Roman Mon amour trahi chapitre Chapitre 42

La ville était en ébullition, le pays tout entier ne parlait que de ce qu'il se passait. Les gens réalisaient enfin de qui était véritablement la grande et la tristement célèbre Elisabeth Moult alias Bernadette Scott. Mais, malgré tout le courage que j'avais , cela me faisait flipper, sachant que cette femme en avait après moi. A cause de ce qu'il s'était passé je ne pouvais que suspendre les préparatifs de notre mariage. C'est terrible de constater jusqu'à quel point cette femme avait un impact dans notre vie. Même mon mariage devait être ajourné à cause de cette sorcière. Mais, cette fois, j'allais me battre pour mon bonheur, Charles et moi étions ensemble, et cela plus personne, plus personne je le dis bien, plus personne ne se mettrait entre nous.

La chasse à l'homme se poursuivait, personne ne savait où se cachaient Bernadette et son amant. Je me promis que cette histoire n'allait pas ébranler mes moments de bonheur avec mon Chéri. Je descendis les escaliers, mon beau mari était assis sur le canapé, regardant la télévision, je savais que cette histoire le touchait profondément. Après tout, il avait été élevé par elle, c'était la femme qu'il avait appelé "Maman" durant toute sa vie. Je m'assis à ses côtés, je pris sa main , posa mes lèvres sur le dos de sa main, mes yeux fixés sur les siens, il approcha son visage du mien, me donna un baiser passionné :

" Mon amour, je ne sais pas ce que je serais devenue si quelque chose t'était arrivé. Pendant que tu étais dans le coma, j'ai pleuré tous les jours, j'ai prié tous les jours pour que Dieu nous accorde la possibilité de vivre notre amour. I love you Baby, you are my everything"

" Tu sais, mon cœur, je sais que les enfants et toi avaient besoin de moi. Je vais accomplir toutes les promesses que j'ai faites à ma femme et à mes enfants, et ça, si la mort voudrait me prendre, je lui dirais de me laisser d'abord réaliser toutes les promesses avant de me soumettre à elle. Baby, I love you the way you can not even imagine"

Nous avons pris le temps de parler, de réorganiser notre vie, de nous reconstruire après cette attaque qui avait failli me rendre veuve avant le temps. Notre amour était plus fort que jamais.

J'avais mes yeux fixés sur ceux de Charles, perdue dans ces beaux yeux qui me faisaient fondre, la connexion était parfaite, sans attendre trop longtemps, je déposais un baiser sur ses lèvres, je n'eu pas le temps de reprendre mes esprits que ma bouche était explorée par sa langue, je lui rendis son baiser. Nous étions seuls à la maison car entretemps, James avait demandé à ses éléments de ramener les jumeaux à la base militaire pour une sécurité plus appropriée, car il ne voulait en aucun cas les soumettre à un autre traumatisme, au cas où les choses prenaient une autre tournure. Mon chéri avait commencé à promener ses mains sous mes vêtements, cela faisait déjà longtemps que nous n'avions pas fait l'amour. Je ne voulais pas, il avait reçu une balle, en tant que médecin, je savais mieux que quiconque ce qu'il fallait faire dans ce cas. Donc faire l'amour était la dernière chose que je voulais faire durant sa période de convalescence, mais à l'allure où les mains de mon chéri commençaient à me transférer des décharges électriques dans mon corps qui commençaient à réveiller tous mes sens, car il y'avait des parties de mon corps qui étaient très sensibles au touché des mains de Charles et il connaissait mon corps , savait où toucher pour me faire perdre le contrôle. Je dûs étouffer un gémissement quand ses doigts effleurèrent le bout d'un de mes seins. Je dus le supplier de stopper, car j'avais peur pour lui, je n'étais pas sûre qu'il avait assez d'énergie pour faire l'amour. Mais mon mari me rassura que son corps était assez fort pour me donner du plaisir. J'hésitais vraiment à me laisser aller au désir qui avait envahi tout mon corps. Lorsqu'il voulut me porter dans la chambre quand le téléphone de Charles sonna, il décrocha à regret, mais quand il se rendit compte que ce fût James qui nous demandait de fermer toutes les portes et qu'il avait renforcé l'équipe des gardes autour de la maison. Il était certes vrai que la direction que Bernadette et sont amant avaient pris était vraiment très très loin de nous mais on était jamais assez prudent.

Charles mit rapidement le système de sécurité en marche et la maison était ainsi barricadée électroniquement. Il revint vers moi pour reprendre les choses là où il les avait laissé comme il aimait bien le dire

Il reprit avec ses caresses, son doigt passa légèrement sur ma partie intime, je ne pus retenir un gémissement, il continua son exploration de mon corps avec ses doigts, j'étais perdue. Mon corps était sans volonté, sans résistance, il me souleva et me conduisit vers notre chambre. Je sus même pas comment mes vêtements furent enlevés et j'étais à califourchon sur lui, il était en moi avec des mouvements qui me faisaient pousser des gémissements de plaisir. Quand il voulait aller très fort, je lui rappelais qu'il était encore convalescent, mais il me disait qu'il contrôlait la situation. Mon chéri me fit l'amour cet après-midi là avec élégance et assurance. Mon corps fût complètement soumis au plaisir que mon Charles me donnait. Lui et moi étions partis pour un orgasme commun, puis, sans laisser le temps à son membre de se refroidir, il continua ses mouvements en moi, cette fois je fus émerveillée par la perfection et l'exactitude du toucher que membre faisait en moi. Nous étions en symbiose, mon corps et le sien se reconnaissaient à chaque mouvement que nous faisions. Ce fut merveilleux. Compte tenu de son état, nous allions en douceur, mais ce fut un plaisir intense, assez intense au point de faire avoir trois orgasmes.

Puis, ma tête sur sa poitrine, je finis par m'endormir. Il était Environ six heures de l'après-midi quand je fus réveillée par un grand bruit que je ne parvenais pas encore à bien distinguer, c'est au bout de quelques secondes que je réalisais que c'était des coups de feu. Je me blottis dans les bras de Charles qui me dit qu'il avait reçu un message de James lui disant que certains membres du gang de Bernadette, selon ses sources , devaient venir nous assassiner Charles et moi ainsi que les jumeaux. Ce que cette dernière ne savait pas ce fut que parmis leurs éléments, il y avait des policiers infiltrés.

Charles et moi avions rapidement portés des joggings et, aussi invraisemblable que cela puisse paraître, il y avait un sous-sol dans notre maison. Charles, me tenant la main, m'amena. C'était tout un appartement avec un bar, télévision, réfrigérateur etc.... Mais le plus important, il y avait un écran où nous étions à mesure de voir tout ce qu'il se passait à l'extérieur. Je pris place sur le canapé, Charles ne m'avait pas lâcher la main, il s'assit aussi, me serrant dans ses bras, ensemble nous regardions l'écran. Un des assaillants essaya d'entrer en escaladant le mûr, mon cœur battait à une vitesse incroyable, mais il ne put finir sa manœuvre, il reçu une balle à la jambe, il s'ecroula. Les coups de feu continuèrent encore pendant environ cinq minutes qui furent les cinq minutes les plus longues de ma vie. Trois des éléments de James furent blessés, en tant que médecin, il était de mon devoir de leur donner les premiers soins, mais Charles m'interdit de sortir tant qu'il n'était pas sûr que les gens envoyés par Bernadette et son amant étaient hors d'état de nuir. Au bout de quelques minutes, nous avons vu des ambulances avec des voitures de police et de l'armée garer à notre entrée, je vis James sortir d'une des voitures et de diriger vers la porte d'entrée. Charles me dit de ne pas bouger, il sortit pour ouvrir la porte à mon frère. James et certains militaires vinrent au sous-sol, il me serra dans ses bras et me fit savoir que trois des assaillants avaient été tués, deux ont été appréhendés. Ils étaient blessés, mais pouvaient répondre aux questions. Il furent tous étonnés de voir notre sous-sol, un de ses éléments dit à Charles que ce fût une très bonne idée de construction, et que cela lui donnait des idées.

James ayant constaté que la maison avait des caméras et qu'il était possible de voir tout ce qu'il se passait de l'extérieur, il demanda à Charles de lui montrer les enregistrements. Charles leur montra le coin de la pièce où le installations étaient. En visionnant les enregistrements, nous avions eu la surprise de notre vie: Mada Moult et son amant avaient fait des visites de repérages des semaines avant la tentative de kidnapping des enfants. Pas seulement eux, James avait reconnu les visages de certains assaillants. Nous étions surveillés par ces gens, mais, la présence des gardes les avait dissuader, c'est la raison qu'ils avaient pris la résolution de se rendre à l'école des jumeaux. Le comble c'est que nous ne nous en sommes jamais doutés. Je sentis des frissons à la seule idées que ces gens auraient pu faire du mal aux enfants. James et ses gars prirent les enregistrements pour plus d'étude, en nous demandant de bien fermer les portes, car Bernadette et son amant étaient encore en cavale, mais toutes les personnes qui étaient avec eux dans leur QG avaient été arrêtées et leurs interrogatoires avaient déjà commencé. Et certaines informations étaient très importantes pour la suite.

Une fois James et ses gens partis, j'eus faim. Je sortis du sous-sol pour nous concocter un petit dîner. Après avoir mangé, nous nous étions rendus dans notre chambre, je pris mon téléphone pour appeler les jumeaux . Après le coup de fil, je pris une douche, quand je fis mon entrée dans la chambre, Charles n'y était pas, ce qui me fit un peu flipper. Mais au bout de quelques minutes, je le vis entrer, une serviette autour des reins, il avait pris son bain dans la salle de bain du rez de chaussée après qu'il ait fait la vaisselle. Je venais de sortir de la salle de bain, j'avais juste mon peignoir, sans rien en dessous. Charles s'étant approché de moi, il m'attira vers lui et quand ses mains se poserent sur mes fesses, il se rendit compte. il tira rapidement la ceinture que j'avais enrouler pour vérifier que je n'avais rien en dessous, je vis une brillance dans ses yeux qui traduisait son désir instantané. Il écarta bien mon peignoir, sans hesitation il posa ses lèvres sur un de mes seins, je ressentis du plaisir mais aussi un peu de douleur. il me serra encore dans ses bras, ce fut électrique. Je sentis quelque chose de durcir à l'instant, il me porta et me déposa sur le lit, ses mains commencèrent à se balader sur tout mon corps qui commença à ne plus se contrôler. Le désir en moi monta d'un cran. Cet homme connaissait mon corps comme la paume de sa main. Il déposa des baiser sur ma peau , pendant que ses mains me caressaient, je ne pus plus attendre longtemps, je l'invita a prendre possession de mon corps. Cette fois il changea de méthode. Ses mouvements en moi étaient tantôt accélérés, tantôt au ralenti :

" Mon amour, je t'aime" lui avais-je murmuré a l'oreille, je sentais qu'avec cette nouvelle méthode, je ne pouvais pas résister longtemps, l'orgasme fut long. Mais mon désir était encore fort, mon chéri, reprit les mouvements en moi de plus belle, il me tourna, je fus au dessus de lui, notre cadence était contrôlée par lui. Quand il accélérait je devais suivre le rythme et quand il ralentissait, pareil. Nous étions en parfaite symbiose de une connexion parfaite. Cette nuit fut électrique. Charles me fit l'amour avec grand " A". Puis après notre dernier orgasme de la nuit, je me blottis dans ses bras.

" Mon amour, je t'aime chaque jour un peu plus, et je ne peux pas te voir nue dans te désirer, tu es tellement belle, j'ai de la chance de t'avoir, et je ferai tout mon possible pour te rendre heureuse." Avait-il dit, ses bras m'entourant. Je déposa mes lèvres sur les siennes. Et nous nous étions endormis collés l'un à l'autre

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