l’a regardée.

— Ce dont les femmes ont le plus besoin, c’est de se sentir en sécurité.

— Tu es en sécurité avec moi.

Mariette lui a lancé un regard froid, refoulant sa colère,

— À l’avenir, peux-tu me dire ton plan avant de faire quoi que ce soit ?

Mariette a passé une matinée désordonnée, avec des émotions fluctuantes.

— D’accord, pas de problème.

Jordan a sorti sa carte bancaire de sa poche et l’a glissée dans le sac de sa femme.

— Cette carte contient deux millions euros, tu peux le prendre pour capitaux de démarrage de l’entreprise.

— Tu vas vraiment me laisser gérer cette entreprise pharmaceutique ? Je n’en connais rien…

— Je vais t’accompagner.

Jordan l’a interrompue avec un sourire,

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