Roman Femme divorcée : une irrésistible envie chapitre Chapitre 509

Sara pense à l'accord entre eux, mais...

— Comment pouvons-nous nous marier avant que tu ne te remettes ? J'ai entendu dire que les mariages sont épuisants

Pour l'instant, Sara s'inquiète surtout de sa santé. Elle a attendu si longtemps, alors elle peut l'attendre encore un peu.

Cependant, elle ne sait pas que ces mots portent un coup sérieux à l'estime de soi de Jules.

Il réplique immédiatement:

— Quel est le problème avec ma force physique puisque je peux encore te faire l'amour ?

En d'autres termes, il peut tout faire maintenant.

— ...

Sara est sans voix et va l'ignorer. Bien que cet homme semble froid et distant lorsqu'il est à l'extérieur, elle est la seule à savoir à quel point il est frénétique et imminent.

Après avoir dit cela, Sara ne lui dit pas un mot sur le chemin du retour. Il se retourne et regarde par la fenêtre, mais l'atmosphère dans la voiture est extrêmement bonne.

En arrivant au Jardin de la Vue Impériale, Néo entend le bruit du moteur de la voiture et se précipite dehors. Il court joyeusement vers la voiture. Jules ouvre immédiatement la portière et descend pour serrer son fils dans ses bras.

— Je te manque ?

— Oui.

La voix douce de Néo est si mignonne qu'il en est tout heureux.

— Mais maman me manque encore plus.

— ...

Les paupières de Jules s'agitent. Son fils, c'est vraiment quelque chose. Par quelques mots, Néo l'a d'abord rendu extatique et soudain déprimé.

Eh bien, Sara, qui est sa mère, est plus importante pour lui.

Dès que Sara descend de la voiture, Néo lâche immédiatement la main de son père et tient celle de sa mère. Son visage était plein de bonheur.

— Maman, tu me manques tellement...

Jules est un peu mal à l'aise, mais il n'a vraiment pas fait ça bien avant. Il ne peut que suivre la mère et le fils vers la porte.

Dès qu'ils entrent, Brigitte les salue immédiatement et leur apporte les bagages.

— Bienvenue chez vous, M. Jules et Mlle Sara.

— C'est bon d'être de retour.

Sara change de chaussures et traite Brigitte comme si elle était un membre de la famille pour eux.

— Nous vous avons bien occupée ces derniers jours, Brigitte, merci.

— Non, je ne suis pas fatiguée. Je sais que vous et Monsieur Jules revenez aujourd'hui, alors j'ai laissé la nounou partir en premier. Quelqu'un m'aide depuis quelques jours, et je ne me sens pas très fatiguée.

Jules monte à l'étage et se change d'abord. Quand il redescend, c'est presque l'heure du déjeuner. Brigitte s'est déjà préparée. Elle a préparé plus de plats que d'habitude, pour les accueillir à nouveau.

La force physique de Sara a été mise à rude épreuve ces derniers jours, alors elle monte prendre une douche et s'allonge sur le lit pendant un moment, et elle s'endort immédiatement.

Jules joue à des jeux avec son fils en bas. Néo a l'habitude de faire la sieste. Après le déjeuner, il a une incroyable envie de dormir. Jules le borde et retourne dans la chambre. Dès qu'il pousse la porte, il trouve la petite silhouette allongée sur le lit.

L'homme s'arrête dans son élan et reste là une demi-minute avant de se diriger vers le chevet du patient.

Après l'avoir délicatement soulevée et rangée, il tire la fine couette du côté et la recouvre. Quelques mèches de cheveux s'éparpillent sur son visage clair de manière désordonnée. Il la peigne soigneusement, et ses mouvements sont très doux de peur de la réveiller.

Elle a dû être épuisée à l'hôpital ces derniers jours. Lorsqu'elle dort, sa respiration est exceptionnellement lourde, et elle a des cernes sous les yeux.

Jules regarde son apparence hagarde. En même temps, il a mal au cœur car il se reproche de ne pas avoir pris soin d'elle. Heureusement, elle est avec lui maintenant, et il a l'occasion de s'occuper d'elle.

Jules se penche et lui donne un doux baiser sur le front.

— Dors bien, ma chérie.

Il grimpe sur le lit et s'allonge à côté d'elle. Il sort le téléphone qui se trouve sur le chevet et vérifie les photos que le styliste vient de lui envoyer. Toutes sont des robes de mariée. Lorsqu'il voit les photos, son cœur s'attendrit. Il regarde les photos l'une après l'autre et les sélectionne soigneusement.

Un mois plus tard, Jules est presque guéri. Tout le monde est au courant de son retour, mais ils ne le dérangent pas. Ils savent qu'il a beaucoup de choses à faire. Il se trouve que tout le monde est libre ces derniers temps, Sara les invite chez elle.

Quentin est naturellement le premier à être invité, et ils invitent également Matthieu et Damien. Les quatre hommes s'installent sur le canapé du salon et commencent à taquiner Néo après avoir salué Jules.

Jules n'en peut plus et porte son fils:

— Si tu aimes les enfants, tu peux avoir tes propres enfants. Ne t'en prends pas à mon fils.

— Pourquoi cette agitation ? Jules, ne sois pas si pingre !

Damien plaisante encore:

— Si je pouvais accoucher moi-même, j'aurais déjà mes propres enfants.

En entendant cela, Sara jette un coup d'œil à Quentin. Il emmène Sally avec lui aujourd'hui. Ils sont ensemble depuis tant d'années, pas moins que Jules et elle. Bien que Matthieu et Marie n'aient pas tout compris, ils se tiennent compagnie. Damien est le seul à être célibataire depuis des années.

— Damien, c'est que tu veux trop ou tu ne veux pas de petite amie du tout ? Tu es célibataire depuis tant d'années !

Lorsque Damien entend cela, il lui assure sincèrement:

— Sara, dans ma situation actuelle, comment puis-je rester célibataire alors que j'ai rencontré quelqu'un qui me plaît ? Je ne veux pas être célibataire pour toujours. C'est juste que je n'ai rencontré personne.

— Alors...

Sara donne un coup de coude à Jules et dit:

— Présente une fille à Damien.

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