Roman Mon amour trahi chapitre Chapitre 35

La première semaine de passait bien. Charles était aux petits soins, nous étions de plus en plus rapprochés. C'était la première fois que nous vivions ensemble puisque juste après notre mariage, nous n'avons pas vécu ensemble. Je réalisais ses talents de cuisinier, je le taquinais en l'appelant "Chef".

Sa présence me remplissait, je l'avais là, à mes côtés. C'était un amour, mon amour. Je savourais sa présence, j'avais baissé la garde, j'avais besoin de lui, il avait aussi besoin de moi. Nous appelions les jumeaux tous les jours en appel vidéo, Frédérick avait même réussi à faire une vidéo appel avec leur famille paternel. Charles avait une famille merveilleuse. Sa cousine, Willis, une très belle fille, m'appella belle-sœur dès le premier appel, elle fondait littéralement sur la beauté des jumeaux, Madame Scott me fit savoir que Willis aimait beaucoup les enfants. Willis promis de venir les voir lors de son prochain passage.

Ma cheville guérissait plus vite que prévu, je crois que la présence de Charles y avait beaucoup contribué. Je ne ressentais pratiquement plus la douleur, mais Charles m'interdisait de mettre le pied au sol, les instructions devaient être respectées.

Nous continuons à nous embrasser passionnément, mais Charles savait s'arrêter à temps. Je savais qu'il avait envie de moi, moi aussi j'en mourais d'envie, mais il fallait faire attention. Ce soir là, nous étions sur le lit regardant la télé, c'était un film qui avaient des similitudes avec notre histoire, le titre était " Mon amour perdu" L'héroïne avait aussi était abandonnée après son mariage, mais parce qu'une rivale avait réussi à les séparer en envoyant une vidéo où elle faisait l'amour avec le nouveau marié, juste deux jours avant le mariage. La fille, sous le choc avait perdu la tête et était devenue folle. Nous nous sommes regardés, il m'a encore demandé de lui pardonner. Qu'il allait passer toute sa vie à regretter ce jour. Je lui dis que je lui avais pardonné, et pour le lui prouver, je lui donna un baiser, il prit mon visage entre ses deux mains, répondant à mon baiser, nous abandonnames dans cette fougue. Le désir brûlait en nous. Par, je ne sais comment, ma main toucha son sexe, je le sentis dur, je ne pus résisté à l'envie de caresser, j'ouvris la fermeture de son pantalon et mis ma main dedans. Il me stoppa, son regard et le mien se croisèrent, je voyais une lueur d'envie. Il me dit :

Charles :. Mon amour, je ne suis pas sûr de me retenir longtemps si tu continues. Tu sais combien j'ai envie de toi

Sheryl : Moi aussi, je meurs d'envie, lui dis-je, I need you so badly, I want you inside me right now

Charles : Are you sure about that?

Sheryl : Absolutely

Charles : Ta cheville.....

Je ne lui laissa pas le temps de continuer sa phrase, je mis les lèvres sur les siennes, il fut très réceptif. La passion longtemps enfouie en nous explosa. Mon Dieu, qu'est que j'en avais envie!! Près de six ans, sans être embrassée! Charles sur où poser sa main, sa langue, j'avais des frissons sur tout le corps. Je pris l'initiative de lui enlever son polo, mes mains sur son torse nu lui donnèrent des frissons, puis il me stoppa et me dit :

" Babe, are you sure?

Pour toute réponse, je l'embrassais plus passionnément. Il se leva, enleva mon pantalon en faisant très attention à ma cheville, puis mon tee-shirt, mon soutien gorge fut dégraffé, il fit une pause, admirant mon corps, il me dit :

" Chérie, tu es tellement belle, Mon Dieu! J'ai rêvé de cet instant durant toutes ces années. "

Ses mains recommencèrent à passer sur ma peau, puis descendirent vers ma partie intime, ce qui m'arrange un gémissement. Une main dans ma partie intime, l'autre sur mon corps, je n'en pouvais plus, je l'invita à me prendre, Il se leva, enleva son jogging et son boxer, puis il reprit sa manœuvre, je n'en pouvais plus, je le suppliais pratiquement pour qu'il me prenne. Lorsqu'il sûr que j'étais prête à fond, il me pris , ses mouvements étaient dans un premier temps doucement car j'étais fermée ( six ans sans activités), Il y alla doucement, je ressentis une douleur mais pas très forte, je fis une grimace, il me demanda si je voulais continuer, ma réponse fut un baiser, il compris ce que je voulais dire , il reprit ses mouvements, au fur et à mesure qu'il entrait en moi, j'étais au comble. Quand il fut certain d'être plein en moi, sa cadence changea, ce fut plus accélérée. Nous étions tous les deux très affamés l'un de l'autre, la fusion était parfaite mon intérieur était en proportion avec son membre. A un moment donné, il voulut ralentir car il ne voulait pas atteindre l'extase avant moi, je lui dis de ne pas s'arrêter, mais d'accélérer, mon chéri avait compris que sa femme était sur le point de perdre le contrôle, il accéléra ses mouvements en moi, je le recevais comme il se devait, cela ne fit que quelques minutes, tous les deux étions en extase, nos gémissements a chacun faisait comprendre à l'un et l'autre que nous étions entrain d'avoir notre premier orgasme ensemble après six ans de séparation. Ce le fut le comble du bonheur. Sans attendre, nous étions répartis pour un autre round. Nous avions trop envie l'un de l'autre. Mon amour me fit l'amour cet après-midi là de façon inoubliable, c'était tout simplement merveilleux. Puis, au comble du troisième orgasme, nous étions fatigués, il se leva, entra dans la salle de bain, pour me couler un bain. Il revint dans la chambre, se mit à genoux sur le bord du lit, il déposa ses lèvres sur les miennes puis me dit

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