Roman Chérie Remariée de Maître Yves chapitre Chapitre 22

Elle constata l’avertissement dans les regards de l’homme. Si elle continuait à sélecter avec négligence les vêtements comme ça, elle risquerait à se congédier. Cet homme, avec les yeux profonds et mystérieux, avait l’air puissant et capable de faire cela.

Donc cette employée s’empressa à sortir la robe la plus précieuse, et puis suivit Lisa dans la cabine d’essayage.

— Cette robe est onéreuse, je vais vous aider à l’essayer.

— Pas la peine, je vais l’essayer moi-même.

Lisa n’était pas habituée à se déshabiller devant les autres.

Sur ces mots, l’employée se plaignit mécontentement :

— Qu’est-ce qui ne va pas avec vous ? Vous allez essayer une telle robe mais vous refusez d’être aidée par moi. Si vous la gâtez, comment vous indemniserez de la perte ?

— Je...

— Assez. Regardez vos habits avant, ces frusques viles. Comment vous avez le culot d’aller ici essayer les vêtements ? Avec la soutenance des autres, vous vous prenez pour qui ?

Après avoir essayé quelques fois, l’employée rendit compte que Lisa était lâche, donc elle saisit l’occasion de l’intimider.

Lisa ne dit rien. Avec le souci dévoilé, elle était un peu embarrassée.

— Ça suffit. Je vais vous laisser l’essayer vous-même, de crainte que vous portiez plainte contre moi.

L’employée lui jeta la robe directement, ferma la porte avec un vlan et sortit.

La robe dans la main, Lisa resta là, hébétée.

Quelques instants plus tard, elle porta cette robe.

Juste comme l’employée l’eut dit, cette robe était onéreuse, et beaucoup distinguée des robes démodées.

Après l’essayage, elle sortit avec les jupes de robe et puis marchait vers l’ancien endroit où Yves était resté. Mais cette fois, il n’y avait personne. Elle est devenue stupéfaite.

Pourquoi ils ont disparu ?

C’était parce qu’elle était trop laide quelques fois avant ? Et il la laissait ici avec colère ? A ces pensées, elle tint les jupes pour rentrer rapidement à la cabine d’essayage. Quand elle passait par un miroir, elle entendit une voix familière.

— Mon chéri, cette robe me va bien ?

— Ça a la peine de demander ? N’importe quoi tu portes, tu es la plus jolie, ma petite.

Lisa fit une pause, et marchait inconsciemment vers l’autre côté. Les cintres le cachaient derrière, mais lui donnaient une vision aux fentes pour mieux regarder ces deux personnes.

C’étaient Colin et la salope Maéva.

Ils se serrèrent intimement. Et elle devint si grosse que la robe dans sa main ne l’adaptait plus.

— Dommage que maintenant je ne peux pas la mettre.

— C’est pas grave. Tant que tu l’aimes, je vais l’acheter. On le mettra dès la naissance de notre bébé.

— Merci mon chéri. Tu es très gentil.

Lisa serra les poings en silence. Colin n’eut jamais lui dit ces mots d’amour, non ? Elle n’attendait pas de les rencontrer ici.

Maéva regarda du côté de Lisa. Cette dernière était paniquée et se cacha inconsciemment en arrière.

En se retournant, elle heurta par accident l’employée qui vint la chercher. Etant tombée par terre, l’employée tenda inconsciemment la main pour saisir la robe de Lisa. Et puis elle fut tirée et aussi tombée ensemble. Avec un clic, la robe se déchira.

Un tel bruit attira les autres clients dans le magasin, y compris Colin et sa salope.

Très paniquée, l’employée découvrit la robe était gâtée, et se leva vite à accuser Lisa.

— Vous savez combien cette robe coûte ? Comment osez-vous la gâter exprès ?

Elle était si hébétée. Tout ce qu’elle fit, n’était que d’éviter les regards, ne voulant pas les laisser savoir qu’elle était là. Elle n’attendait pas qu’il y eût quelqu’un derrière elle, donc elle la heurta en retournant. Face à l’accusation de l’employée, elle se leva et baissa les yeux. C’était à ce moment-là qu’elle se rendit compte que le parement sur la robe fut décollé, et que ses épaules blanches se montrèrent dans l’air. Vu que tous les autres se rassemblèrent, Lisa était si effrayée à tendre les mains pour couvrir ses épaules, à voix pressée :

— Désolée, je ne l’ai pas fait exprès !

— Désolée ? Cette robe est la plus précieuse dans le magasin. Elle est envoyée hier d’Italie. Et ça coûte au moins 300 mille yuans ! Ça sert à quoi votre excuse ? Vous pouvez la remettre dans son état d’origine ? ricana l’employée.

Lisa se mordit les lèvres, dit à voix basse :

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