Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 271

Lorsque Jules se précipite aux urgences, tout le personnel médical est dans la pièce, personne ne sort.

La mort du patient sur la table d'opération, due à un "accident", est considérée comme la première faute médicale majeure depuis la création de l'hôpital, selon le système interne de l'hôpital.

Naturellement, Quentin ne se sent pas bien. Ce qui est plus terrifiant, c'est l'homme qui l'a suivi. Son beau visage devient presque plus laid, car son expression est aussi sombre qu'un fer dans le vent froid.

Jules se dirige vers la table d'opération. Tous les équipements sont encore connectés à Fernande. Cependant, l'indice ci-dessus ne présente aucune fluctuation, tous se sont transformés en une ligne droite.

Elle est morte.

Le médecin traitant, Zack, est responsable. Il ne peut que s'avancer :

— Désolé, Quentin. Désolé, Jules. Le patient n'a pas survécu.

Il s'incline légèrement devant eux et continue :

— La cause du décès est que... on lui a injecté des barbituriques et de l'étamsylate.

Le visage de Quentin change radicalement. Il connaît les ingrédients. Pour être précis, tous ceux qui étudient la médecine les connaissent. Les barbituriques sont une sorte d'anesthésiques qui peuvent faire perdre conscience aux gens en un rien de temps, tandis que l'étamsylate a une fonction de coagulation du sang. En combinant les deux, on peut tuer des gens immédiatement sans qu'il y ait d'effets indésirables. Si elle agit rapidement, une personne peut perdre ses signes vitaux en moins d'une demi-minute.

Si on ajoute du chlorure... C'est comme une euthanasie.

De cette façon, la mort de Fernande semble étrange et choquante. Il s'agit en fait d'un meurtre résultant d'un accident médical, et cette seringue a été injectée par Sara elle-même.

Jules ressent les changements subtils de l'atmosphère. Au lieu de regarder Fernande sur la table d'opération, il se retourne pour demander à Quentin :

— Est-ce une mort anormale?

Quentin hoche la tête avec amertume,

— Oui.

L'expression de Jules reste impassible. Son regard se tourne légèrement vers le personnel médical sur le côté, ses yeux noirs comme des lasers qui pourraient pénétrer le cœur des gens.

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