Roman Mon amour trahi chapitre Chapitre 32

Ce soir là, je voulais faire un détour par le supermarché pour faire des amplettes quand, au parking souterrain, après être sortie de la voiture, je fus entourée par trois filles, que je n'avais jamais vu de ma vie. Leur regard me fit comprendre qu'elles étaient là pour la bagarre. À l'Université, je faisais partie du groupe des Blacks Panthers, un groupe de self defence pour filles. J'avais rejoins les Blacks Panthers à cause des agressions et de viols que les bandes de voyous orchestraient dans le campus. Un des professeurs avait eut l'idée de créer ce groupe pour apprendre aux étudiantes comment se défendre en cas d'attaque. Lorsque ces trois filles, prirent position pour m'attaquer, je dû me défendre et cela ne fut pas très difficile. Au bout de dix minutes, la plus farouche était plaquée au sol et les deux autres, après avoir reçu plusieurs coups, voulurent s'enfuir, mais furent très vite rattraper par trois hommes. Au départ, je crus qu'il s'agissait des membres de la sécurité du supermarché, mais, je vais découvrir plus tard que c'étaient des gardes recrutés par Charles pour me protéger, et il y avait un autre groupe qui protégeait les jumeaux. Une fois les trois filles regroupées, je n'avais pas lâché celle sur le dos de laquelle mon pied était ( On aurait dit que j'avais présentais que ce genre de chose allait arriver, j'étais en jeans et sneakers). Je tordais son bras de plus en plus en lui demandant pour qu'elle raison, elles m'avaient attaquée, elle ne voulait pas répondre, alors je mis plus de pression et la douleur aussi augmenta, ne pouvant plus tenir, elle finit par me dire qu'elles avaient été envoyées par Fanny. Le plan était de me frapper, puis me conduire vers elle. Pendant que je continuais à l' interroger, Charles et Frédérick arrivèrent. Il était habillé tout de blanc, ce qui lui donnait une allure de mannequin ou d'un acteur de cinéma hollywoodien. Mon Dieu, qu'est-ce qu'il était beau, cet homme! Mais je ne voulus pas qu'il se rende compte qu'il me faisait toujours de l'effet, après tout, je ne lui avais pas encore vraiment pardonné. Dès que les gardes le virent, l' un d'eux, saisit le bras de la fille, je me mis de côté après avoir asséné un coup de pied à cette fille. Au premier regard, Charles reconnut les trois filles et leur dit :

" Fanny ne vous a pas dit que ma femme n'était pas comme les filles que vous avez l'habitude d'intimider? Je lui ai dit de se tenir loin de ma femme, elle n'a pas saisi? Eh bien, vous allez goûter à ma colère. Charles demanda aux gardes de fouetter les filles. Chacun retira sa ceinture. Ne voulant plus restée là, je pris mon sac pour rentrer dans le,' ascenseur et faire mes courses, quand je vis Frédérick me prendre par la main pour me stopper dans ma marche, me demandant d'attendre. Après la bastonnade, Charles appela la police qui d'ailleurs avait un patrouille pas très loin de là, les filles furent conduites au commissariat. Puis les deux frères décidèrent de m'accompagner faire les courses. Nous marchions ensemble, contre toute attente, je me retrouvais à marcher entre les deux, ce qui attira beaucoup d'attention. Il faut avouer que les deux frères se ressemblaient beaucoup, donc très beaux tous les deux. La présence de Charles à mes côtés était à la fois plaisant mais aussi irritant, je ne savais pas pourquoi, subitement je sentais la colère monter en moi :

" Charles avait fait l'amour à une autre!"

Pendant que nous étions en train de marcher, je m'arrêta, le regardant droit dans les yeux et lui demanda :

" Charles, tu as couché avec Fanny?"

Les deux étaient déconcertés. Frédérick me regardait, je regardais Charles attendant la réponse, lui, était juste là, devant moi, complètement perdu et moi je le regardais. Au bout de cinq minutes, je repris ma marche pour faire des courses. Les deux restèrent d'abord sans bouger, puis se ressaisirent et me suivirent. Je fis mes amplettes sans lui adresser la parole. Une fois à la caisse, pendant que la caissière scannait les produits, pratiquement la quasi totalité des produits étaient pour les enfants, Charles sortit rapidement sa carte et paya. Je pris la facture et lui demanda son numéro de compte pour le remboursement. Il me regarda étonné:

" Honey, seriously? Are you serious right now? Les courses de nos enfants, je ne peux pas payer leurs factures? Come on Baby, don't be like this!"

C'était un peu enfantin de ma part, du moment où je lui avais permis de faire partie de la vie des jumeaux cela voulait dire, lui permettre de faire des choses pour eux. Il me fallait m'y faire, je devrais désormais savoir qu'il allait faire des choses de ce genre.

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~ Charles ~

Waoooo!! Était-ce de la jalousie? Pourquoi Sheryl voulait savoir si j'avais couché avec Fanny? Et elle avait posé cette question en me regardant droit dans les yeux. Cela voulait dire une seule chose, ma place dans le cœur de ma femme était intacte. Je pris la résolution de mettre les bouchées doubles pour la reconquérir. Le lendemain, à mon réveil, j'avais un plan que je devais mettre sur pied, une façon de me rapprocher petit à petit de ma chère .

Je devais d'abord me rendre au commissariat pour savoir un peu plus ce que le commissaire avait pris comme résolution. Une fois sur place, il me fit savoir que les trois filles, ne voulaient pas dire qui leur avait donné l'ordre de créer des problèmes à Sheryl, je savais bien que c'était Fanny, mais comme les filles ne disaient rien, il était un peu difficile de l'impliquer. Le commissaire et moi avions pris la résolution de les garder en cellule. De retour à la maison, je pris une bonne douche, je devais rendre visite aux jumeaux. En fait, c'était un prétexte, je voulais voir Sheryl, je profitais du fait que mon fils aimait beaucoup les motos, et ma fille les jeux de cuisine, je me rendis dans un magasin où on vendait des jouets grandeur nature. Je pris donc une moto avec un circuit et une maisonnette. Lorsque je fus devant la maison, sachant que Sheryl était encore à la clinique, j'appela Elyan, lui disant que je voulais faire une surprise aux jumeaux. Elle me fit entrer ainsi que les employés du magasin qui devaient se charger de l'installation. Tout était fin prêt avant que le enfants ne rentrent. Ils étaient faire un tour en voiture avec Richard. Elyan me proposa de les attendre, ce que je fis volontier. Comme par hasard, Sheryl avait décidé de rentrer tôt, elle me trouva assis dans le salon, elle fut très surprise, et me dit :