Roman Le Retour du Roi chapitre Chapitre 124

En regardant le visage sérieux de Delmore, Travis pensait qu’il y aurait un grand mouvement de la part de la famille Batteux.

Après avoir écouté le rapport, il n’a pas pu s’empêcher de rire.

Après le retour de Fernande, pour une raison quelconque, il semblait qu’elle n’ait parlé de cette affaire qu’à Gaël.

Gaël, qui avait habituellement une personnalité violente et un grand respect pour Fernande, avait en fait enduré et n’avait rien fait.

Il semblait qu’il n’avait pas l’intention de faire quoi que ce soit à propos de ce qui s’était passé.

Ce n’était qu’hier qu’on avait reçu le rapport que Gaël avait décidé d’utiliser de l’aide.

Gaël avait contacté Philippe Boulle qui habitait dans la ville voisine de la Ville Vibolsa, avait promis des conditions généreuses et avait ordonné à Philippe de prendre la Ville Vibolsa.

Philippe et Dylan étaient à l’origine des ennemis. Après la mort de Gaston, Philippe avait essayé de faire quelque chose et quand il avait entendu les mots de Gaël, il avait immédiatement accepté.

Il avait déclaré la guerre directement à Dylan, et il voulait avoir un combat dans la Tranchée Tigre entre les deux villes.

Le perdant devait céder son territoire.

Delmore a dit :

— Je suppose que Gaël veut utiliser Philippe pour l’aider à obtenir la Ville Vibolsa en premier. Ensuite, il enverra lentement ses maîtres. Dès que ses maîtres en auront l’occasion, ils lanceront une attaque fatale contre vous.

Travis a ri,

— Et alors ? Dylan est d’accord ?

Delmore a hoché la tête,

— Dylan était facile à être irriter. Il a accepté tout de suite, et en ce moment même, leur peuple se prépare pour la nuit.

En voyant le visage sérieux de Delmore, Travis ne pouvait s’empêcher de dire :

— Alors tu n’es pas d’accord avec Dylan, n’est-ce pas ? Puisque tu veux me faire un rapport en face à face, as-tu un autre plan ?

Delmore a hoché la tête et a dit avec indignation :

— Philippe a beaucoup de problèmes. La police locale a reçu de nombreux rapports, mais au final, ils ont tous eu du mal à trouver des preuves. Et Philippe semble avoir entendu quelque chose, et il a gardé un profil très bas ces derniers temps. C’est difficile de l’arrêter. La police locale a demandé de l’aide au membre de notre équipe, Boniface. Boniface a aussi appris que Philippe va peser de tout son poids pour combattre Dylan cette fois. C’est une opportunité très rare. Boniface m’a dit que nous pouvions mettre en place un piège à la Tranchée Tigre, et le moment venu, nous pourrons nous débarrasser complètement de Philippe d’un seul coup.

Travis a hoché la tête et dit :

— Ça pourrait être faisable. Y a-t-il une difficulté ?

— La difficulté est que...

Delmore a dit avec un sourire amer :

— Dylan ne veut pas coopérer. Il dit qu’il a ses propres principes. S’il coopère avec nous, il va enfreindre les principes. Il décide de vaincre Philippe lui-même. Je ne peux donc que vous faire un rapport. J’espère que vous pouvez nous comprendre, et nous voulons juste aider la loi.

Travis a dit en colère :

— Ce fils de pute ! Dis-lui de se rappeler qu’il peut avoir ses principes, mais que ses principes ne peuvent pas se mettre en travers de la loi. Devant la loi, ces principes ne fonctionnent pas. Est-ce qu’il pense qu’il est innocent ? Il est seulement dehors maintenant parce que je lui ai donné une chance de se racheter. S’il parle encore des principes, je peux le mettre derrière les barreaux maintenant !

Delmore ne s’attendait pas à ce que Travis le soutienne. Il a dit avec enthousiasme :

— Monsieur, avec votre aide, Dylan va certainement coopérer ! Monsieur, je vais trouver Dylan ! Ce soir, je vais m’assurer que tout rentre dans l’ordre.

Travis a ri,

— Philippe est venu préparé. As-tu assez d’hommes ? Tu as besoin d’un peu d’aide ?

Il ne voulait vraiment pas laisser passer la moindre occasion d’exercer le Châtiment.

Delmore a répondu avec colère :

— Monsieur, vous sous-estimez la force de notre équipe ! Ce ne sont que quelques voyous !

Travis a ri,

— J’ai compris. Vas-y.

Puisqu’on n’avait pas besoin de l’aide, il était certainement heureux. De plus, peut-être qu’un voyou comme Philippe ne méritait pas non plus d’être puni par le Châtiment.

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