Roman Mon amour trahi chapitre Chapitre 51

Juste après le banquet, nous sommes allés directement à l'aéroport pour une direction que Charles et moi ne connaissions pas. Frédérick et son père avaient tout organiser, c'était une surprise d'après ce que mon beau père avait dit. C'était une façon pour lui de nous éviter de répéter l'histoire du premier mariage. Nous n'étions même pas retournés à l'hôtel pour nous changer. Nos bagages, bien entendu, étaient prêts car Charles et moi pensions voyager le lendemain. C'est ainsi qu'après avoir embrassé nos enfants et nos membres de famille, nous avions pris la route vers l' aéroport sur instruction de Fred.

Ce fut dans l'avion que je pus enfin me changer après le décollage. C'était effrayant et excitant à la fois.

Étant juste avec l'équipage, Charles et moi, mains dans la main, étions entrain de nous embrasser.

" Sweetheart, I love you so much! Merci de m'avoir pardonné et d'avoir accepté de faire ce chemin de la vie une fois de plus avec moi."

Pour toute réponse, je lui donna un baiser qui reflétait mon amour pour lui. On aurait dit qu'il n'attendait que cela, il me pris dans ses bras et me fit asseoir sur ses cuisses. Sa bouche toujours collée à la mienne, puis je sentis sa main glisser entre mes cuisses, je compris automatiquement ce que cela voulait dire car mon corps me donna le signal.

" Waoooo Chéri, ici?" avais-je demandé, en voulant ajouter une autre question que ma bouche fut fermée par un autre baiser passionné. Ensuite, je sentis que mon slip avait été poussé d'un côté et mon intérieur visité par lui avec des mouvements qui m'arrachaient des gémissements que je ne pouvais contenir. Le plaisir était aussi intense que la surprise car je ne savais pas qu'il avait ouvert son pantalon. Ses mouvements en moi étaient d'une précision déconcertante. Au départ, je voulus me retirer, mais Charles me tint fermement dans la position de califourchon où j'étais et avec son membre en moi, qui ne cessait de se mouvoir en territoire conquis, je ne pus résister longtemps car en même temps, les caresses que ses mains m' infligeaient got me crazy. Ma résistance ne dura que quelques secondes : Waoooo, ce voyage commençait vraiment sur les chapeaux de roues!

Emportés par notre désir, nous avions fini par enlever nos vêtements. Je voyais le désir dans les yeux de Charles quand ses yeux étaient posés sur mon corps, et je mis tout en œuvre pour lui permettre d'avoir une belle vue, ce qui augmenta encore plus son désir

" Baby, you are so beautiful, and you are mine, I love you so much"

"Love, I love you too,"

Puis nous avons continué à faire l'amour et à nous faire plaisir au point d'atteindre notre orgasme en même temps. Après, nous nous sommes regardés et avions éclaté de rire en se moquant de nous même pour avoir fait l'amour dans l'avion. Je fus la première à me lever, ramassa tous nos vêtements et pris la direction de la douche pour me laver, suivi de très près par mon mari.

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~ Charles ~

Enfin, ma femme et moi allions avoir notre voyage de noces. Et je m'étais promis de le rendre le plus inoubliable. Quand j'avais dit à mon père que je voulais offrir un voyage de noce inoubliable à Sheryl, il m'avait dit que Fred et lui allaient s'en occuper. En nous disant aurevoir au banquet, Frédérick m'a juste dit :

" Bro, enjoy your Honey Moon "

Alors je l'avais pris au mot, et j'avais donc commencé dans l'avion. Quand ma femme colla ses lèvres sur les miennes, je vis cela comme un appel de balle et l'idée de lui faire l'amour dans l'avion, là, à l'instant traversa mon esprit, plus notre baiser devenait langoureux, plus mon désir de l'avoir augmentait et je n'y pus rien. C'est ainsi que je m'arrangea à la faire asseoir sur mes cuisses, les jambes écartées, je pouvais avoir accès à son intérieur facilement, surtout que lorsqu'elle avait enlevé la robe qu'elle avait, j'avais vu ses sous-vêtements qui étaient, à mon goût, très explicite. L'avoir assise sur moi dans cette position, tout mon corps fût parcouru par une décharge électrique de désirs à tel point que, même le plus résistant des hommes ne pouvait endurer. J'avais porté un pantalon lin blanc, très facile à déboutonner.

Quand je fus en elle, mes mouvements avaient d'abord rencontré une petite résistance, mais, je savais où toucher ma femme pour qu'elle perde toute résistance. Quand finalement elle fut dans les dispositions physiques et mentales , je mis toute mon énergie à lui donner du plaisir. Ce fut le début du voyage de noces comme je l'avais imaginé, que je m'étais donné pour objectif de lui offrir. Ses gémissements de plaisir, ses petits cris dont je connaissais très bien la signification me rendaient encore plus viril. Chaque mouvement que je faisais dans son intérieur avait un seul but, lui donner un plaisir intense et je m'y appliquais avec beaucoup de sérieux et de précision. Mais je fus mis en dérision car elle fut très habile. Je ne sais pas si c'était la doctoresse qui agissait en elle, l'amour qu'elle me portait ou le désir que je lui procurais qui lui avaient donné cette agilité, mais je crois que ce fût tout en un, car le plaisir que je ressentis était incomparable. Au fur et à mesure que nos mouvements se synchronisaient, plus le plaisir augmentait et je perdais tout contrôle. Mon but était de lui donner un orgasme intense, mais je finis par être pris à mon propre jeu.

Après la douche, le repas nous fut servit, c'était un plat de fruits de mer, mais dès la première bouchée, Sheryl eut la nausée, elle courut vers la toilette pour vomir, je l'ai suivi pour m'assurer qu'elle allait bien. Au final, elle prit juste une salade et des fruits. Fatiguée, elle s'endormit. En la regardant dormir, les souvenirs de notre première rencontre remontèrent à la surface. Je me rappelais de cette fille, assise toute seule à qui j'avais demandé la direction, qui m'avait regardé avec des yeux brillants d'innocence, sa beauté naturelle qui avait fait chaviré mon cœur à l'instant où ses yeux s'étaient posés sur moi. Ce jour là j'avais su qu'elle était celle avec qui je voulais passer le reste de mes jours. Je déposa un baiser sur son front, je ne méritais pas cette femme. J'étais vraiment béni de Dieu de l'avoir rencontré.

Le commandant de bord nous annonça que nous allions commencer notre descente , je mis mes lèvres sur celles de Sheryl pour la réveiller et lui faire savoir que nous étions en mode descente . C'est à ce moment là que le steward fit l'annonce

" Monsieur et Madame Colton, nous avons le plaisir de vous annoncer notre descente vers les Maldives, nous vous souhaitons une belle l'une de miel"

" Les Maldives!?"

Tous les deux avions dit en même temps, heureux!

Voyage de Noces 1

Voyage de Noces 2

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