Roman Le Vrai Amour chapitre Chapitre 1

L'amour, oui le vrai, est un mythe, un conte de fée, une illusion pour certaines personnes et pour ces dernières le vrai amour n'existe pas tout simplement. Des fois lorsque j'entends cela, je me demande aussi si ces dernières en disposent avant de ne pas en son existence? Parce qu'on ne peut jamais bafouer l'existence de quelque chose si on en dispose. C'est pour ça des fois, pour donner certains exemples, nous devons commencer par nous même.

Celui ou celle qui ne croit pas en l'existence de l'amour, ne dispose pas de l'amour. Car ce n'est pas parce que tu n'as pas encore trouvé celui ou celle avec qui tu vas construire ton monde d'amour, ou c'est parce que tu rencontres toujours des déceptions ( Leçons de la vie) sur ton chemin, que déjà pour toi l'amour n'existe pas. Si c'est ce que tu penses, tu te trompes gravement.

Beaucoup ont dans la tête si on considère l'amour comme une rose que déjà cette rose est au point quelque part où ils iront chercher. Cette pensée que nous avons des fois dans la tête, fait que nous n'arrivons pas à voir la réalité des choses. Parce que la rose aussi était une graine mise en terre et entretenue pendant longtemps pour venir à ce stade de fleur. C'est comme ça l'amour.

Un Homme qui n'a jamais connu ce qu'on appelle DÉCEPTION et que vous prenez tellement à cœur, peut se donner corps et âme sans même réfléchir si vraiment ce dernier veut faire du sérieux. Contrairement à celui ou celle qui a déjà goûté au vinaigre plusieurs fois en amour.

Mais bon on oublie ce côté de déception, tous ceux qui connaissent ce qu'on appelle le vrai amour véritablement en bénéficient toujours. Et même pour eux les obstacles et les problèmes dans leurs relations constituent les forces qui les aident à bien bâtir leur monde d'amour.

Tout le monde veut vivre le vrai amour sans souffrir, ce qui est impossible de nos jours où la déception est dans nos bouches, ce qui pousse l'homme à être sérieux est toujours à la portée de l'homme. Je parle bien du SEXE, et celle qui doit aussi se donner de la valeur se fait échanger par de l'argent et autres choses luxueuses. Je parle bien de la FEMME.

Avant un homme qui voulait faire du sérieux avec une femme, pouvait attendre des années juste pour cette dernière pourquoi ? Parce que lui-même sait que malgré toutes les richesses dont il dispose, ce sera difficile pour lui d'avoir cette femme facilement dans son lit et comme ça lui tient à cœur, son objectif ne sera plus de passer un bon moment avec cette femme et de la laisser après mais de l'épouser.

Mais de nos jours, il faut juste qu'on soit en contact avec l'homme et que ce dernier ait un peu les moyens et déjà le premier jour on se laisse aller. Déjà le premier jour que tu as vu l'homme, il a fait l'amour avec toi. Tu peux te dire que c'est parce que tu es follement amoureuse de cet homme et c'est pour ça que tu t'es laissée aller. Mais tu dois savoir que tu te trompes et n'oublie pas que certains hommes aiment se poser des questions comme ?

— Cette fille sera une fille sérieuse avec qui on pourra avoir une relation durable ?

— Sinon déjà le premier jour de notre rencontre, je lui ai fait l'amour, elle n'a même pas résisté, c'est seulement à moi qu'elle s'est laissée comme ça ou bien c'est comme ça elle est et elle se laisse à tous les hommes qui se mettent avec elle?

—Etc etc......

On veut avoir le vrai amour, alors que nos comportements aussi constituent un blocage pour avoir ce qu'on veut.

Dans tous les cas, comme on dit, l'homme est né bon et c'est toujours l'homme qui le transforme en mauvais ou bon. Je ne vais pas trop discuter sur ça.

Dans le but de montrer à ceux qui se disent que l'amour, le vrai n'existe pas, la valeur inestimable de l'Amour et de leur montrer que l'amour n'est pas une illusion et que ce sont nos comportements qui font que l'amour, le vrai perd sa valeur, ce que certains ont compris et savent se maîtriser pour toujours avoir l'amour dans leur Palais, j'ai eu l'immense envie de faire face aux Muses en leur comptant fleurette de la manière la plus sidérante. Elles se sont laissées faire et ma plume, vive et audacieuse se plongea dans cet encre intarissable pour ainsi écrire une histoire D'AMOUR VRAI intitulée : LE VRAI AMOUR, une histoire qui fut la première histoire que j'ai écrit dans ma vie et qui a fait naître ma page f******k : Les Chroniques De Richy.

DÉBUT DE MON HISTOIRE

Je me nomme Richy Mousse , né dans une famille de sept enfants , c'est-à -dire quatre filles et trois garçons et je suis l'un des trois garçons, le deuxième garçon si je peux dire ça comme ça. Car toutes les filles ont vu le jour avant nous les garçons.

Nos parents ont divorcé lorsque mon petit frère avait deux ans et moi cinq et donc nous avons grandi auprès de notre mère. Une lionne qui a beaucoup souffert pour que ses enfants aient le meilleur pour leur avenir, à travers ces tracas vous même vous savez le reste.

Une femme qui doit s'occuper seule de ses enfants, sans aucun soutien ce n'est pas la joie. Mais on ne peut pas dire qu'elle n'a pas lutté, elle a vraiment lutté jusqu'à ce que moi *Richy*j'ai eu mon diplôme de baccalauréat.

Premier diplôme universitaire et c'était une joie pour elle car elle est maintenant comptée parmi les parents qui ont des enfants étudiant (e)s. Mais bref ce n'est pas la nostalgie qui m'a amené ici, grâce à l'aide de mes grandes sœurs et aussi de mon père qui est apparu après l'obtention de mon diplôme, j'avais commencé l'Université.

Pour mes parents, je dois devenir un grand magistrat et là je me suis inscrit en SJ (Sciences juridiques), mon seul objectif était bel et bien de concrétiser leurs rêves. Durant toutes ces années je ne me suis jamais engagé dans une relation amoureuse car un pauvre mec comme moi qui n'arrivait même pas à satisfaire ses besoins allait faire quoi avec une fille?

Une question que je me posais souvent et c'est vrai, de nos jours c'est l'argent qui est le conducteur de l'amour.

Concernant les relations amicales, je n'étais pas du genre à me faire beaucoup d'amis. Car je m'énerve trop vite, Youbano est le seul ami que j'avais sur le campus et c'était lors d'un exposé qu'on s'était connus. Youbano est un mec cool et par surprise sa maison était juste derrière la mienne. On faisait presque tout ensemble , nos devoirs, les exercices, les sorties entre mecs...

Anna est la petite amie de Youbano et elle aussi est vraiment sympathique.

Étant le fils d'un pauvre, mon dilemme a commencé lorsque j'ai croisé *Prunelle* une fille vraiment belle de ma promotion c'est-à -dire nous sommes dans la même école de droit. Mais le problème est qu'elle est une fille riche, son père est un grand chirurgien qui travaille en Espagne et sa mère Directrice Générale d'une entreprise. Vous voyez que je n'ai aucune chance?? C'était ce que je me disais, car qu'est-ce qu'une fille comme elle allait avoir avec moi, un enfant de pauvre?

Chaque fois que je posais mes yeux sur elle,je sentais quelque chose comme un feu qui brûlait au fond de moi. Mon rythme cardiaque changeait et on dirait qu'elle était la pièce manquante pour que mon cœur puisse fonctionner normalement.

Mais je ne pouvais rien, car je me voyais inférieur devant elle. Tony un mec de ma promotion était le seul qui causait avec *Prunelle* car lui aussi est un enfant de riche et aussi peut-être un *parent* de Prunelle.

Il était 6h30mn et vraiment sans blague je n'avais pas du tout envie de me rendre à l'Université. Moi même je ne savais pas pourquoi, j'avais déjà pris ma douche mais j'avais la flemme. Quelques secondes après c'était ma *Mère* qui m'interpelle :

— Mon garçon, tu ne vas pas en cours ?? Ton ami te cherche je parle de Youbano.

— OK maman je viens déjà. Répondis-je

Une fois au dehors, j'avais vu *Youbano* qui était déjà prêt pour que nous prenions la route de l'Université.

— Ah! brother, comment vas-tu et ce matin ?

— Ça va bro et de ton côté ? J'espère que ça bouge?

— Oui mon frère je rends grâce à Dieu.

— Mais Richy je ne comprends pas , c'est quoi n'es-tu pas prêt pour qu'on y aille? ou bien tu ne viens pas aujourd'hui ?

— Youbano je ne sais pas pourquoi, mais je n'ai pas envie de partir en cours aujourd'hui.

— Mon frère ne me dit pas que c'est toujours à cause de cette fille hein!!!

— De quelle fille parles-tu encore ?

— Tu sais très bien de qui je parle *Richy*. Je parle de *Prunelle*.

— Oh non mon frère toi aussi, comment peux-tu imaginer cela ?

— Ou bien c'est à cause de son garde du corps *Tony ??*

— Non non mon frère.

— Et c'est quoi man ? Va te doucher et on s'en va s'il te plaît.

— OK OK je me suis déjà douché, attend juste que je m'habille.

— OK fais vite mon pote.

J'avais laissé Youbano dehors pour aller m'habiller. J'étais prêt et nous avions pris la route. Après avoir passé quelques minutes sur le chemin, nous voilà enfin sur le campus, mon ami et moi.

Une fois devant notre salle, à ma grande surprise c'était *Prunelle* qui était à la devanture. Elle discutait avec Tony, j'avais détourné mes yeux pour ne rien voir et soudainement j'entendis quelqu'un m'appeler. Bizarrement je n'avais personne comme ami à part *Youbano* qui connaissait mon nom.

Je m'étais retourné et qui avais-je vu? C'était *Tony* qui m'appelait, je ne voulais pas aller vers lui, car ce dernier me faisait signe de la main de venir. Mais mon ami me demanda d'aller entendre ce qu'il voulait de moi et j'étais parti le voir.

— Bonjour bro , me dit-il devant *Prunelle*

— Oui bonjour comment vas-tu et ce matin ?

— Bien et la journée ça va j'espère !!?

— Oui je rends grâce au Dieu tout puissant.

— OK moi c'est Tony JOHNSON, je voulais solliciter ton aide concernant l'exercice que le docteur de sciences politiques a donné. Car d'après les dires des amis tu es le seul qui peut vite comprendre et résoudre les questionnaires. Donc je veux bien que tu m'aides à les comprendre si ça ne te dérange pas.

— Si je comprends bien, tu viens de dire que c'est moi seul qui peux résoudre les questionnaires. Comment moi seul? je ne connais rien pour être placé à ce niveau dans notre salle, mais je verrai si mon temps me permettra de te donner un coup de main.

Soudainement après avoir dit cela , c'était la voix de ma déesse qui résonne vous savez bien à qui je fais allusion, je veux parler de Prunelle.

— *Prunelle :* S'il te plaît Richy, aide nous , toi-même tu sais que le Docteur a une interrogation sur ça. S'il te plaît ou bien si tu veux on peut te payer pour ça...

— Quoi me payer pourquoi? non non vous aussi OK, c'est compris. Lorsque nous finirons les cours nous chercherons une salle pour le faire.

Les amis vous même, vous savez ce qui m'a poussé à prendre cette décision. C'est l'intervention de celle dont je rêve *Prunelle* bien-sûr. Car j'allais au moins avoir la chance de la regarder de près maintenant.

Ils me remercièrent et nous nous étions séparés sur ces mots. Nous étions sortis vers 16h et j'étais tellement fatigué, j'étais aussi dérangé par la faim, mais je ne savais pas quoi manger. Car je n'avais pas d'argent je pensais à ça et je me souvins que ma mère m'avait remis 100f le matin avant que je ne quitte la maison.

J'avais fouillé ma poche et j'avais effectivement trouvé les 100f. J'ai décidé d'aller prendre quelques biscuits de 25f et de l'eau. Car je n'aimais pas trop manger les nourritures préparées par les bonnes dames, je fis signe à *Youbano* pour qu'on s'en aille pour le centre commercial. Soudainement, j'entends quelqu'un prononcer mon prénom .

— Prunelle : Richy tu pars déjà c'est ça ??

— Non Euuu... s'il te plaît c'est quoi ton prénom déjà ?

— Je me nomme *Prunelle MENSAH*

- OK Prunelle, je veux juste aller prendre quelque chose au centre commercial avec mon ami..

— OK attendez nous alors répliqua Tony,

On pensait prendre quelque chose à bouffer avant l'étude.

Je commençais par me demander comment j'allais me comporter là-bas, vraiment quelle malchance ! J'avais juste 100f en poche. *Youbano* qui entre-temps nous avait rejoint remarque que je ne suis pas à l'aise et comme il savait tout venant de moi il me dit *bro t'inquiète j'ai 1000f avec moi on va gérer*

—OK mon frère, répondis-je.

Nous sommes partis au centre commercial tous les quatre. Une fois au centre commercial, *Prunelle* demanda ce qu'on voulait prendre. Car elle aimerait prendre du riz au gras. Tony, quant à lui voulait aussi prendre du riz au gras.

J'avais dit que je voulais juste prendre du biscuit car je n'aimais pas trop les repas achetés. Prunelle se retourna, me regarda et dit :

— *Prunelle :* Ah bon? Tu es comme mon père alors, il n'aime pas du tout payer à manger.

— OK je vois, répondis-je.

J'étais parti prendre trois biscuits de 25f et un sachet d'eau de 25f. Mon ami aussi ne savait plus trop quoi dire car il me connaît.

Tout à coup, Prunelle après m'avoir vu prendre les biscuits me demanda :

— *Prunelle* : Quoi? c'est ce que tu veux prendre pour traiter l'exercice avec nous ??? C'est quoi ça ou bien ne sais-tu pas que tu vas dépenser de l'énergie ??

— Oui je sais, mais ça me va largement. Ne t'inquiète pas, merci beaucoup de te soucier de moi.

Prunelle, sans rien me dire , alla chez la vendeuse de biscuits et me prit un biscuit de 500f. Elle vient me remettre ça, j'ai refusé mais elle a insisté et Youbano me fait signe de prendre le biscuit sans discuter donc j'accepte.

Mais un problème, la façon dont Prunelle réagissait n'était pas appréciée par *Tony* et ce dernier la regardait bizarrement. Nous avions fini de manger et nous nous étions mis à chercher une salle vide. Sur la route, *Prunelle* me demanda si je n'allais pas manger le biscuit qu'elle m'avait acheté?

Et je lui avais répondu que j'allais manger après. Ce que Tony n'avait pas aimé, en voyant ses réactions.

Nous avions cherché une salle jusqu'à épuisement, mais en vain car toutes les salles étaient occupées.

Prunelle demanda :

— Personne parmi nous n'a sa maison à côté? Car moi je quitte loin sinon nous allions partir chez moi.

— Moi aussi je quitte loin dit Tony.

— OK répondis-je, Youbano et moi sommes juste à côté. Mais je ne sais pas si vous serez d'accord car ma maison n'est pas si grande.

— Tony ouvre grandement ses yeux en disant “ ta maison est comment tu veux dire? Moi je suis obligé d'appeler mon chauffeur de venir me prendre. ”

— *Prunelle :* Mais Richy qui parle de la grandeur de maison ? Moi je suis prête nous allons partir chez toi alors.

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