Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 196

Sara est allongée sur son lit d’enfant et regarde le plafond rose au-dessus de sa tête. Elle s’excite aussi comme la couleur,

— Oui, j’ai acheté plusieurs couplets, des autocollants, et aussi des lanternes. Je les accrocherai à la maison plus tard.

La voix de l’homme au téléphone fait une pause,

— Tu vas le plâtrer dans la Villa ?

— Oui, tu ne voulais pas ?

Sara le tripote simplement. Est-ce qu’il pense que c’est trop vulgaire d’afficher quelque chose comme ça ?

— Je veux,

répond Jules sans réfléchir. Cependant, personne ne l’a posté auparavant. Il y a seulement quelque chose d’étrange dans cette nouveauté.

Chaque année, sa maison est déserte. Ainsi, lorsqu’il s’agit du Nouvel An chinois, il a seulement l’impression que c’est un jour plus solitaire que d’habitude. En pensant qu’elle va décorer quelque chose cette année, il a maintenant l’impression que le Nouvel An est en fait assez intéressant.

— Quand reviendras-tu ?

Quand il pense à ça, il ne peut s’empêcher de vouloir la voir.

Sara spécule le Time,

— Après le dîner, peut-être vers sept heures. Tu n’es pas à la maison, alors je n’ai pas envie d’être à la maison aussi.

Voyant qu’elle ne s’entend toujours pas avec Angeline, elles pourraient ne pas jouer de mauvais tour.

— Alors je viendrai te chercher.

— Ok.

Sara se transforme soudainement en bonne humeur et s’envole du lit pour se redresser :

— Ma mère a dit qu’elle allait cuisiner des boulettes pour le dîner. Je t’en apporterai.

Jules vient de terminer une réunion et n’a pas encore déjeuné. La forte intensité de son travail lui a également coupé l’appétit. Cependant, il a un peu faim après avoir entendu cette phrase. Ses yeux noirs aiguisés ne sont plus féroces et affichent un soupçon de sourire.

— Vais-je bientôt goûter au savoir-faire de ma belle-mère ?

Une seule phrase et le visage de Sara a rougi jusqu’au cou. Elle n’a pas cette intention...

— I...

— On dirait que tu es impatiente de me les présenter.

Jules l’interrompt, se méprenant délibérément sur son sens :

— Pourquoi, tu es anxieuse à l’idée que je les rencontre ?

— Ce n’est pas ça ! Sara pense qu’il a vraiment mal compris, et explique précipitamment :

— Je me souviens simplement de vous et j’avais l’intention de vous en apporter, je ne veux rien dire d’autre !

— Tu n’as pas besoin d’être si gênée pour me l’avouer, je peux comprendre.

C’est quoi ce bordel !

Elle n’a vraiment pas cette idée, elle est juste en train de penser à lui par hasard, ok ?

Sara a l’impression qu’il n’y a rien qu’elle puisse faire pour se disculper. Ainsi, elle abandonne en fermant sa bouche pour arrêter d’expliquer. De toute façon, peu importe comment elle explique, elle détermine toujours qu’elle a pensé ainsi.

— A toi de voir, je m’en fiche.

En écoutant son ton, Jules semble pouvoir imaginer son expression à cet instant. Sa lèvre fine s’accroche et forme un sourire où elle ne peut pas voir :

— A ce soir, ma petite femme de ménage.

Après avoir terminé, il raccroche sans lui laisser l’occasion de répondre. ...

Gouvernante ?

Eh bien, elle a un autre surnom.

Même si ce n’est pas très gentil, le ton qu’il a utilisé est très doux. La bouche de Sara est désagréable, mais son cœur s’est depuis longtemps roulé en une boule de pâte à modeler, dont la forme est douce mais collante.

Elle est allongée et s’étourdit sur le lit lorsque la porte est frappée deux fois de l’extérieur, soudainement. C’est Claudie.

— Sara, sors. Le repas est prêt. Ton père l’a préparé pour toi.

Sara range alors son téléphone et sort du lit pour mettre ses chaussures à la hâte,

— Ok, ok, j’arrive !

...

Après le repas, Sara se repose un moment. Le soir, elle aide Claudie à préparer les quenelles. Elles sont farcies de carottes et de porc, qui est rare mais très délicieux. Après avoir été bouillie, la carotte est très juteuse. Une seule bouchée et vous le goûterez directement.

Sara mange toute l’assiette à elle seule. Quand elle n’en pouvait vraiment plus, elle a posé ses baguettes.

Alors qu’elle réfléchit à la façon de demander à Claudie d’en emballer pour elle, elle se dit à l’improviste :

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Femme divorcée : une irrésistible envie