Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 508

Francis se rétablit plus vite que prévu ; Quentin pense qu'il lui faudra deux semaines pour se remettre totalement. Mais seulement une semaine et demie plus tard, il se rétablit totalement. Cependant, Sara ne le laisse pas quitter l'hôpital plus tôt.

Geoffroye s'envole, le dernier jour à l'hôpital, après s'être assurée qu'il se rétablit totalement, Claudie effectue les procédures de sortie. Francis peut se lever du lit et marcher. Bien qu'il s'appuie sur une canne, il peut marcher de façon stable.

— Docteur Quentin, merci. Sara m'a dit que c'était grâce à vous et au docteur Vannier.

Francis remercie Quentin dans le service. Il aime les gens comme Quentin, qui ne sont pas très beaux, mais qui sont des hommes de caractère. Un tel médecin est digne de respect.

Quentin secoue précipitamment la tête,

— Ne dis pas ça. C'est ce que je devrais faire.

Francis sourit et comprend très bien dans son cœur. En tant que directeur d'un hôpital, Quentin doit s'occuper chaque jour de nombreuses interventions chirurgicales. Il a tout arrangé pour eux et pourrait simplement les laisser derrière lui. Au lieu de cela, Quentin vient deux ou trois fois par jour pour prendre de ses nouvelles. Quentin leur a montré une gentillesse et un amour incroyables.

— Viens nous rendre visite quand tu seras libre. Ta tante et moi te préparerons un grand repas.

François lui tapota l'épaule comme un aîné chaleureux.

Quentin acquiesce volontiers:

— Si je suis libre, il faut que j'aille te voir !

— Papa, on y va. Le docteur Quentin va se faire opérer dans quelque temps. On devrait le laisser partir.

Sara est un peu gênée en regardant de côté, alors elle presse son père à voix basse.

Claudie s'avance pour le soutenir, suivie par une infirmière professionnelle de l'hôpital, qui les suivra jusqu'à leur domicile.

Ils prennent l'ascenseur directement à l'étage du sous-sol. Jules attend déjà en bas. Il n'est pas en bonne santé. Pour des raisons de sécurité, il demande au chauffeur de conduire un SUV spacieux.

Claudie et Francis sont assis sur le siège arrière, accompagnés de l'infirmière, tandis que Sara et Jules sont derrière eux.

En chemin, Francis regarde les différentes personnes dans la rue et laisse échapper un long soupir de soulagement.

— Enfin, je suis sorti de l'hôpital. J'ai eu des vertiges en restant allongé sur le lit.

Face au plafond blanc tous les jours, même s'il peut de temps en temps sortir du lit, il ne pourrait pas aller bien loin. Pour Francis, qui n'a pas été oisif toute sa vie, il s'agit simplement d'une torture déguisée.

— Vous avez le vertige. C'est nous qui avons été étourdis, étourdis de prendre soin de toi. Pouvez-vous prendre soin de vous à partir de maintenant ? Vous devriez faire des examens physiques régulièrement. La santé, ça compte !

Claudie ne peut s'empêcher de se plaindre. Cette soudaine apparition de la maladie l'a effrayée.

— Tu dois prendre bien soin de toi, juste pour le bien de nos enfants. Tu ne dois pas leur causer de problèmes. Cette fois, Jules a été occupé, mais lui-même n'a pas encore récupéré...

— Je vais bien. Je vais presque bien.

Jules dit au bon moment, mais il se sent très chaud que quelqu'un se soucie de lui.

En entendant cela, Sara saisit la grande paume de l'homme. Au moment où elle le touche, elle est immédiatement saisie par lui à la place. Ils se regardent avec une affection indissoluble dans les yeux.

Ils conduisent sans problème tout le long du trajet. La voiture s'arrête en bas, dans le bloc H. Sara a l'intention de les laisser aller ensemble à la Villa Impériale. Cependant, Claudie et Francis ne sont pas d'accord, alors elle renonce quand elle constate qu'ils insistent.

Il n'y a pas d'ascenseur dans le vieux bâtiment résidentiel. Jules veut aider Francis. Jules marche vers Francis et se penche légèrement. Il lui tapote le dos et lui dit:

— Je vais te porter jusqu'en haut.

Personne n'attend de lui qu'il fasse ça. Claudie est émue. En regardant Jules, elle a soudainement un sentiment différent.

Sara hésite, puis elle s'approche de lui d'un air inquiet.

— Tu vas bien ? C'est le quatrième étage.

— Pas de problème.

Jules insiste pour porter Francis à l'étage. En fait, il n'a pas besoin de le faire personnellement et le chauffeur peut l'aider, mais il est quand même inquiet.

Francis se sent un peu mal à l'aise. Après tout, sa relation avec Jules n'est pas particulièrement étroite. Auparavant, il y avait un profond fossé entre eux, mais maintenant...

Regardant son dos, il hésite un instant avant de se hisser.

Jules peut sentir le poids sur son dos. C'était un jeu d'enfant pour lui avant, mais maintenant c'est un peu difficile, mais il peut encore tenir.

Sara et Claudie l'aident par l'arrière. Elles ne s'arrêtent pas du premier au quatrième étage, et arrivent directement à la porte.

Après avoir déposé Francis, Jules ne dit rien. Au lieu de cela, Sara est un peu inquiète:

— Tu vas bien ?

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