Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 195

Sara reste sans voix pendant un moment avant de dire :

— Peut-être sur moi-même.

Après cela, elle ajoute :

— Sans parler de la condition d’Angéline, votre famille ne m’accepte pas. J’ai trop de scandales, et il y a aussi beaucoup d’obstacles entre nous.

Même si ces obstacles sont invisibles et inatteignables, ils font toujours pression sur le cœur de Sara.

Ainsi, elle n’a pas une grande confiance en elle. Elle-même pense qu’elle ne vaut pas Jules.

Cet homme est très excellent. Plus elle passe Time avec lui, plus elle ressent sa chaleur et sa sincérité. Il y a aussi une pureté rare, qui ne peut pas être vue par une personne qui a du succès.

— Ne te rabaisse pas.

Jules sait qu’elle est accablée, mais il ne s’attendait pas à ce qu’elle le soit dans une large mesure :

— Je ne suis pas née avec une cuillère en argent. J’ai le droit de décider de ma vie. J’ai assez de pouvoir pour choisir avec qui je vais passer ma vie. Angeline et ma famille ne seront pas un problème, c’est toi qui es important, tu comprends ?

Ce genre de mot, il le lui avait déjà dit auparavant. Cependant, juste à cause de ça, Sara est encore plus sous pression. Elle ne veut pas avoir une mauvaise influence sur Jules et ne veut pas qu’il se dispute avec sa famille. Elle se demande même si sa famille est au courant de l’existence d’Angéline, et...

Sara secoue la tête, interrompant cette affreuse pensée.

— Sara ?

Jules l’appelle quand il la voit s’étourdir.

Sara revient à la raison et tire un sourire un peu fort,

— C’est bon. Peut-être que mes sentiments pour toi sont de plus en plus profonds et qu’il est inévitable d’y penser. Tu peux être rassuré, je vais résoudre mes émotions.

Jules la fixe en esquivant les émotions dans ses yeux, sachant qu’elle est bouleversée, mais ne continue pas à la forcer. Il se contente de tenir le côté de son visage :

— Si tu es malheureuse, dis-le moi, d’accord ?

— D’accord.

— Aussi.

Il se penche pour la fixer, comme s’il y avait un givre qui se formait sur ses sourcils, il répond fermement avec sa ville,

— Nous ne nous séparerons pas.

Il ne peut pas imaginer tomber amoureux d’autres personnes que Sara. Pour lui, l’amour est trop extravagant. Il est trop extravagant que tout ce qu’il a donné à elle, il ne reste rien même s’il veut le donner à d’autres.

Il veut mettre toute son attention sur elle. Le sentiment d’être assuré et d’être reconnu, il en a trop besoin.

Son regard est trop brûlant pour que Sara le sente. Il est trop direct et décisif qu’il lui claque chaque mot à la figure.

Sara acquiesce, les yeux rouges, puis se blottit dans ses bras chaleureux, souhaitant être ainsi pour toujours. Il a tant fait pour elle et change aussi beaucoup de choses pour elle. Elle doit donc être plus déterminée.

...

Au fil des jours, depuis le dernier conflit au sujet du pyjama, Angéline est plutôt polie avec Sara. Elle ne fait pas de bêtises et prend de temps en temps l’initiative de flatter Jules. Cependant, ce n’est pas trop, elle peut encore le supporter.

Heureusement, ces jours-ci, son état ne continue pas à s’aggraver. Il n’y a plus non plus de comportement autodestructeur comme avant. George dit que la vie de famille lui apporte chaleur et soutien. Personne ne sait si c’est vrai ou non. On peut seulement dire que le résultat est bon.

À l’approche du Nouvel An, les affaires de l’entreprise sont ardues. Même Sara doit travailler sur Time pour plusieurs Times, sans parler de Jules. Plus de la moitié de vingt heures par jour est utilisée pour le travail, il ne reste que cinq ou six heures pour le sommeil. Pour ces raisons, il a perdu un certain poids.

Voyant que toutes les maisons sont décorées à l’occasion du Nouvel An, Sara ne peut s’empêcher de vouloir décorer elle aussi. Par coïncidence, Claudie l’appelle pour qu’elle achète ensemble des articles du Nouvel An. En plus de ne pas vouloir rencontrer Angeline à la maison, elle accepte.

Les deux femmes se rendent dans un supermarché voisin. Tout y est disponible. A un mois et demi du nouvel an chinois, tous les coins sont couverts de rouge.

Claudie et Francis ont toujours vécu ici. Ils connaissent très bien les commerçants qui s’y trouvent. Ainsi, dès qu’ils entrent dans le vieux magasin, ils entendent une voix exagérée :

— Hé, ça fait un bail. C’est ta fille ? Elle est toujours aussi belle !

Sara est gênée et fait rapidement un signe de la main, puis s’écarte pour choisir des couplets de nouvel an.

Claudie rattrape le temps perdu avec sa vieille amie, tandis que Sara trouve une paire de couplets de Nouvel An fantaisie. Les couplets verticaux disent

— L’hiver se termine dans un splendide paysage de montagnes et de rivières, le printemps commence avec des pêches parfumées et des fleurs de prunier,

tandis que le couplet horizontal dit : Bonne chance pour la nouvelle année.

Comparées à ces vieux mots comme « sonner la fin de l’année » et « inaugurer la nouvelle année », ces phrases ne sont pas si ringardes. Elle le ramasse et le gesticule, imaginant à quoi ressembleront les couplets s’ils sont affichés dans l’entrée de la Villa.

D’un coup d’œil, elle prend quelques autocollants rouges de styles différents, qui pourront être affichés à un autre endroit. De plus, elle choisit une lanterne rouge, qui sera joliment suspendue à côté de la porte.

Après avoir erré pendant un moment, quand le sac qu’elle apporte est presque plein, elle l’apporte à la patronne :

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