Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 233

Les quatre yeux se croisent et l'atmosphère de la pièce devient aussitôt tendue. Tous deux savent où est le problème, et pourtant ce problème semble être un nœud serré.

Sara est la première à se détacher de cette atmosphère difficile. Elle détourne le regard et sourit en baissant la tête :

— Tu ne peux pas le faire correctement, ? je ne te le demanderai pas...

— Ok. Jules l'interrompt et reprend :

— Mais cela doit être fait après sa guérison, je laisserai quelqu'un la renvoyer.

— Après son rétablissement? Sara secoue la tête, sa voix est très légère comme si elle se parlait à elle-même,

— Son corps ne guérira pas facilement.

Si c'est le cas, Angéline va aussi faire autre chose pour ramener son corps à son état initial.

— Rompons. À la fin, elle dit encore cette phrase :

— Continuer à différer ce n'est bon ni pour moi, ni pour toi, ni pour Angeline. Je n'ai plus d'énergie ni de confiance pour aller plus loin avec toi.

Elle utilise le mot aller plus loin "enchevêtrer" pour cette relation, ce qui est extrêmement blessant et inacceptable.

— Je l'ai déjà dit, avant ; je ne vous laisserai pas partir. Si vous êtes déterminé à partir, eh bien.... Le ton de l'homme s'interrompt légèrement, sa lèvre fine bouge,

— Essayez, voyons si vous pouvez quitter cette ville.

Il y a une palpitation dans le cœur de Sara, ses yeux s'élargissent un peu,

— Tu me menaces ?!.

— Je ne t'ai pas menacé, je ne peux juste pas te garder. S'il y a un autre moyen, il ne se conduira pas de cette façon.

— Jules, ton action ne peut que me faire regretter de t'avoir rencontré.

Chacun de ses mots est comme une dague qui poignarde la pointe de son cœur. Elle ne le sent pas, mais il est déjà engourdi par la douleur, bientôt. Cette paire d'yeux noirs laisse entrevoir une trace de tristesse, mais sans vouloir que personne ne l'aperçoive, il fait semblant d'être calme :

— Même si c'est le cas, je ne te laisserai pas partir. Sara, je l'ai déjà dit, je ne peux pas vivre sans toi.

En entendant ses paroles, Sara sait qu'il sera vain de continuer à en parler. Elle acquiesce mais son expression n'est pas du tout d'accord :

— D'accord, alors on va se torturer comme ça. Il y aura toujours un jour où tu ne pourras plus le supporter.

Elle est comme une poupée de marionnette sans émotion. Elle ne croit pas qu'un homme arrogant comme Jules puisse la supporter.

C'est le mot que Jules n'a pas envie d'entendre le plus. Mais s'il doit vraiment choisir, même si elle est attachée ici, il n'acceptera pas qu'elle parte et la gardera même par le moyen de l'attacher.

Commentaires

Les commentaires des lecteurs sur le roman : Femme divorcée : une irrésistible envie