Roman DANS CETTE VIE, COMME DANS L'AUTRE chapitre Chapitre 18

Quelques part aux États-Unis, Henry Joshua Marinet avait retrouvé sa petite soeur, Claire Marinet, deux mois après sa disparition.

Cette dernière avait bien déniché un mec, elle dit avoir vécu le grand amour et était même fiancée, un excuse qu'elle a du inventer pour convaincre son frère.

Personne ne sait ce qu'elle manigançait durant ces deux mois parce qu'aujourd'hui elle est bel et bien et même plus que célibataire, elle a 25 ans, très discrète et jusqu'à présent, personne ne encore peut cerner sa personnalité. Avec elle, C'est un jour chaud, un jour froid.

Quant à Jenny Marinet, elle est plus calme. À 28 ans, elle a un vrai fiancé, un travail. Elle tient un peu du tempérament de sa mère. Sa vie est plus ou moins stable par rapport Claire.

Joshua, à 34 ans, il es marié, il a trois enfants, passionné et fou de sa guitare, sa raison de vivre après sa famille. Lui, il communique plus souvent avec sa famille sur l'île :

...

- Oui, papa m'a prévenu cet après-midi, comment va t-elle maman?

- Ça fait bientôt 10 heures qu'elle est comme ça Josh, elle ne réagit toujours pas!

- Ne t'en fait maman, ma petite soeur sera bientôt sur pied, c'est une battante !

- Je le sais mon fils, je l'espère aussi!

- Au fait je n'ai pas eu de nouvelles des filles ça fait presque deux semaines. Mes propres enfants m'ignorent à ce point Josh?

- Maman, elles ne t'ignorent pas, peut être qu'elles sont chargées, je ne sais pas, par le boulot.

- Claire ne travaille pas Josh, je ne suis pas bête à ce point, Quand à Jenny je ne sais pas pourquoi non plus elle m'ignore !

- Bon maman, je te promet que je leur donnerai une bonne fessée, d'accord ! dit Josh en plaisantant.

- Ce n'est pas à toi de rappeler à Claire ou à Jenny qu'elles ont une mère! Je suis sûre que ce n'est pas le cas pour Henry ou pour Malia.

- Maman, n'exagère pas, je suis sûre qu'elles une bonne raison.

- Si tu le dit! Elle dit en soupirant.

- Je dois te laisser mon fils, ton père arrive maintenant! Et passe le bonjour à Maggi et à tes enfants pour moi, Bye mon fils!

*

23 heures et cinq minutes.

Henry est assis sur une chaise à coté du lit. devant son ordinateur posé sur une petite table, en train de travailler pendant que Carène elle, est allé à la salle de bain se laver le visage pour chasser un peu le sommeil.

Lorsqu'elle en ressort, Henry prend le temps de la regarder un moment :

- Carène si tu es fatiguée, tu devrais te reposer un peu, je reste avec Malia!

- Non, ça va cheri, toi tu dois aller travailler demain, tu peux rentrer si tu veux!

- Non, je ne rentre pas, je ne la quitte pas des yeux jusqu'à ce qu'elle se réveille!

Carène soupire :

- Elle devrait déja être réveillée Henry, Qu'a dit le docteur ?

Henry tourne la tête et regarde Malia, puis retourne à son ordinateur :

- Son état s'est amélioré, tout dépend de Malia, maintenant, on doit être patient!

- Papa! une petite voix à peine audible se fait entendre.

Carène et Henry se regardent un peu surpris et se retourne en même temps vers le lit pour et voir Malia réveillée.

- Malia! Carène crie de joie et s'assoit sur le lit : ma chérie tu vas bien!

- Alors ma reine, tu as fais de beaux rêves? Demande Henry avec un sourire tendre en caressant les cheveux de sa fille.

Malia sourit à ses parents, Carène sortit à ce moment pour appeler le docteur, quand ce dernier rentre dans la salle, il examine Malia rapidement et rassure les parents que tout va bien, elle est sous calmement, la douleur est supportable, et puis il ressort.

TRENTE MINUTES PLUS TÔT.

Dans un chalet en plein foret, au nord de la cité bleue.

Une belle jeune femme avec la peau blanche, rafinée par sa coiffure et ses vêtements, elle parait très effrayée, elle est

assise bien ligotée sur une chaise, avec les yeux bandés, elle est en train de se tortiller pour tenter de se libérer de ses liens mais en vain.

Elle sent bien la présence de plusieurs personnes dans la salle mais jusqu'à présent à part elle qui crie de temps en temps, personne ne dit un mot depuis qu'elle est ici :

- Qui êtes-vous? laisser moi partir! Ma famille est très puissante si vous me laisser partir maintenant je ne porterai pas plainte, je vous promet!

Elle essaie de négocier.

-Ça fait des heures que j'ai disparu, ma famille doit être à ma recherche en ce moment, si vous me relâcher, je ne dirai rien, promis!

Et là, elle fait semblant de pleurer, sa voix devient étouffante, mais il n'y a aucunes larmes :

- Par pitié, laissez moi partir!

*Quelle actrice!*

Un homme assis en face d'elle en train de l'observer avec un visage froid, vêtu tout en noir, les pieds croisés, appuyé sur son coude, son menton entre son pouce et son majeur, son index sur la bouche.

Il fait un simple geste de la main, et un autre homme avance vers la femme pour enlever le bandage de ses yeux.

Elle cligne plusieurs fois des yeux fortement, pour voir plus clairement car la lumière est fixée précisément sur elle.

Dans la salle, elle peut voir quatre homme devant l'entrée deux de chaque côté, un homme debout à côté d'un autre qui est assis, sa vision est toujours un peu trouble, elle retourne le regard sur l'homme qui est debout et après un instant, elle le reconnait, *c'est Bradley, l'assistant de..*, elle déglutit et regarde l'homme assis, sa vision s'éclaircit d'un coup, avec un rire niais et s'exclame :

- Nicolas, c'est toi!

...

- Pour...pourquoi tu es là ? S'il te plaît, aide moi!

Au lieu de répondre, Nicolas se lève, s'approche et s'assoit plus près d'elle.

- Nicolas, que fais-tu ?

Il fait un rictus en la regardant :

- Te souviens-tu de ce que je t'ai dis Sylvana? Sa voix est basse et très calme.

Sylvana secoue vigoureusement la tête.

- Voyons Sylvana! Dit-il avec une voix grave qui traine un peu : il n' y a pas même une semaine. Bon Bah je vais te rafraîchir un peu la mémoire.

À ces mots, il tend la gracieusement sa main droite et Brad approche pour y déposer un petit couteau :

- Tu ne t'en souviens toujours pas?

Sylvana ouvre grands les yeux en voyant le couteau, et secoue sans cesse la tête en le suppliant.

- Nicolas, s'il te plaît ne fais pas ça, non, non!

...

- C'était.. c'était un accident.

- Ah, alors la mémoire commence à revenir! Nicolas fait semblant d'être étonné

- J'ai trébuché, je n'ai voulu lui faire de mal, je te jure, s'il te plaît. Sylvana commence à paniquer.

Nicolas sourit :

- Ah bon?

Sylvana hoche la tête.

-Tu vois j'ai pensé à de la soupe aussi, mais après et je me suis dis que pour toi, qui est une personne spéciale, ce doit être beaucoup plus spécial.

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